Citation Sur le temps
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Une Sélection de 510 citations et proverbes sur le thème Sur le temps.
510 citations
La paix ne nous dit rien sur le monde, ce sont les conflits qui en disent long. Ils forment les entrailles dans lesquelles le devin lit l’esprit du temps.
A compter de ce jour, ils ne mangèrent plus de brouet de maïs que deux fois par jour, une fois le matin, une fois le soir. Le reste du temps, ils le passaient au lit, sans un mot, sans un geste. Dès qu'on bougeait, le ventre se mettait à gargouiller et on avait faim. Calmement étendu sur le lit, sans dire un mot, sans faire un geste, on s'endormait.
Cette histoire est une écharde sur laquelle sa chair s'est recomposée, et à force d'années. Un petit coussin de vie rosé, solide et élastique. Ce corps étranger n'en est plus un, il lui appartient, solidement maintenu dans un faisceau de fibres musculaires, à peine effrité par le temps.
Comme vous devez vous raser! Vous ne trouvez pas qu'on se bêtifie à rester tout le temps sur la plage?
Ainsi va le monde ici bas - Le temps emporte sur son aile - Et le Printemps et l'hirondelle - Et la vie et les jours perdus.
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, - Un rond de danse et de douceur, - Auréole du temps, berceau nocturne et sûr, - Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu - C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Je voulais appeler le film pendant un temps Le Lieu et la parole, racontait-il en 1985 sur France Culture, dans l'émission Le Cinéma des cinéastes. C'est en effet essentiel parce que ces lieux vides, ces lieux défigurés, cette sorte de... non-lieu de la mémoire d'une certaine façon se met à vivre par la parole mais les lieux en même temps donnent à la parole une vérité extraordinaire.
Nous avançons dans la vie comme des funambules, persuadés que le temps nous aidera à mieux maîtriser notre équilibre sur la corde tremblante de l'existence. Il nous semble que rien ne peut dérégler l'horloge que nous remontons avec délicatesse chaque matin, chaque mois, chaque année. Un jour pourtant, en un instant, tout bascule; nous ne le savons pas encore, mais plus rien ne sera comme avant: le funambule tombe et l'horloge s'affole.
Je me suis lise à lire pour de bon- à lire partout, tout le temps, dans le bruit, dans le noir, de façon organisée, excessive, trépidante, à sauter de livre en livre comme sur des nénuphars
Je suis beaucoup plus sensible au temps intime, celui qui au contraire ne fuit pas, mais stagne : le temps de la solitude, de l'ennui, de l'attente (dans la salle d'attente d'un médecin), du « rien à faire aujourd'hui », ce temps qui pèse autant sur les enfants et adolescents que sur les vieillards. Ce temps sans repères, qu'il faut parcourir de minute en minute et qui requiert de nous invention, projets, retours sur soi, capacité à se faire exister soi-même par le recours à la « vie intérieure ».
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il n'en fut pas moins condamné à mort et fusillé, un matin du dernier printemps, lié sur une chaise.
Avoir l'heure m'a toujours paru quelque chose de ridicule, de fondamentalement mensonger, peut-être parce qu'une nécessité interne que je n'ai moi même jamais réussi à comprendre m'a toujours fait regimbe contre le pouvoir du temps et me tenir à l'écart de ce que l'on a coutume d'appeler l'actualité, dans l'espoir que le temps ne passe pas, ne soit point révolu, que je puisse revenir en arrière et lui courir après, que là-bas tout soit alors comme avant ou plus précisément, que tous les moments existent simultanément, auquel cas rien de ce que raconte l'histoire ne serait vrai, rien de ce qui s'est produit ne s'est encore produit mais au contraire se produit juste à l'instant où nous le pensons, ce qui d'un autre côté œuvre naturellement sur la perspective désespérante d'une détresse perpétuelle et d'un tourment sans fin.
L'air de rien, la « modernité », si l'on y réfléchit, est le mot-clé de l'idéologie de la gauche. Elle accule l'humain à ne se percevoir dans le temps présent qu'en référence à un avenir indéterminé, en effaçant le passé, simple et composé, sans lequel l'individu titube comme un ivrogne sur le fil de l'instant. La « modernité » est l'alibi générique du nihilisme contemporain. Elle a supplanté ces couples historiques — le Bien et le Mal, le Juste et l'Injuste, le Beau et le Laid — par ce binôme imbécile : le branché et le ringard.
Avant longtemps, ah ! ce corps sera gisant sur la terre, vil, inconscient, semblable à un morceau de bois qui n’est bon à rien.
A ma naissance, on a même pensé que ma voie serait la prédication comme fétichiste, je n'ai pas échappé à mon destin puisque je prêche toujours. Et malgré cette origine fétichiste, je tiens à vous dire, pour justifier certains de mes actes qui déroutent parfois la masse qui me fait confiance quand je lui parle de politique de main tendue, de non-violence, d'oubli du passé: je suis devenu croyant, pas un simple croyant qui se contente le matin et le soir d'aller à l'église, et qui passe son temps à psalmodier des litanies à la louange de Dieu. je suis un croyant. Je me sens si petit, et Dieu sait combien je suis petit. Je suis petit, et mes responsabilités, qui découlent de votre confiance, si grandes! Mes responsabilités vis-à-vis de I'Afrique, vis-à-vis de la France, vis-à-vis de I'Europe, et, peut être demain vis-à-vis du monde, pèsent lourdement sur mes faibles épaules.
