Citation D ou l on vient
Découvrez une citation D ou l on vient - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase D ou l on vient issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème D ou l on vient.
60 citations
La partie physique de l'opération n'a pas de secret pour nous. Quand un chirurgien sculpte un beau visage, il utilise une sorte de plastique intelligent spécial pour remodeler les os. Pour qu'un jeune Pretty devienne grand ou ancien, il suffit d'ajouter un catalyseur chimique à ce plastique et il redevient mou comme de l'argile.
La grandeur dépend du point de là où on vient. C'est exactement comme les Israéliens à qui on a demandé ce qu'ils pensaient du procès d'Eichmann l'autre jour : l'un d'entre eux a dit qu'il ne comprenait pas comment qui que ce soit, en quelque période que ce soit, avait pu penser que les nazis étaient de grands hommes. Pourtant il y a bien eu des gens pour le penser, hein? Et il y en a encore!
Il est toujours difficile de dire ce qu'on perd et ce qu'on gagne à choisir t'elle voie plutôt que telle autre. Mais on ne revient pas en arrière à volonté. Ou alors on devient une de ces épaves qui, à force de ne jamais choisir, finissent par vieillir sans avoir vécu.
Il vient un moment où, après avoir perdu les illusions sur les autres, on les perd sur soi-même.
Quand le goût des livres vient tôt, il tient à sa fonction de fenêtre sur d’autres horizons plus ou moins extraordinaires, mais s’y ajoute le statut d’objet du livre, de propriété facile à acquérir ; il est le premier bien que l’on peut avoir pour soi, égal aux biens des adultes, et non pas leur imitation, comme le sont les jouets.
Regarde son cou, cette nuque énorme, engoncée dans les épaules: quand il tourne la tête, tout le reste vient avec.
On ne devient pas SDF par hasard. C'est faux de croire qu'il suffit d'être cocu ou chômeur pour se retrouver à la rue. SDF, c'est un aboutissement, et ça a commencé dans nos têtes, il y a très longtemps.
L'esprit est plus fort que la chair, ce qui veut dire que la chair est légère à porter pour l'esprit. Ça signifie qu'il y a une manière de vivre - une manière de le faire, mec. C'est là qu'intervient Rastafari. Parce que tous les autres disent que quand on meurt on va au Paradis. Non, ça me plait pas. Parce que si je vais au paradis quand je serai mort, j'étais où, avant ? Si le paradis était l'endroit fait pour moi, si c'était là que j'étais avant de naître, j'aurais dû y rester.
En toute chose il faut écrire à temps le mot finis, il faut se contenir, quand cela devient urgent, tirer le verrou sur son appétit, mettre au violon sa fantaisie et se mener soi-même au poste.
Pour savoir où on en est avec quelqu'un, il suffit d'écouter de la musique ensemble. Le moindre désaccord nerveux vient faire tâche dans les intervalles, mais si le son passe sans rencontrer personne, c'est le signe que tout va bien.
La vie en communauté, l'amour collectif, c'est bien joli, mais j'aimerais un peu d'exclusivité. Or à Liberty House, l'amour est diffus et indifférencié : chacun en a sa part et tous l'ont tout entier — ce qui me convient mieux en théorie qu'en pratique. Depuis mon arrivée ici, je partage tout avec tous : les douches, les repas, les corvées ménagères, les soirées au coin du feu, ou les salutations au soleil. Même mes parents ont cessé de m'appartenir, et je les surprends parfois à poser sur moi un regard perplexe, comme s'ils avaient complètement oublié mon existence, absorbés qu'ils sont par la leur.
Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
Ah, le pouvoir ! L'homme qui le détient est nanti d'un sabre à double tranchant. S'il le baisse plus qu'il ne faut, il se coupe le tendon. S'il le lève plus que de raison, il se fend le crâne et devient fou.
Beaucoup de romanciers le savent : il existe un principe dramaturgique dans la fiction connu sous le nom de fusil de Tchekhov. « Si dans le premier acte vous dites qu’il y a un fusil accroché au mur, prévient le dramaturge russe, alors il faut absolument qu’un coup de feu soit tiré avec au second ou au troisième acte. »
