Citation Un peu de nous
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Une Sélection de 200 citations et proverbes sur le thème Un peu de nous.
200 citations
Nous avons une sensibilité plus fine que celle des hommes de la Renaissance, qui pouvaient encore couper leur viande sur fond de scènes mythologiques. Une sensibilité plus fine aussi que celle des hommes de l’époque rococo, nullement incommodés si la coupe, à travers le décor oignon bleuté, prenait une couleur vert-de-gris peu ragoûtante. Nous préférons manger sur fond blanc. En ce qui nous concerne, nous. Les artistes, eux, sont d'un autre avis.
On a l'air de dire que grâce à Mai 68 on a connu des évolutions. Bien sûr il s'est produit des choses intéressantes, notamment des slogans, mais Mai 68 n'est qu'une résultante des progrès en amont : l'évolution des mœurs a commencé avec le rock'n'roll un peu partout. Dans les autres pays, il y a eu la même évolution sans un Mai 68 comme chez nous !
Lorsque l’on est déstabilisé, que l’on sort de sa zone de confort, de ses habitudes, ce peut être l’occasion de prendre du recul, d’avoir un peu plus de distance. On peut profiter de ce temps de confinement pour réfléchir à sa vie, s’introspecter, savourer ses états d’âme. Si on lit un livre, essayons de méditer sur ce qu’il nous apporte et d’identifier quelles émotions et pensées nouvelles il suscite. On a rarement le temps de faire ça. C’est important de vivre ces moments de ralentissement.
Mon nom est Simcha, qui veut dire “joie” en hébreu. Je ne puis m'empêcher de le rapprocher de celui d'un de mes illustres contemporains, auquel je pense avoir tant à reprocher, Sigmund Freud : car tel est aussi, à peu près, le sens de son patronyme. Il suffit de voir nos photographies, ou ma figure, pour comprendre que ces noms ne nous ont pas porté chance, à moins de considérer que la joie est restée en nous bien secrète.
Voilà à peu près ce qu'elle disait : l'héritage, comme le milieu où nous avons grandi et le statut social, sont des cartes que l'on distribue à l'aveuglette au début du jeu. Il n'y a aucune liberté là-dedans : on se contente de prendre ce que le monde nous donne arbitrairement. Mais, poursuivait ta mère, la question est de savoir comment chacun dispose des cartes qu'il a reçues. Il y en a qui jouent formidablement avec des cartes médiocres, et d'autres qui font exactement le contraire : ils gaspillent et perdent tout, même avec des cartes exceptionnelles ! Voilà où réside notre liberté : nous sommes libres de jouer avec les cartes que l'on nous a distribuées. Et nous sommes également libres d'y jouer comme nous l'entendons, en fonction - là est l'ironie - de la chance de chacun, de sa patience, de son intelligence, son intuition et son audace : vertus qui sont également des cartes distribuées au hasard au début du jeu. Que reste-t-il donc de la liberté de choix dans ce cas ? Pas grand-chose, selon ta mère, sauf peut-être la liberté de rire de notre situation ou de la déplorer, de jouer ou de ne plus jouer, d'essayer plus ou moins de comprendre les tenants et les aboutissants ou d'y renoncer, bref - nous avons le choix entre passer notre vie sur le qui-vive ou dans l'inertie. C'est en gros ce que disait ta mère, mais avec des mots à moi. Pas les siens. Avec les siens, je n'en suis pas capable
Elle est peu instruite et peu observatrice. Nous avons découvert un jour que pour elle le mot «ascète» était en quelque sorte obscurément lié à «as», «assiette» et «Sète», mais qu'elle n'avait pas la moindre idée de ce qu'était réellement un ascète.
L'humanité qui est donnée à tous en naissant n'est en fait que la liberté donnée à chacun de définir la sienne. Aussi naissons-nous presque tous semblables et, sur le point de mourir, nous étonnons-nous d'en avoir rencontré si peu.
Il y a très peu de légèreté chez l’homme, il est lourd. Et alors maintenant, il est extraordinaire de lourdeur, depuis l’auto… L’alcool, l’ambition, la politique le rendent lourd, encore plus lourd, il est extrêmement lourd. Nous verrons peut-être un jour une révolte de l’esprit contre le poids n’est-ce pas, mais c’est pas pour demain, pour le moment on est lourds, c’est-à-dire en effet si j’avais à mourir, j’écrirai : il était lourd, voilà.
