Citation Sans nous
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Une Sélection de 880 citations et proverbes sur le thème Sans nous.
880 citations
Choisir la vie, c'est toujours choisir l'avenir. Sans cet élan qui nous porte en avant nous ne serions rien de plus qu'une moisissure à la surface de la terre.
Il ne sert à rien de regretter des choix passés. La vie est ainsi, elle est jalonnée d'erreurs, et sans doute ces erreurs ont-elles leur raison d'être, sans doute nous apportent-elles quelque chose malgré tout. Accepter. L'acceptation est un art de vivre.
Nous menons notre vie quotidienne sans presque rien comprendre au monde qui est le nôtre.
Je compte sur vous parce que le gouvernement ne peut pas tout et parce nous sommes une nation. Chacun a son rôle à jouer. Je compte sur vous pour respecter les consignes qui sont et seront données par les autorités et en particulier ces fameux gestes barrières contre le virus. Elles sont aujourd’hui encore trop peu appliquées. Cela veut dire se laver les mains suffisamment longtemps avec du savon ou avec des gels hydroalcooliques. Cela veut dire saluer sans embrasser ou serrer la main pour ne pas se transmettre le virus. Cela veut dire se tenir à distance d’un mètre. Ils peuvent apparaître anodins. Ils sauvent des vies. C’est pourquoi, mes chers compatriotes, je vous appelle solennellement à les adopter.
Et si nous faisions confiance à la fiction ? Depuis le fond des âges, dans toutes les cultures, nous déployons une énergie sans limites pour nous raconter des histoires - à cette étrange manie, il doit bien y avoir une raison !
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La vraie question, c'est celle-ci : le travail ne peut être une loi sans être un droit. Nous n'insistons pas, ce n'est point ici le lieu. Si la nature s'appelle providence, la société doit s'appeler prévoyance.
Alors, étions-nous préparés à cette crise ? A l’évidence, pas assez, mais nous avons fait face en France comme partout ailleurs. Nous avons donc dû parer à l’urgence, prendre des décisions difficiles à partir d’informations partielles, souvent changeantes, nous adapter sans cesse, car ce virus était inconnu et il porte encore aujourd’hui beaucoup de mystères.
Nous disons sans cesse que le monde n'est rien, et nous ne vivons que pour le monde.
Oui, les souvenirs. Sans eux le temps serait désarmé contre nous.
Ne jouerons-nous jamais - Ne serait-ce qu'une heure, - Rien que quelques minutes, - Océan solennel, - Sans que tu aies cet air - De t'occuper ailleurs?
Il y a cette immense liberté de l'animal, enfermé certes dans les limites de son espèce, mais vivant sans plus sa réalité d'être, sans tout le faux que nous ajoutons à la sensation d'exister.
Sans que nous nous en apercevions, un nouvel humain est né, pendant un intervalle bref, celui nous sépare des années 1970. Il ou elle n'a plus le même corps, la même espérance de vie, ne communique plus de la même façon, ne perçoit plus le même monde, ne vit plus dans la même nature, n'habite plus le même espace.
Tout ce que nous pouvons faire et que nous ferons, sans nous lasser, est d'en savoir de plus en plus, et d'y comprendre de moins en moins. Tout s'explique. Tout reste obscur!
Notre opinion de nous-mêmes, ainsi que notre ombre nous fait sans cesse ou trop grands ou trop petits.
Je supporte les tatouages des Cafres, les ornements des Persans, des paysannes slovaques, les dessins de mon cordonnier. Ils n’ont, les uns et les autres, que l’ornement pour embellir et exalter leur vie. Nous, les aristocrates, nous avons notre art moderne, l’art qui a remplacé l’ornement. Nous avons Rodin et Beethoven.
N'espérons point, ici-bas, une vie sans traverses. Nous n'avons que le choix entre des bonheurs relatifs et des malheurs transitoires.
Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »
La liberté de nous marrer sans aucune retenue, la loi nous la donnait déjà, la violence systématique des extrémistes nous la donne aussi.
