Citation Tout a une fin
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Une Sélection de 150 citations et proverbes sur le thème Tout a une fin.
150 citations
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Si nous admettons comme un fait expérimental ne souffrant aucune exception que tout ce qui vit retourne à l'état inorganique, meurt pour des raisons internes, nous pouvons dire : la fin vers laquelle tend toute vie est la mort.
Car ce sont les désordres économiques, bourgeois, qui font les servitudes, bourgeoises, et au contraire ce sont les ordres économiques et sociaux étendus ou introduits qui font les libérations économiques. […] Une révolution sociale, bien entendue, est essentiellement une opération de mise ou de remise en ordre, en un certain ordre, social. Tout désordre, comme tel, et considéré comme une fin, est une opération de réaction, une opération de servitude. Et cette révolution sociale […] ne peut consister que essentiellement à étendre au contraire et à introduire des ordres ; elle ne peut que consister essentiellement à étendre, autant que nous le pouvons, le peu d’ordres économiques existants, institués ou sauvés, et surtout à introduire, autant que nous le pouvons, des ordres économiques nouveaux dans le désordre capitaliste bourgeois, désordre économique. Autant que moral.
Tout a une fin... sauf la saucisse qui en a deux.
On trouve dans le monde beaucoup d'injustices, mais il en est une dont on parle jamais, qui est celle du climat. De cette injustice-là, j'ai été longtemps, sans le savoir, un des profiteurs. J'entends d'ici les accusations de nos féroces philanthropes, s'ils me lisaient. Je veux faire passer les ouvriers pour riches et les bourgeois pour pauvres, afin de conserver plus longtemps l'heureuse servitude des uns et la puissance des autres. Non, ce n'est pas cela. Au contraire, lorsque la pauvreté se conjugue avec cette vie sans ciel ni espoir qu'en arrivant à l'âge d'homme j'ai découverte dans les horribles faubourgs de nos villes, alors l'injustice dernière, et la plus révoltante, est consommée: il faut tout faire, en effet, pour que ces hommes échappent à la double humiliation de la misère et de la laideur. Né pauvre, dans un quartier ouvrier, je ne savais pourtant pas ce qu'était le vrai malheur avant de connaître nos banlieues froides. Même l'extrême misère arabe ne peut s'y comparer, sous la différence des ciels. Mais une fois qu'on a connu les faubourgs industriels, on se sent à jamais souillé, je crois, et responsable de leur existence.
Agis de telle sorte que tu traites l'humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen.
Tout passe, les heures, les nuages dans le ciel, la vie des hommes, emportés de la naissance vers la mort. Ne t'attache pas à la chronologie affective des choses. C'est une très mauvaise manière de voir le monde. Fais de chaque seconde une expérience enrichissante, sans t'inquiéter du temps qui fuit et des matins qui ne reviennent plus. Le présent est la seule chose qui n'ait pas de fin.
Nous n'ignorons pas cependant la triste réalité : une grande partie de l'humanité est privée de la possibilité de choisir son activité, et accepte un travail à seule fin de « gagner sa vie », situation qui engendre toutes sortes de souffrances et d'injustices. Car l'homme est ainsi réduit à son utilité technique, ce qui est pour lui une mutation. S'il a naturellement besoin de faire, ce n'est pas seulement au niveau d'une production matérielle et directement utile au plan social, c'est surtout dans la dimension de ce que les Grecs appelaient poïen, qui signifie « faire » au sens de la poïesis, la « création ». C'est par ce « faire » créatif, par le travail en vue d'une réalisation que l'homme donne un sens à sa vie, qu'il devient le « poète » de sa vie. Telle est sa vocation, ce à quoi il est appelé.
Il avait l'allure d'un flic au bord de la retraite depuis toujours, comme sorti tout droit d'un film d'Olivier Marchal. Le blouson ouvert sur un torse large et un ventre épais. Une gueule surtout. Des cheveux gris mi-longs, raides, tirés à l'arrière jusqu'au bas du cou, libérant un grand front plissé de rides. Genre Marlon Brando sur la fin.
L'enfant marche joyeux, sans songer au chemin ;
Il le croit infini, n'en voyant pas la fin.
Tout a coup il rencontre une source limpide,
Il s'arrête, il se penche, il y voit un vieillard.Il n'est même pas question d'en douter puisque le doute c'est encore une histoire inventée par les hommes, tout comme la mort, cette fin inéluctable connue des êtres doués du sens de la parole, mais pas des autres.
Une société plus juste, plus libre, mettra sans doute fin à tout extrémisme religieux.
Je suis aujourd'hui une femme partagée entre la terreur que tout change et la terreur que tout reste pareil jusqu'à la fin de mes jours.
Agis donc de telle sorte que tu traites l'humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen.
On croit que les histoires se déroulent avec une sorte de logique, un début et une fin, on fait semblant de ne pas savoir qu'elles sont là tout entières depuis le début, avec leur commencement et leur chute. Mais il faut se mentir un peu.