« Là où le danger croît, croît aussi ce qui sauve. » Il n'y a pas de salut sans danger extrême. Voilà de quoi nous nous sommes un peu trop déshabitués.
Et à quoi donc servirait-elle, la lecture, si elle ne nous aidait à comprendre que chaque livre est un passage étroit entre deux « ailleurs », celui d'où nous venons avec souvent si peu de mémoire et celui vers lequel nous allons en aveugles ?
Peu de moments dans l’histoire de notre pays ont été à ce point mis au défi ou été plus difficiles que celui que nous vivons actuellement. Un virus que l’on ne retrouve qu’une fois par siècle harcèle silencieusement le pays. En un an, il a fait autant de victimes aux Etats-Unis que durant toute la durée de la seconde guerre mondiale.
Je ne suis pas un écrivain engagé. L'écrivain engagé a tendance à être peu subtil car il doit faire passer un message. Dans ses textes, il n'y a pas de place pour l'ambiguïté. Moi, au contraire, j'aime travailler dans l'ambivalence parce qu'il me semble qu'elle nous fait réfléchir davantage.
Johnny m'avait dit : tu sais, on a tous voulu s'appeler Dick Rivers. Pour ce personnage du film Loving you… Il faut se rendre compte que c'était notre livre de chevet à l'époque, avec cette musique révolutionnaire. Mais le nom, bon, c'était un peu un hasard, je n'ai pas cherché pendant des heures. Ce qui nous plaisait, nous, c'était d'avoir un nom anglophone. Les « Chats Sauvages », comme les « Chaussettes noires » pour Eddy Mitchell, ça nous a été imposé. Mais on nous aurait demandé de prendre un coup de pied au cul on l'aurait fait, tellement on aimait cette musique.
Nous allions à Pornichet dans la Loire Inférieure. La mer, je courais après elle, elle courait après moi, tous les deux, on faisait ce qu'elle voulait. C'était comme les contes de fée: elle changeait les gens. A peine arrivés, ils n'avaient plus la même couleur, ni la même façon de parler. Ils étaient remis à neuf, on aurait dit des autres. Elle changeait aussi les choses et elle les expliquait. Avec elle, je savais l'horizon, le flux et le reflux, le crépuscule, l'aube, le vent qui se lève, le temps qui va trop vite et qui n'en finit plus. Et puis, la nuit qui tombe, le jour qui meurt et un tas de choses qui me plaisaient et que loin d'elle, très vite, j'oubliais. C'était tout petit Pornichet, un peu sauvage, mais il y avait le facteur, des pêcheurs, des marchands de coeur à la crème, et même une fois, un cirque est arrivé avec quelques pauvres animaux savants et un clown
Nous disparaîtrons, moi qui suis si peu de chose, et ceux que je contemplais si avidement, et de qui j'espérais toute ma grandeur; le meilleur de tous les biens, s'il y a des biens, c'est le repos, la retraite et un endroit qui soit son domaine.
Je crois qu'il y a une façon de relire l'histoire qui ne nous apaise pas, mais qui nous permet de nous sentir un peu mieux
Ce qu'il y a de plus pitoyable au monde, c'est, je crois, l'incapacité de l'esprit humain à relier tout ce qu'il renferme. Nous vivons sur une île placide d'ignorance,environnée de noirs océans d'infinitude que nous n'avons pas été destinés à parcourir bien loin. Les sciences, chacune s'évertuant dans sa propre direction, nous ont jusqu'à présent peu nui. Un jour, cependant, la coordination des connaissances éparses nous ouvrira des perspectives si terrifiantes sur le réel et sur l'effroyable position que nous y occupons qu'il ne nous restera plus qu'à sombrer dans la folie devant cette révélation ou à fuir cette lumière mortelle pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d'un nouvel obscurantisme.
O mort! éloigne-toi de notre pensée, et laisse-nous tromper pour un peu de temps la violence de notre douleur par le souvenir de notre joie.
Quand j'ai commencé en tant que journaliste, les femmes s'occupaient de consommation, d'éducation. Puis nous avons eu le droit d'entrer dans les sujets régaliens : la politique intérieure, étrangère, l'économie... J'ai bénéficié à ce moment-là d'une sorte de privilège de minorité : comme il y avait peu de femmes, les gens étaient plus attentifs, y compris les politiques, qui nous respectaient parce qu'on osait aller sur un terrain qui n'était pas balisé.
L'intelligence est la force, solitaire, d'extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi - vers l'autre là-bas, comme nous égaré dans le noir.
