Citation Les murs
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème Les murs.
210 citations
Laissez entrer quelqu'un dans sa vie, c'est abattre les murs qu'on a construits pour se protéger, pour attendre que l'autre les enfonce!
Je voulus fixer davantage mes pensées favorites, et, à l'aide de charbons et de morceaux de brique que je ramassais, je couvris bientôt les murs d'une série de fresques où se réalisaient mes impressions.
Avec deux articles du code du travail, on érigeait des murs, on emmerdait le monde, c'était magnifique.
Laisser entrer quelqu'un dans sa vie, c'est abattre les murs qu'on a construit pour se protéger, pas attendre que les autres les enfoncent !
Quand le peuple ne trouve plus sa part de progrès , il peut être attiré par l'autoritarisme, qui dit : « la démocratie ne vous protège plus contre les inégalités de ce capitalisme devenu fou. Nous allons faire des murs, des frontières, sortir de ce multilatéralisme, il est mou. »
Mais les rêves traversent les pierres des murs, éclairent des chambres enténébrées ou enténèbrent des chambres éclairées; et leurs personnages, narguant tous les serruriers du monde, font leurs entrées ou leurs sorties comme il leur plaît.
Des fois, je les écoute dans le métro. Ou aux distributeurs de rafraichissement. Et vous savez quoi ? Les gens ne parlent de rien. Non, non, de rien. Ils citent toute une ribambelle de voitures, de vêtements ou de piscines et disent : "Super!" Mais ils disent tous la même chose et personne n'est jamais d'un avis différent. Et la plupart du temps, dans les cafés, ils se font raconter les mêmes histoires drôles par les joke-boxes, ou regardent défiler les motifs colorés sur les murs musicaux, des motifs abstraits, de simples taches de couleurs.
Ses joues rondes avaient un peu pâli sous leur teinte brune. Avant elles étaient pareilles à ces brugnons très mûrs des pays du Midi, qui sont d'une couleur chaude et dorée.
Un asile pour toutes celles dont la sensibilité ne répondait pas aux attentes. Une prison pour toutes celles coupables d’avoir une opinion. Depuis l’arrivée de Charcot il y a vingt ans, il se dit que l’hôpital de la Salpêtrière a changé, que seules les véritables hystériques y sont internées. Malgré ces allégations, le doute subsiste. Vingt ans n’est rien, pour changer des mentalités ancrées dans une société dominée par les pères et les époux. Aucune femme n’a jamais la totale certitude que ses propos, son individualité, ses aspirations ne la conduiront pas entre ces murs redoutés du treizième arrondissement. Alors, elles font attention.
Juillet met les oeufs dans leurs coques
Août sur les épis mûrs s'endort;
Septembre aux grands soirs équivoques,
Glisse partout ses feuilles d'or.Le pays s'éclaircissait, tout comme une case à midi laisse fleurir à travers les murs la fleur éclatée du soleil.
La vie humaine est un songe : d'autres l'ont dit avant moi, mais cette idée me suit partout. Quand je considère les bornes étroites dans lesquelles sont circonscrites les facultés de l'homme, son activité et son intelligence ; quand je vois que nous épuisons toutes nos forces à satisfaire des besoins, et que ces besoins ne tendent qu'à prolonger notre misérable existence ; que notre tranquillité sur bien des questions n'est qu'une résignation fondée sur des chimères, semblables à celles des prisonniers qui auraient couvert de peintures variées et de riantes perspectives les murs de leur cachot ; tout cela mon ami, me rend muet. Je rentre en moi-même, et j'y trouve un monde, mais plutôt en pressentiments et en sombres désirs qu'en réalité et en action ; et alors tout s'embrouille en moi, et, perdu dans mes rêves, je poursuis en souriant ma route dans le monde.
Des livres, en revanche, on en avait à profusion, les murs en étaient tapissés, dans le couloir, la cuisine, l'entrée, sur les rebords des fenêtres, que sais-je encore ? Il y en avait des milliers, dans tous les coins de la maison. On aurait dit que les gens allaient et venaient, naissaient et mouraient, mais que les livres étaient éternels. Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis, les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavik, Valladolid ou Vancouver.
Heureux ceux qui sont morts, car ils sont retournés - Dans la première argile et la première terre. - Heureux ceux qui sont morts dans une juste guerre. - Heureux les épis mûrs et les blés moissonnés...
On me reprochera certainement des quantités de choses. D'avoir dormi là, par terre, pendant des jours ; d'avoir sali la maison, dessiné des calmars sur les murs, d'avoir joué au billard. On m'accusera d'avoir coupé des roses dans le jardin, d'avoir bu de la bière en cassant le goulot des bouteilles contre l'appui de la fenêtre : il ne reste presque plus de peinture jaune sur le rebord en bois. J'imagine qu'il va falloir passer sous peu devant un tribunal d'hommes ; je leur laisse ces ordures en guise de testament ; sans orgueil, j'espère qu'on me condamnera à quelque chose, afin que je paye de tout mon corps la faute de vivre...
