Citation Tout a une fin
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150 citations
Il est démontré, disait-il que les choses ne peuvent être autrement; car tout étant fait pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin.
Enfin, je pose la question : une femme a-t-elle jamais accordé la profondeur à un cerveau de femme, à un coeur de femme la justice ? Et n'est-il pas vrai que, tout compte fait, la femme a surtout été mésestimée par les femmes et non par nous ?
C'est extraordinaire les choses vraiment tragiques et terribles mais en même temps marrantes dans le mariage. Je n'ai jamais rencontré personne pour écrire à ce sujet. Mon mari insistait pour aller conduire une voiture et il n'avait jamais été un bon conducteur. Comme tous les mauvais conducteurs, il pensait être le meilleur pilote du monde et il ne pouvait plus conduire du tout à la fin et c'était terrible.
Nous n'ignorons pas cependant la triste réalité : une grande partie de l'humanité est privée de la possibilité de choisir son activité, et accepte un travail à seule fin de « gagner sa vie », situation qui engendre toutes sortes de souffrances et d'injustices. Car l'homme est ainsi réduit à son utilité technique, ce qui est pour lui une mutation. S'il a naturellement besoin de faire, ce n'est pas seulement au niveau d'une production matérielle et directement utile au plan social, c'est surtout dans la dimension de ce que les Grecs appelaient poïen, qui signifie « faire » au sens de la poïesis, la « création ». C'est par ce « faire » créatif, par le travail en vue d'une réalisation que l'homme donne un sens à sa vie, qu'il devient le « poète » de sa vie. Telle est sa vocation, ce à quoi il est appelé.
La solitude est une chose bien étrange. Elle vous envahit, tout doucement et sans faire de bruit, s'assoit à vos côtés dans le noir, vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur votre peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre coeur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin. C'est une compagne de chaque instant, qui vous serre la main pour mieux vous tirer vers le bas quand vous luttez pour vous redresser.
Les profs sont là, debout sur l'estrade, sous les feux d'une rampe invisible, pour toute une vie, et nous ne faisons que passer. Ils sont les Bill Murray d'un Jour sans fin scolaire: ils nous séduisent toute une année, mais nous disparaissons en juillet et il leur faut tout recommencer, encore et encore. Pourtant, ils savent bien qu'en partant, nous les emportons avec nous, un peu.
À la fin, tout ce que l’homme a construit sera réduit à une couche de poussière de moins d’un centimètre. Nous sommes tellement insignifiants. Seule la pensée de Dieu nous rend dignes.
On croit que les histoires se déroulent avec une sorte de logique, un début et une fin, on fait semblant de ne pas savoir qu'elles sont là tout entières depuis le début, avec leur commencement et leur chute. Mais il faut se mentir un peu.
Le souvenir... Le souvenir de ceux que nous avons aimés et qui ne sont plus parmi nous, le souvenir de la beauté que nous a léguée le passé, le souvenir de tous ceux qui nous ont permis d’être ce que nous sommes... Un monde sans souvenirs serait la platitude et l’ennui mêmes ? ne serait-ce que parce qu’il n’y aurait plus rien à combattre et à incliner. Voyez quelle nostalgie éveille au cœur des foules tout ce qui évoque les coutumes ancestrales, les langages du terroir, les rites de la communauté, les habitudes de l’enfance, les traditions de la patrie, grande ou petite, de la région, de la province, de la vallée, du fleuve, de la forêt, de l’île ? tout ce qui tranche enfin sur la morne grisaille de ce que l’un des nôtres ? Jean Cocteau ? appelait si joliment « l’espéranto visuel ». Renoncer à ses traditions, c’est accepter de devenir dans le temps ce que sont dans l’espace les personnes déplacées, c’est tomber dans la condition désastreuse de réfugié de l’histoire. « Car, nous dit un écrivain qu’admirait Roger Caillois ? Antoine de Saint-Exupéry ?, les rites sont dans le temps ce que la demeure est dans l’espace (...). Et je ne connais rien au monde qui ne soit d’abord cérémonial. Car tu n’as rien à attendre d’une cathédrale sans architecte, d’une année sans fêtes (...) ni d’une patrie sans coutumes. »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
Pendant des années, en fait pendant une vie, n'avoir pensé qu'aux derniers moments, pour constater, quand on en approche enfin, que cela aura été inutile, que la pensée de la mort aide à tout, sauf à mourir !
Agis donc de telle sorte que tu traites l'humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen.
Il n'y a de terrible en nous et sur la terre et dans le ciel peut-être que ce qui n'a pas encore été dit. On ne sera tranquille que lorsque tout aura été dit, une bonne fois pour toutes, alors enfin on fera silence et on aura plus peur de se taire.
Tout au long du semestre, je m'étais mis dans ce rôle illusoire d'une sorte d'Ulysse de la pédagogie, guidant mes troupes au coeur de l'aventure palpitante du texte, mais en fin de compte je n'étais que le Cyclope.
Quand j'étais enfant, j'appartenais à l'espèce des poids lourds, difficiles à vaincre, difficiles à remuer, lents à s'émouvoir. Aussi il arrivait souvent que quelque poids léger, maigre de tristesse et d'ennui, s'amusait à me tirer les cheveux, à me pincer, et avec cela se moquant, jusqu'à un coup de poing sans mesure qu'il recevait et qui terminait tout. Maintenant, quand je reconnais quelque gnome qui annonce les guerres et les prépare, je n'examine jamais ses raisons, étant assez instruit sur ces malfaisants génies qui ne peuvent supporter que l'on soit tranquille. Ainsi la tranquille France, comme la tranquille Allemagne, sont à mes yeux des enfants robustes, tourmentés et mis enfin hors d'eux-mêmes par une poignée de méchants gamins.