L’océan était-il une créature vivante ? On ne pouvait continuer d’en douter, à moins de se complaire dans les paradoxes ou l’entêtement. Il devenait impossible de nier les « fonction psychiques de l’océan – peu importait ce que le terme recouvrait exactement. Il était évident en tout cas, que l’océan ne nous avait que trop bien « vus »… Cette seule constatation infirmait les théories solaristes proclamant que l’océan était un « monde intérieur » - « une vie recluse » - privé par processus involutif d’organes de pensée ayant jadis existé, ignorant l’existence des objets et des phénomènes extérieurs, prisonnier d’un tourbillon gigantesque de courants mentaux créés et confinés dans les abîmes de ce monstre tournant entre deux soleils.
Cependant le matin, empourprant les nuages,
éclairait nos rideaux de toile à grands ramages,
et le soleil, dressant la tête à l'horizon,
colorait chaudement la riante maison.
Nous nous levons. Notre hôte était un fort brave homme ;
Sa femme était charmante... un peu trop économe,
Voilà tout.Nous partons. En route, voyageurs!
Le repos est ici; le plaisir est ailleurs.
La nature est là-bas qui nous ouvre son livre ;
Rester, c'est exister : mais voyager c'est vivre.Jamais je ne me suis senti de devoir, ni d'obligation, par rapport à la France, et le choix d'un pays de résidence a pour moi à peu près autant de résonance émotive que le choix d'un hôtel. Nous sommes de passage sur cette Terre, je l'ai maintenant parfaitement compris ; nous n'avons pas de racines, nous ne produisons pas de fruit. Notre mode d'existence, en résumé, est différent de celui des arbres. Cela dit j'aime beaucoup les arbres, je les aime même de plus en plus ; mais je n'en suis pas un. Nous serions plutôt des pierres, lancées dans le vide, et aussi libres qu'elles ; ou, si l'on tient absolument à voir les choses du bon côté, nous serions un peu comme des comètes.
Elle va nous traîner de pièce en pièce, abattant sa main croche un peu sur n'importe quoi, sans cesser de fulminer contre l'ingratitude, la filouterie du genre humain.
En nous dépeignant la femme de Lucrèce, et comme elle mourut, Marcel Schwob écrit, d'une phrase incomparable : « Son âme était remontée à la source mystérieuse de son sourire ».
Sourire qui te pose sur l'homme comme une promesse, ou comme un défi, sourire singulier de l'amoureuse, ta source est-ce donc rien que des larmes dans la poussière : un peu de boue ?
Ornement et Crime (1908) de Adolf Loos
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Interview - Dernières Nouvelles d'Alsace- , DNA, 08 avril 2018 de Françoise Hardy
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Interview Ouest France, par Sébastien Grosmaitre, le 29/03/2020 de Frédéric Lenoir
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Autobiographie de mon père (1987) de Pierre Pachet
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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La méprise (1991) de Vladimir Nabokov
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L'Effervescence du vide (2012) de Nicolas Grimaldi
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Entretien avec Pierre Dumayet, en 1957 de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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Grand beau temps. Aphorismes et pensées de Philippe Sollers
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Lira bien qui lira le dernier : lettre libertine sur la lecture (2004) de Hubert Nyssen
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Discours d’investiture devant le Capitole à Washington 20 janvier 2021 de Joe Biden
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Entretien avec RFI, par Tirthankar Chanda le 14-02-2013 de Anne-Laure Bondoux
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Interview au Télégramme parue le 14 novembre 2018, de Dick Rivers
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Paroles, Enfance (1948) de Jacques Prévert
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Les Caractères (1696), 66, I, De la cour de Jean de La Bruyère
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L’année des cyclones de Carl de Souza
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L'Appel de Cthulhu (1926) de Howard Phillips Lovecraft
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Oraison funèbre d'Henriette-Anne d'Angleterre, duchesse d'Orléans de Jacques Bénigne Bossuet
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Interview Grazia, par Lise Martin Le 06 mars 2017 de Anne Sinclair
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L'inespérée de Christian Bobin
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Solaris (1966) de Stanislaw Lem
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Contes, proverbe, scènes et récits en vers (1870) de Gustave Nadaud
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Ennemis publics (2008) de Michel Houellebecq
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Le Cri de la chouette (1971) de Hervé Bazin
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Le carnet de monsieur du Paur, homme public de Paul-Jean Toulet
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