A la première occasion, je me renseignerai sur les principes de classification de Citroën. Quelques jours plus tard, un autre ouvrier me les donnera. Il y a six catégories d'ouvriers non qualifiés. De bas en haut: trois catégories de manoeuvre (M. 1., M. 2, M.3); trois catégories d'ouvriers spécialisés (O.S. 1, O.S. 2, O.S. 3). Quand à la répartition, elle se fait d'une façon tout à fait simple: elle est raciste. Les Noirs sont M. 1, tout en bas de l'échelle. Les Arabes sont M. 2 ou M. 3. Les Espagnols, les Portugais et les autres immigrés européens sont en général O.S. 2. Les Français sont, d'office, O.S. 2. Et on devient O.S. 3 à la tête du client, selon le bon vouloir des chefs. Voilà pourquoi je suis ouvrier spécialisé et Mouloud manoeuvre, voilà pourquoi je gagne quelques centimes de plus par heure, quoique je sois incapable de faire son travail.
Ici c'est une grande famille. Quand un chauffeur veut un congé ou une augmentation, il vient me voir, je l'écoute et je le vire.
L'enfant, de jour en jour, avance dans la vie :
Et, comme les aiglons qui, cédant à l'envie
De mesurer les cieux dans leur premier essor,
Exercent près du nid leur aile faible encor,
Doucement soutenu sur ses mains chancelantes,
Il commence l'essai de ses forces naissantes.
Sa mère est près de lui : c'est elle dont le bras
Dans leur débile effort aide ses premiers pas ;
Elle suit la lenteur de sa marche timide ;
Elle fut sa nourrice, elle devient son guide.
Elle devient son maître, au moment où sa voix
Bégaie à peine un nom qu'il entendit cent fois :
MA MÈRE est le premier qu'elle l'enseigne à dire.
Elle est son maître encor dès qu'il s'essaie à lire ;
Elle épelle avec lui dans un court entretien,
Et redevient enfant pour instruire le sien.L'argent, si concret quand on en manque ou quand on en a peu, devient léger, quasiment gazeux, aussitôt qu'il se trouve rassemblé en grande quantité.
C'est un frère d'âme que je veux, un frère d'arme. Fragile et dur, inquiet et sûr, bienveillant et sauvage. Un fils de taulard, un balafré bien marqué. C'est un mort de faim que j'attends, un dalleux jusqu'à ce qu'il graille. Moi je veux un garçon qui aura été obligé de prendre pour avoir, Jafar contraint, Jafar forcé, Jafar teigneux qui revient de loin et pue la terre où la cave.
Il faut être heureux pour pouvoir rendre heureux. Il faut se faire plaisir pour pouvoir contribuer au mieux-être des autres. Et, même si l'on ne rend heureux que soi-même, chaque miette de bonheur qui advient fait du monde un lieu plus heureux, que cette miette soit à vous ou à autrui.
En quittant la cabine d'Emily (et une telle intimité ne se renouvellerait pas), je savais que je serais toujours lié à elle par quelque rivière souterraine, ou filon de charbon ou d'argent — disons d'argent, car elle a toujours beaucoup compté pour moi. En mer Rouge, je suis sans doute tombé amoureux d'elle. Même si, quand je me suis arraché à elle, le magnétisme, quel qu'il soit, avait perdu sa force. Combien de temps suis-je resté avec Emily dans ce qui m'avait paru un lit haut comme le ciel ? Quand nous nous étions revus, nous n'en avons pas reparlé. Elle ne se souvient peut-être même pas quel poids de chagrin elle m'a ôté ou a tenu, ni pendant combien de temps. Je n'avais jamais connu pareille étreinte, pareille odeur d'un bras émergeant du sommeil. Je n'avais jamais pleuré à côté de quelqu'un qui, aussi, m'excitait d'une manière mystérieuse. Pendant qu'elle baissait les yeux sur moi, il devait y avoir chez elle une certaine compréhension, ainsi que dans ses petits gestes pleins d'attention.
Aussi bien la gloire que je rêvais, c'était celle de Keats, de Baudelaire, de Nietszche, de Kierkegaard, de tant d'autres dont la voix ne fut écoutée que plus ou moins longtemps après leur mort. L'éminente distinction que vient de m'accorder la Suède me fait comprendre que j'avais mal fait mon compte ; c'est aussi que je n'imaginais pas vivre si vieux.
Et d'où il vient, votre sang du Christ? C'est le pinard que les prêtres avalent pendant la messe? On m'a cloné à base de merlot ou de chardonnay?
Un grand homme n’a qu’un souci : devenir le plus humain possible, — disons mieux : devenir banal. Devenir banal, Shakespeare, banal Gœthe, Molière, Balzac, Tolstoï… Et chose admirable, c’est ainsi qu’il devient le plus personnel. Tandis que celui qui fuit l’humanité pour lui-même, n’arrive qu’à devenir particulier, bizarre, défectueux… Dois-je citer le mot de l’Évangile ? Oui, car je ne pense pas le détourner de son sens : « Celui qui veut sauver sa vie (sa vie personnelle) la perdra ; mais qui veut la perdre la sauvera (ou pour traduire plus exactement le texte grec : « la rendra vraiment vivante »).
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.