Tout est relatif, même la bêtise. A ce sujet, il convient de rappeler ce mot ineffable de Courteline : Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet .
Moralisme et niaiserie qui, loin d'être inhérents à la parole féminine, surgissent dès qu'on veut rejeter toute la criminalité sur l'autre sexe » ; il est à regretter « d'entendre répéter un peu partout aujourd'hui comme un fait établi qu'il n'y a pas de femmes voyeurs, qu'il n'y a pas de femmes sadiques, et enfin et surtout, mais c'est le b-a ba de l'aveuglement néo-féministe, que le regard est une fonction phallique
Je comprends enfin cette notion enseignée dans un cours de philosophie : l'aventure, plus qu'une interruption du cours des événements ou un voyage vers un ailleurs inconnu et exaltant, est surtout une disposition à être dans le temps.
Le psaume 90 renferme une invocation qui me revient souvent à l’esprit en ces heures : « Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse. » Si elle me revient à l’esprit, c’est peut-être parce que, dans l’épidémie, nous n’arrêtons pas de compter. Nous comptons les malades et les guérisons, nous comptons les morts, nous comptons les hospitalisations et les matinées de classe perdues, nous comptons les milliards brûlés par les Bourses, les masques vendus et les heures qui nous séparent du résultat du test ; nous comptons les kilomètres qui nous éloignent du foyer de contagion et les chambres d’hôtel annulées, nous comptons nos liens, nos renoncements. Nous comptons et nous recomptons les jours, surtout les jours, les jours qui s’écouleront avant la fin de l’urgence.
Mon coeur était comme une chaîne de vélo qui a déraillé; j'en avais assez de tourner dans le vide; je voulais que mon coeur batte enfin utilement. J'attendais tout de la tendresse.
Le désir est un mouvement plutôt qu'un lieu. Mais, plus encore, le souvenir de cette longue poursuite, dont la fin était indiscernable du début, dit un certain type de rapport au monde : l'expérience rejetée au profit du souvenir, le centre rejeté au profit de la marge. Un sens du beau planant tout juste hors de votre portée, que vous puissiez considérer, auquel vous puissiez réfléchir. La réflexion devient, à sa façon, une autre forme de possession.
Tout l'automne à la fin n'est plus qu'une tisane froide.
Tout a une fin, sauf le saucisson qui en a deux.
Contre ces colères irrépressibles et ces caprices d’enfant gâté, ma mère a épuisé toutes ses cartouches. II n’y a aucun remède à la folie de cet homme qu’on dit caractériel. Leur mariage est une guerre sans fin, un carnage dont tout le monde a oublié l’origine. Le conflit sera bientôt réglé de façon unilatérale. Ce n’est plus qu’une question de semaines. Pourtant, ils ont bien dû s’aimer un jour, ces deux-là. Au bout d’un interminable couloir, occultée par la porte d’une chambre à coucher, leur sexualité a sur moi l’effet d’un angle mort où serait tapi un monstre : omniprésente (les crises de jalousie de mon père en sont le témoignage quotidien), mais parfaitement ésotérique (je n’ai aucun souvenir de la moindre étreinte, du moindre baiser, du plus infime geste de tendresse entre mes parents).
C’est un voyage. Au début de ce voyage, dit un poème zen, la montagne au loin a l’air d’une montagne. Au fil du voyage, la montagne ne cesse de changer d’aspect. On ne la reconnaît plus, c’est toute une fantasmagorie qui remplace la montagne, on ne sait plus du tout vers quoi on s’achemine. À la fin du voyage, c’est de nouveau la montagne, mais ça n’a rien à voir avec ce qu’on apercevait de loin il y a longtemps, quand on s’est mis en route. C’est vraiment la montagne. On la voit enfin. On est arrivé. On y est.
Candide (1759), I de Voltaire
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Par-delà le bien et le mal (1886) de Friedrich Wilhelm Nietzsche
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Rebecca West, L'art de la fiction n ° 65 de Marina Warner dans La Revue parisienne n ° 79 (printemps 1981) de Rebecca West
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Cinq méditations sur la mort. Autrement dit sur la vie (2013) de François Cheng
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Insaisissable, tome 1 : Ne me touche pas de Tahereh Mafi
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Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
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Dévorer le ciel (2019) de Paolo Giordano
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Sur le sable (2009) de Michèle Lesbre
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Réponse au discours de réception de Marguerite Yourcenar, Le 22 janvier 1981
de Jean d'Ormesson
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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De l'inconvénient d'être né (1973) de Emil Cioran
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Fondements de la métaphysique des moeurs de Emmanuel Kant
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Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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Une Odyssée : Un père, un fils, une épopée (2019) de Daniel Mendelsohn
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Propos sur le bonheur (1928) de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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Feuilles Volantes (1949) de Louis-Philippe Robidoux
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Annie Le Brun, « Brûleront-elles Hans Bellmer ? », paru dans Art Press international, n 24, janvier 1979, repris dans Vagit-prop, Lâchez tout et autres textes, Paris, éd. Ramsay/Jean-Jacques Pauvert, 1990, p. 236 ; cité par Georgiana Colvile, Scandaleuse de Annie Le Brun
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L'Enfant céleste (2020) de Maud Simonnot
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Contagions (2020) de Paolo Giordano
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Les Souvenirs (2011) de David Foenkinos
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L'étreinte fugitive (2009) de Daniel Mendelsohn
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Tome premier (1942), le Parti pris des choses de Francis Ponge
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Proverbe de Proverbes danois
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Yoga (2020) de Emmanuel Carrère
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