Chaque fois qu'elle lisait, il lui semblait tout à fait juste que le signe de ponctuation placé à la fin d'une question eût la forme d'un crochet destiné à prendre au piège une personne déterminée à passer son chemin.
Je sais tout si tu savais, si tu savais comme je sais tout ce que je sais avant même de l'avoir vécu, j'ai douze ans mais bientôt j'en aurai quinze, et puis vingt, et vingt-cinq, j'ai vingt-cinq ans et je suis une femme seule dans un bar et j'attends ; j'ai trente ans et je suis belle et je porte des talons malgré ma promesse juré-craché de ne jamais le faire ; j'en ai quarante et je saute de train en train pour aller retrouver mon amant, puis cinquante, avec les yeux pochés d'avoir trop aimé, je n'ai jamais été si belle, et bientôt c'est la fin.
On dit d'une mauvaise étoffe, pour en indiquer les défauts, qu'on y voit tout au travers. Selon moi, on peut dire la même chose de quelques livres dont le lecteur peut, dès la première page, deviner la fin.
Le mal doit se faire tout d'une fois : comme on a moins de temps pour y goûter, il offensera moins le bien doit se faire petit à petit afin qu'on le savoure mieux.
Tout au long du semestre, je m'étais mis dans ce rôle illusoire d'une sorte d'Ulysse de la pédagogie, guidant mes troupes au coeur de l'aventure palpitante du texte, mais en fin de compte je n'étais que le Cyclope.
Enfin, je pose la question : une femme a-t-elle jamais accordé la profondeur à un cerveau de femme, à un coeur de femme la justice ? Et n'est-il pas vrai que, tout compte fait, la femme a surtout été mésestimée par les femmes et non par nous ?
Quand j'étais enfant, j'appartenais à l'espèce des poids lourds, difficiles à vaincre, difficiles à remuer, lents à s'émouvoir. Aussi il arrivait souvent que quelque poids léger, maigre de tristesse et d'ennui, s'amusait à me tirer les cheveux, à me pincer, et avec cela se moquant, jusqu'à un coup de poing sans mesure qu'il recevait et qui terminait tout. Maintenant, quand je reconnais quelque gnome qui annonce les guerres et les prépare, je n'examine jamais ses raisons, étant assez instruit sur ces malfaisants génies qui ne peuvent supporter que l'on soit tranquille. Ainsi la tranquille France, comme la tranquille Allemagne, sont à mes yeux des enfants robustes, tourmentés et mis enfin hors d'eux-mêmes par une poignée de méchants gamins.
Ils pensent qu'ils veulent que vous leur parliez de la guerre, mais en fait c'est faux. Ce qu'ils veulent, c'est que vous confirmiez leur propre opinion sur ce qu'ils croient être la guerre. Si ce sont des jeunes, ils veulent entendre d'horribles histoires de tireurs embusqués abattus. Si ce sont des femmes, une histoire touchante de loyauté et d'amitié. Si ce sont des pacifistes, une histoire choquante sur l'absurdité de tout ça. Et si ce sont des va-t-en-guerre ils veulent la même histoire, présentée de façon à montrer qu'en fin de compte ça valait la peine
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
Tout organisme pour s'adapter doit innover, tenter une aventure hors de la norme, engendrer de l'anormalité afin de voir si ça marche, car vivre, c'est prendre un risque.
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Essais de psychanalyse (1927) de Sigmund Freud
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Les Cahiers de la quinzaine, 5 novembre 1905 de Charles Péguy
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Proverbe de Proverbes allemands
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Préface de L'envers et L'endroit
de Albert Camus
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Fondements de la métaphysique des moeurs (1785) de Emmanuel Kant
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Sagesse amérindienne de Proverbes amérindiens
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Cinq méditations sur la mort. Autrement dit sur la vie (2013) de François Cheng
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N'oublier jamais de Michel Bussi
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Premières Poésies (1828-1835), Les Voeux stériles de Alfred de Musset
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C'est arrivé un jour de Pierre Bellemare
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Libération, 9 octobre 1985. de Naguib Mahfouz
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Adultère (2014) de Paulo Coelho
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Fondements de la métaphysique des moeurs de Emmanuel Kant
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Sur le sable (2009) de Michèle Lesbre
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Les rescapés du Styx (2007) de Jane Urquhart
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La légèreté (2014) de Emmanuelle Richard
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Les Aventures de Joseph Andrews et du curé Abraham Adams (1742) de Henry Fielding
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Le Prince (1513) de Nicolas Machiavel
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée (2019) de Daniel Mendelsohn
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Par-delà le bien et le mal (1886) de Friedrich Wilhelm Nietzsche
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Propos sur le bonheur (1928) de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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Pour services rendus de Iain Levison
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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L'Ensorcellement du monde (1997) de Boris Cyrulnik
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