Citations sur malh.

Les Muses, les neuf belles fées, Dont les bois suivent les chansons, Rempliront de nouveaux Orphées La troupe de leurs nourrissons

Il le hait et le désestime

Il procura, par l'intercession de Madame, d'avoir sa grâce

La pointe d'un canivet vous fera l'ouverture d'une liberté perpétuelle [par la mort]

Sans jamais en son aise un mal-aise éprouver

Lui [l'homme] que jusqu'au ponant, Depuis où le soleil vient dessus l'hémisphère, Ton absolu pouvoir a fait son lieutenant

C'est bien un courage de glace Où la pitié n'a point de place

N'est-ce pas nous rendre au naufrage Après nous avoir mis à bord ?

Il est bien assuré que l'angoisse qu'il porte Ne s'emprisonne pas sous les clefs d'une porte

Et les moins travaillés des injures du sort Peuvent-ils pas justement dire Qu'un homme dans la tombe est un navire au port ?

Artémise de pleurs se noya le visage

On ne voyait point un nombre infini de charrettes chargées de pins et de sapins, pour faire des lambrissures dorées

Donc un nouveau labeur à tes armes s'apprête ; Prends ta foudre, Louis....

Façon de parler plébée

Vous m'excuserez de vous faire voir celle-ci [pièce de monnaie], quelque grimeline qu'elle soit

Le temps que par ci-devant on vous a fait perdre.... ramassez-le, et le conservez curieusement à l'avenir

La déformité des esprits se fera connaître par le soin qu'on aura de l'embellissement du corps

La persécution des financiers continue

Personne ne se peut offenser que vous vous mettiez en repos ; c'est chose que vous pouvez faire sans regret ni morsure d'âme quelconque

Je suis vaincu du temps, je cède à ses outrages

M. le Prince avait convié plusieurs gentilshommes à son ballet ; mais ils s'en excusèrent ; si par faute d'argent ou pour autres considérations, c'est à vous à le deviner

Ce dos chargé de pourpre et rayé de clinquant

Mars.... N'a rien de si tragique aux fureurs de la guerre. Comme ce déloyal [l'Amour] aux douceurs de la paix

Fasse ses vendanges qui voudra ; les miennes sont faites, et si bien faites que le grappage même n'y est pas demeuré

À l'ombre des lauriers qui t'embrassent la tête