Scott Westerfeld
Références de Scott Westerfeld - Biographie de Scott Westerfeld
Plus sur cette citation >> Citation de Scott Westerfeld (n° 166048) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Chimamanda Ngozi Adichie
Références de Chimamanda Ngozi Adichie - Biographie de Chimamanda Ngozi Adichie
Plus sur cette citation >> Citation de Chimamanda Ngozi Adichie (n° 165698) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Bernard Pingaud
Références de Bernard Pingaud - Biographie de Bernard Pingaud
Plus sur cette citation >> Citation de Bernard Pingaud (n° 167832) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Emil Cioran
Références de Emil Cioran - Biographie de Emil Cioran
Plus sur cette citation >> Citation de Emil Cioran (n° 129640) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Catherine Millet
Références de Catherine Millet - Biographie de Catherine Millet
Plus sur cette citation >> Citation de Catherine Millet (n° 165503) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Roger Martin du Gard
Références de Roger Martin du Gard - Biographie de Roger Martin du Gard
Plus sur cette citation >> Citation de Roger Martin du Gard (n° 72486) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Lydia Perréal
Références de Lydia Perréal - Biographie de Lydia Perréal
Plus sur cette citation >> Citation de Lydia Perréal (n° 120105) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Bob Marley
Références de Bob Marley - Biographie de Bob Marley
Plus sur cette citation >> Citation de Bob Marley (n° 169723) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Victor Hugo
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo (n° 131741) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Philippe Sollers
Références de Philippe Sollers - Biographie de Philippe Sollers
Plus sur cette citation >> Citation de Philippe Sollers (n° 98170) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Emmanuelle Bayamack-Tam
Références de Emmanuelle Bayamack-Tam - Biographie de Emmanuelle Bayamack-Tam
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuelle Bayamack-Tam (n° 161198) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Aurélie Valognes
Références de Aurélie Valognes - Biographie de Aurélie Valognes
Plus sur cette citation >> Citation de Aurélie Valognes (n° 159231) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Massa Makan Diabaté
Références de Massa Makan Diabaté - Biographie de Massa Makan Diabaté
Plus sur cette citation >> Citation de Massa Makan Diabaté (n° 156826) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Guillaume Musso
Références de Guillaume Musso - Biographie de Guillaume Musso
Plus sur cette citation >> Citation de Guillaume Musso (n° 172971) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Robert Linhart
Références de Robert Linhart - Biographie de Robert Linhart
Plus sur cette citation >> Citation de Robert Linhart (n° 170359) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michel Audiard
Références de Michel Audiard - Biographie de Michel Audiard
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Audiard (n° 49012) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Gabriel Marie Legouvé
Références de Gabriel Marie Legouvé - Biographie de Gabriel Marie Legouvé
Plus sur cette citation >> Citation de Gabriel Marie Legouvé (n° 167207) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Roland Topor
Références de Roland Topor - Biographie de Roland Topor
Plus sur cette citation >> Citation de Roland Topor (n° 167842) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Emmanuelle Richard
Références de Emmanuelle Richard - Biographie de Emmanuelle Richard
Plus sur cette citation >> Citation de Emmanuelle Richard (n° 168836) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Bernhard Schlink
Références de Bernhard Schlink - Biographie de Bernhard Schlink
Plus sur cette citation >> Citation de Bernhard Schlink (n° 163669) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Michael Ondaatje
Références de Michael Ondaatje - Biographie de Michael Ondaatje
Plus sur cette citation >> Citation de Michael Ondaatje (n° 163782) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






André Gide
Références de André Gide - Biographie de André Gide
Plus sur cette citation >> Citation de André Gide (n° 157982) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Didier Van Cauwelaert
Références de Didier Van Cauwelaert - Biographie de Didier Van Cauwelaert
Plus sur cette citation >> Citation de Didier Van Cauwelaert (n° 100431) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






André Gide
Références de André Gide - Biographie de André Gide
Plus sur cette citation >> Citation de André Gide (n° 165824) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :






Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :





Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur D ou l on vient
Toutes les citations sur D ou l on vient Citations D ou l on vient Citation sur d Citations courtes d
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens