Citation Marche plus
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Une Sélection de 130 citations et proverbes sur le thème Marche plus.
130 citations
La dernière marche d'un escalier qu'on gravit est toujours plus haute que les autres.
Je sais que c’est idiot, mais plus mon mari fait des courses importantes, plus j’ai l’impression qu’il m’aime. C’est comme s’il investissait dans notre couple. Comme le primeur qui pèse les petits sachets en papier, je peux quantifier son amour chaque dimanche à son retour du marché grâce au montant du ticket de caisse abandonné au fond du cabas.
Je reconnaissais que ma démarche était dangereuse. Les larmes m'ont fabriqué des yeux différents, des yeux qui ne voient plus rien.
Devenir mort (2007) de J'ai un âge où, apparemment, mon avis compte. On me sonde, on me consulte avant de me traîner de force dans des lieux hostiles. Quand vos enfants cessent de vous demander d'où ils viennent et ne vous disent plus où ils vont, disait un proverbe affiché à l'entrée du Super-U l'été dernier, c'est qu'ils sont devenus des ados. Je me souviens que mon père l'avait lu à haute voix, avec l'air d'un disciple de Confucius qui médite les paroles du Maître. Alors qu'en réalité, c'était juste une grosse connerie écrite au marqueur bleu effaçable sur un panneau d'hypermarché, entre la météo du jour et « Le Conseil de votre poissonnier »...
Montons au plus haut de notre tour d'ivoire, sur la dernière marche, le plus près du ciel. Il y fait froid quelquefois, n'est-ce pas? Mais qu'importe! On voit les étoiles briller claire, et l'on n'entend plus les dindons.
Un de mes amis a épousé une Japonaise. Ils vivent dans la région de Milan et ont une fillette de 5 ans. Pas plus tard qu’hier, mère et fille étaient au supermarché, et deux types se sont mis à hurler que tout était leur faute, qu’elles devaient retourner chez elles, en Chine. La peur nous pousse à agir bizarrement.
Et par contre, si je communique à mes hommes l’amour de la marche sur la mer, et que chacun d’eux soit ainsi en pente à cause d’un poids dans le cœur, alors tu les verras bientôt se diversifier selon leurs mille qualités particulières. Celui-là tissera des toiles, l’autre dans la forêt par l’éclair de sa hache couchera l’arbre. L’autre, encore, forgera des clous, et il en sera quelque part qui observeront les étoiles afin d’apprendre à gouverner. Et tous cependant ne seront qu’un. Créer le navire ce n’est point tisser les toiles, forger les clous, lire les astres, mais bien donner le goût de la mer qui est un, et à la lumière duquel il n’est plus rien qui soit contradictoire mais communauté dans l’amour.
Quand un homme marche vers son destin, il est bien souvent forcé de changer de direction. Parfois, les circonstances extérieures sont les plus fortes, et il est obligé de se montrer lâche et de céder. Tout cela fait partie de l'apprentissage.
La vie est ainsi faite que les pères imbéciles en savent aussi long, quelquefois plus long sur elle que les pères intelligents. La vie n'a pas besoin d'intelligence. C'est même ce qu'elle peut rencontrer de plus gênant dans sa marche joyeuse.
Nous marchons dans ce silence qui s'appelle la mort. Nous ne parlons plus car notre mémoire n'avance plus. C'est une mémoire coupée du monde, faite de fragments disparates, à la fois vide et réelle. Je sens à mes côtés la marche muette de cette femme qui semble perdue et je soupire sur la tristesse de ce monde enfui.
Les super et hypermarchés demeurent une extension du domaine féminin, le prolongement de l'univers domestique dont elles assurent la bonne marche régulière, parcourant les rayons avec, en tête, tout ce qui manque dans les placards et le frigo, tout ce qu'elles doivent acheter pour répondre à la question réitérée, qu'est-ce-qu'on va manger ce soir, demain, la semaine entière. Elles, toujours plus détentrices que les hommes d'une compétence culinaire qui leur fait choisir sans hésiter les produits selon le plat à préparer, tandis qu'eux, plantés, perdus devant un rayon, appellent au secours, portable à l'oreille « Dis, qu'est-que je dois prendre comme farine ? »
Que jamais plus grande folle que Jeanne Eyre n'avait marché sur la terre, que jamais idiote plus fantasque ne s'était bercée de doux mensonges et n'avait mieux avalé un poison comme si c'eût été du nectar.