Il parla à son tour d'un ton doctrinaire, avec l'emphase apprise dans les proclamations qu'on collait chaque jour aux murs, et il finit par un morceau d'éloquence où il étrillait magistralement cette «crapule de Badinguet».
Quand le vent du changement se lève, les uns construisent des murs, les autres des moulins à vent.
Mes cadeaux ne peuvent être faits que d'air, du souffle de mon esprit, comme ceux que te ferait une fée: des choses que même les murs d'une prison ne peuvent retenir.
Des ombres torrentielles, rouges et visqueuses, se poursuivaient, haletant et glissant, dans les corridors infinis du ciel violet et zébré d'éclairs... phantasmes sans forme, dessins d'un kaléidoscope vampirique... forêt de chênes monstrueusement nourris dont les racines en forme de serpent se tordaient, aspiraient d'innommables sucs dans la terre grouillante de démons cannibales... tentacules en forme de tertres, nés d'un noyau souterrain de pourriture perverse... éclairs de folie sur des murs couverts de lierre malsain... galeries démoniaques éclairées par une végétation putride...
Déjà les beaux jours, – la poussière, Un ciel d’azur et de lumière, Les murs enflammés, les longs soirs ; – Et rien de vert : – à peine encore Un reflet rougeâtre décore Les grands arbres aux rameaux noirs ! Ce beau temps me pèse et m’ennuie. – Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau.
Tout est en règle explique M. Kim avec satisfaction. Comment pourrait-il en être autrement dans ce périple prévu à l'avance, checké chaque matin, cadenassé heure par heure, où nous savons où nous serons ce soir, demain et après-demain à la minute près ? Jamais nous ne serons en promenade, pris par l'aventure, la fantaisie de la découverte, jamais nous ne goûterons au sucré-salé des imprévus et des hasards. Impossible de s'arrêter là, de faire un tour ici, sous les érables, vers ces grottes aux peintures rupestres, d'aller humer ce rivage où cogne la mer de l'Est et ses rouleaux d'écume (trois rangées de barbelés nous en empêchent), non, nous roulons sur des rails invisibles, guidés par des murs transparents, menottés à nos hôtes-geôliers. Même civile, notre estafette est un fourgon policier qui nous transfère de cellule-hôtel en ressort de détention. Pas envisageable de sympathiser avec les matons. Et je dois avoir, en plus de mon nom étranger, un numéro de matricule sur le dos, du genre : I-739. I comme intrus sur le territoire.
Une belle brasserie comme Maigret les aimait, pas encore modernisée, avec sa classique ceinture de glaces sur les murs, sa banquette de moleskine rouge sombre, ses tables de marbre blanc et, par ci, par là une boule de nickel pour les torchons.
Alors tout s'avivant sous les lueurs décrues - Du couchant dont s'éteint peu à peu la rougeur, - Un charme se révèle aux yeux las du songeur: - Le charme des vieux murs au fond des vieilles rues.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Voilà tout ? Les hommes doivent-ils vivre entre des murs sans portes ni fenêtres ? Y a-t-il autre chose au-delà ? Oui, mon frère, oui, il y a autre chose ! Je le sais ! Car nul ne peut retenir ce que j’ai dans la tête, là, à l’intérieur. C’est un territoire sans murs, sans puits, juste à moi. Et bien réel puisqu’il me fait évoluer.
Mes amis mes amours (2006) de Marc Lévy
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Les Filles du feu (1854), Aurélia de Gérard de Nerval
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Aux animaux la guerre de Nicolas Mathieu
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Mes amis mes amours (2006) de Marc Lévy
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Discours à la Conférence internationale du travail de l’OIT le 11 juin 2019 à Genève de Emmanuel Macron
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Carmilla (1872) de Joseph Sheridan Le Fanu
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Fahrenheit 451 (1955) de Ray Bradbury
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Mon frère Yves (1883) de Louis Marie Julien Viaud, dit Pierre Loti
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Le bal des folles (2019) de Victoria Mas
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Les Pipeaux (1899), La Ronde des mois de Louise Rose Etiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard
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La Case du Commandeur (1981) de Edouard Glissant
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Les Souffrances du jeune Werther (1774) de Johann Wolfgang Goethe
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Eve de Charles Péguy
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Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Boule de suif (1880) de Guy de Maupassant
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Proverbe de Proverbes chinois
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Le Sari rose (2010) de Javier Moro
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L'Appel de Cthulhu (1926) de Howard Phillips Lovecraft
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Odelettes (1834), Avril de Gérard de Nerval
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Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
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Maigret et son mort (1848) de Georges Simenon
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La Jeunesse blanche, Vieux Quais de Georges Rodenbach
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Le Puits (2013) de Ivan Repila
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