Je regardais la mer qui, à cette heure, se soulevait à peine d’un mouvement épuisé et je rassasiais les deux soifs qu’on ne peut tromper longtemps sans que l’être se dessèche, je veux dire aimer et admirer.Car il y a seulement de la malchance à n’être pas aimé : il y a du malheur à ne point aimer. Nous tous, aujourd’hui, mourons de ce malheur. C’est que le sang, les haines décharnent le cœur lui-même ; la longue revendication de la justice épuise l’amour qui pourtant lui a donné naissance. Dans la clameur où nous vivons, l’amour est impossible et la justice ne suffit pas. C’est pourquoi l’Europe hait le jour et ne sait qu’opposer l’injustice à elle-même. Mais pour empêcher que la justice se racornisse, beau fruit orange qui ne contient qu’une pulpe amère et sèche, je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise.
Nous croyons tous qu'il est impensable que l'amour de notre vie puisse être quelque chose de léger, quelque chose qui ne pèse rien; nous nous figurons que notre amour est ce qu'il devait être; que sans lui notre vie se serait pas notre vie.
L'amour est une roue, une roue qui tourne sans fin. nous sommes sauvés par ceux que nous sauvons. Ils deviennent à leur tour nos sauveurs.
La guerre, sans qu'on lui demande, se charge toujours de nous trouver un ennemi.
Vous connaissez mon histoire : comment quelques mots transmis par les doigts d'un autre, un rayon de lumière d'une autre âme, ont percé l'obscurité de mon esprit et m'ont permis de me découvrir, de découvrir le monde et Dieu. Grâce à mon institutrice, qui a appris à me connaître pour me libérer de cette prison sombre et silencieuse dans laquelle j'étais murée, je suis désormais capable d'agir pour moi-même et pour les autres. C'est d'attention, plus que d'argent, dont nous avons besoin. Sans la sympathie et l'attention, le geste est vide. Si vous vous sentez sincèrement concernés, si nous pouvons faire en sorte que les citoyens de ce grand pays s'impliquent réellement, les aveugles pourront triompher de leur cécité.
Dans le feu de la jeunesse.
Naissent les plaisirs.
Et l'amour fait des prouesses.
Pour nous éblouir.
Oui mais sans la tendresse.
L'amour ne serait rien.
Les bouches inutiles de Simone de Beauvoir
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Le jour où j'ai appris à vivre (2014) de Laurent Gounelle
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Une brève histoire du temps. Du big bang aux trous noirs (1988) de Stephen Hawking
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Allocution d'Emmanuel Macron sur le coronavirus , le 12 mars 2020 de Emmanuel Macron
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Pour l'amour des livres (2019) de Michel Le Bris
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Les Misérables (1862) de Victor Hugo
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Allocution télévisée enregistrée à l’Élysée, le 13 avril 2020 de Emmanuel Macron
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Oraisons funèbres et sermons, Monseigneur Louis, Dauphin de Jean-Baptiste Massillon
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A l'est d'Eden (1952) de John Steinbeck
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Carnac de Eugène Guillevic
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Les Yeux ouverts (1980) de Marguerite Yourcenar
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Petite Poucette (2012) de Michel Serres
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C'était bien (2003) de Jean d'Ormesson
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Bluettes et boutades (1846) de Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn
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Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Feuilles Volantes (1949) de Louis-Philippe Robidoux
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Arcadie (2018) de Emmanuelle Bayamack-Tam
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Editorial de Charlie Hebdo, octobre 2012 de Stéphane Charbonnier, dit Charb
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L’été, « Retour à Tipasa » (1952) de Albert Camus
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L'insoutenable légèreté de l'être (1984) de Milan Kundera
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Un soir de cauchemar (2007) de Dean Koontz
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Petit Pays (2016) de Gaël Faye
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Discours de 1925 à la convention internationale du Lions Clubs International de Helen Keller
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La Tendresse (1964) de Marie Laforêt
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