Je n'ai plus rien à exposer
Dans la galerie des sentiments
Je laisse ma place aux nouveaux-nés
Sur le marché des morts-vivants.Les lois de l'évolution consistent à fixer avec le plus de précision possible les règles de la marche de l'humanité en tenant compte qu'on ne sait pas d'où on vient, où on va ni pourquoi et comment on y va.
C'est comme les gens qui s'imaginent qu'ils seront plus heureux en allant vivre ailleurs, mais qui apprennent que ça ne marche pas comme ça. Où qu'on aille, on s'emmène avec soi.
Si l'on veut devenir français, on parle français, on vit comme un Français. Nous ne nous contenterons plus d'une intégration qui ne marche plus, nous exigerons l'assimilation. Dès que vous devenez français, vos ancêtres sont gaulois.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Avec ma patte, je ne peux plus marcher sans semelles : la plante du pied est dure et cornée, mais elle est devenue sensible comme une muqueuse, la moindre poussière de caillou la perce de douleur. Ma jambe n'est plus la demi-base sûre de mon équilibre, chaque pas est un simulacre, une chute rectifiée ; que je cesse de penser à ma démarche, et aussitôt je me surprends à clopiner et à poser le pied de travers, sous l'angle laissé par le moule de plâtre « en léger équin » disait le dossier.
Elle écrivait les noms de ses enfants lorsqu'elle se retrouvait seule dans l'après-midi, sans course de ménage ni démarche à faire. Elle aimait cet effort qui lui prenait, en peu de temps, plus d'énergie qu'une journée passée à aller de bureau en bureau.
L’avenir… il devait être magnifique… il allait être magnifique, plus tard … j’y croyais ! On y croyait à une vie magnifique ! C’était une utopie … Vous, vous avez votre utopie à vous. Le marché. Le paradis du marché. Le marché va rendre tout le monde heureux… C’est une chimère ! Des gangsters se baladent dans les rues en veston rouge avec des chaines en or sur le ventre. C’est la caricature du capitalisme, comme sur les dessins du Crocodile, le journal humoristique soviétique. Une parodie ! Au lieu d’une dictature du prolétariat, vous avez la loi de la jungle : dévore les plus faibles que toi, et rampe devant ceux qui sont forts. La plus vieille loi du monde.
L’avenir… il devait être magnifique… il allait être magnifique, plus tard … j’y croyais ! On y croyait à une vie magnifique ! C’était une utopie … Vous, vous avez votre utopie à vous. Le marché. Le paradis du marché. Le marché va rendre tout le monde heureux… C’est une chimère !
M. Brun déteste plus que tout les nourrissons. Pour lui, ce ne sont que des contraintes avec, en prime, l'ingratitude la plus totale. Ça ne comprend rien, ça pleure, ça a toujours besoin de quelque chose : on ne peut jamais être tranquille. Et quand ça sourit, ça sourit autant à ses parents qu'aux inconnus. Ingrats, va ! En plus, il faudrait les trouver beaux, surdoués... Mais un être humain qui bave, qui n'est pas capable d'aligner trois mots et qui marche comme un parkinsonien ...
Il est plus facile de marcher que d'effacer la trace de ses pas après avoir marché.
Quand on a marché deux heures dans une montagne, on est plus intelligent.
Ce qui marche le mieux, ce qui pousse avec la plus grande violence les gens à se dépasser, c'est encore le pur et simple besoin d'argent.

Paul Masson
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Maud Ventura
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Christophe Paviot
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Anne Percin
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Gustave Flaubert
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Paolo Giordano
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Antoine de Saint-Exupéry
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Paulo Coelho
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Jean Anouilh
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Yu Hua
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Hubert-Félix Thiéfaine
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Nicolas Sarkozy
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Alfred de Vigny
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Albertine Sarrazin
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Leïla Sebbar
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Svetlana Alexievitch
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Svetlana Alexievitch
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Aurélie Valognes
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Michel Houellebecq
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