Citations sur prends

Je viens lui pardonner, et c'est moi qu'elle accuse ; C'est moi qui suis injuste, ingrat, capricieux ; Je prends sur sa faiblesse un empire odieux

Poëte, prends ton luth ; la nuit, sur la pelouse, Balance le zéphyr dans son voile odorant

Poëte, prends ton luth ; c'est moi, ton immortelle, Qui t'ai vu cette nuit triste et silencieux, Et qui, comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux

Poëte, prends ton luth ; c'est moi [la Muse], ton immortelle, Qui t'ai vu cette nuit triste et silencieux, Et qui, comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux

Je prends l'art des anciens .. mais je ne dépends pas servilement de leur esprit

Voilà je ne sais combien de fois que je prends la plume pour faire l'article Marin, et la remets dans l'encrier ; à quoi bon ces délais ? malgré la nausée, il faut toujours y venir

Pour que son nom lui survive Ah ! Prends, Clio, prends ton calepin

Ris et chante, chante et ris ; Prends tes gants et cours le monde ; Mais, la bourse vide ou ronde, Reviens dans ton Paris ; Ah ! reviens, ah ! reviens, Jean de Paris

Joyeux chasseurs d'Ille-et-Vilaine, De votre cor je prends le ton

Mon fils, dit-il, tout sceptre est un grand poids : Sois mon second, prends la férule

Toi .... Prends l'arme de ce héros ; Puis, en vrai croque-mitaine, Tu feras peur aux marmots

Des villes que tu prends les noms durs et barbares.... Oui, partout de son nom chaque place munie Tient bon contre le vers et détruit l'harmonie

Des villes que tu prends les noms durs et barbares N'offrent de toutes parts que syllabes bizarres

Il n'est fort, entre ceux que tu [Louis XIV] prends par centaines, Qui ne puisse arrêter un rimeur six semaines

Ne prends pas un nom estranger ; Prens Jean, c'est un nom de baptesme, Dit sa femme, et sans danger. Je te baptiseray moi mesme

Je ne prends aucune part dans ses affaires ; qu'elle se tienne de son côté et moi du mien

Ne te dégoûte point surtout des paraboles, Quel qu'en soit le projet, Et ne les prends jamais pour des contes frivoles Qu'on forme sans sujet

Et je prends tous ces biens pour des maux déguisés

Et vous reconnaîtrez que dans le fond de l'âme Je prends comme je dois l'intérêt d'une femme

Je prends peu garde au bien

Et de l'intérieur prends d'autant plus de soin, Que Dieu, sans se tromper, connaît ce que nous sommes, Et que du fond du coeur il se fait le témoin

Ceins d'un cuir de brebis ton corps, pour couverture Prends un rude poil de chameau, La langouste et le miel pour toute nourriture, Et pour tout breuvage un peu d'eau

Ciel qui vois ma misère et qui fais les heureux, Prends pitié d'un devoir qui m'est si rigoureux

Monseigneur, je prends avantage de ma témérité

On verra ce qu'en vous je prends de confiance