On devient très sanguinaire par les temps qui courent, et l’on voudrait que tout le peuple allemand soit anéanti, avec seulement quelques individus épargnés, sur le modèle Sodome et Gomorrhe.
Nous les coureux, les Bohèmes, les camps-volants, les nomades, les caraques, les Roms, les Manouches, les Yéniches, les Sinté, les Gitans, appelez nous comme vous voudrez - c'est ainsi - , nous sommes les survivants d'un long destin de sang. Peuple dénigré, livré aux préjugés à la discrimination, nous avançons depuis longtemps sur des chemins hasardeux.
Il est temps, en 1964, de s'éveiller. Lorsque vous les voyez arriver après s'être entendus d'avance contre vous, montrez-leur que vos yeux se sont ouverts. Il faudra qu'ils choisissent entre le bulletin de vote et le fusil. Si vous avez peur d'utiliser une expression pareille, quittez le pays, retournez cultiver le coton sur votre parcelle, retournez à la ruelle. Ils ont pour eux toutes les voix des noirs, et lorsqu'ils ont ces voix, ils ne donnent rien aux noirs en retour.
Quand les fourmis sont petites. elles ont toutes des ailes; le temps des amours arrive, elles s'élèvent dans les airs en couples bourdonnants et s'unissent pendant leur vol; puis l'œuvre de la fécondation terminée, elles redescendent sur la terre, et là, elles-mêmes, avec leurs pattes de devant, elles tirent et font tomber leurs petites ailes, légers instruments de leurs amours aériens. Plus de courses à travers le ciel. plus de volages tendresses, la vie sérieuse a commencé pour elles, elles sont mères. Voilà notre modèle.
Sur le temps que l'avoine croît, le cheval meurt.
C’est une chose d’une grande conséquence que d’habiller les pingouins. À présent, quand un pingouin désire une pingouine, il sait précisément ce qu’il désire, et ses convoitises sont bornées par une connaissance exacte de l’objet convoité. En ce moment, sur la plage, deux ou trois couples de pingouins font l’amour au soleil. Voyez avec quelle simplicité ! Personne n’y prend garde et ceux qui le font n’en semblent pas eux-mêmes excessivement occupés. Mais quand les pingouines seront voilées, le pingouin ne se rendra pas un compte aussi juste de ce qui l’attire vers elles. Ses désirs indéterminés se répandront en toutes sortes de rêves et d’illusions ; enfin, mon père, il connaîtra l’amour et ses folles douleurs. Et, pendant ce temps, les pingouines, baissant les yeux et pinçant les lèvres, vous prendront des airs de garder sous leurs voiles un trésor !… Quelle pitié !
Celle qui plie le temps, le ramasse, en devient la dépositaire, à qui on confie avec le geste d'un marchand de tapis ce déroulé de nos années, où tout est dessiné, comme sur un codex, des heurs et des malheurs d'une existence, de ses espoirs de rencontre, de la rencontre, de sorte que le temps à venir se trouve en elle.
Le temps nous régit tous, le temps cicatrise, le temps travaille «souterrainement», parfois en mal, mais aussi parfois en bien. Mais, ça se passe sur un certain nombre de mois, parfois d'années.
Le cortège de la vieillesse est banal. Quoi dire de neuf sur la fugacité du temps et sur la mort ?
Décombres flamboyants (2019) de Tom Lanoye
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Le vendeur de sang (2006) de Yu Hua
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Chavirer (2020) de Lola Lafon
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A la recherche du temps perdu, A l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919) de Marcel Proust
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A Juana de Alfred de Musset
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Capitale de la douleur (1926), La courbe de tes yeux... de Paul Éluard
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Claude Lanzmann pour son film "Shoah" dans l'émission "Le cinéma des cinéastes" le 02/06/1985 sur France Culture.
de Claude Lanzmann
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Seulement si tu en as envie...(2017) de Bruno Combes
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Une activité respectable de Julia Kerninon
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Conversations à Jassy, Pierre Pachet, éd. Maurice Nadeau, 1997 de Pierre Pachet
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Les Grands Cimetières sous la lune (1938) de Georges Bernanos
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Austerlitz (2001) de W. G. Sebald
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L'Âme française (2016) de Denis Tillinac
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Le Dhammapada de Bouddha
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Éducation civique & morale, Félix Houphouët-Boigny, éd. Fraternité Hebdo, 1985, de Félix Houphouët-Boigny
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Comme neige au soleil (1982) de William Boyd
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Gipsy Blues (2014) de Jean Vautrin
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« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
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Histoire morale des femmes (1848) de Ernest Legouvé
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Proverbe de Proverbes belges
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L'Ile des Pingouins (1908) de Anatole France
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La Femme promise (2009) de Jean Rouaud
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Contact, l'encyclopédie de la création (Emission de TV canadienne). de Philippe Labro
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Carnets inédits de Gérard Bauër
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