Citation faire pour les autres
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Une Sélection de 100 citations et proverbes sur le thème faire pour les autres.
100 citations
C'est terrifiant de penser que nous sommes tous des hommes, tous à courber plus ou moins les épaules sous un ciel inconnu, et que nous nous refusons à faire un tout petit effort pour nous comprendre les uns les autres.
Apprend des erreurs des autres. Tu ne peux vivre assez longtemps pour toutes les faire toi-même.
Soyons clairs : les hommes forts – les hommes qui sont vraiment des modèles – n’ont pas besoin de rabaisser les femmes pour se sentir puissants. Les gens puissants élèvent les autres. Les gens puissants rassemblent les autres. Et c’est ce dont nous avons besoin chez la personne qui sera élue à la présidence. Nous avons besoin de quelqu’un qui sera une force unificatrice pour le pays. Nous avons besoin de quelqu’un qui soignera les blessures qui nous divisent, quelqu’un qui se préoccupera vraiment de nous et de nos enfants, quelqu’un avec de la force et de la compassion pour faire avancer le pays.
Nous n'arrivons jamais à nous faire à l'idée que nous comptons moins pour les autres qu'ils ne comptent pour nous.
Ils sont les uns comme les autres victimes d'êtres non humains qui utilisent les hommes pour satisfaire leurs besoins.
Créer des personnages, les porter à bras tendus, exige de se mettre dans la peau des autres. Le jour où j'ai compris que c'était devenu trop fatigant pour moi de me mettre encore dans la peau des autres, de créer encore des personnages, j'ai décidé d'arrêter. J'avais soixante-dix ans, c'était donc il y a un peu plus de deux ans. Et comme je voulais quand même faire quelque chose, je me suis mis à être mon propre personnage. Au lieu de chercher tout sur l'homme en étudiant les autres, essayer de le faire en m'étudiant moi-même.
Les cérémonies de fécondité ne sont pas les seules. D'autres ont pour but de faire entrer les jeunes gens dans la société des hommes et de les agréger ainsi à la collectivité. Ce sont les rites d'initiation.
On a beau s'efforcer de vivre une seule vie, les autres verront mille autres vies dedans, et c'est pour ça qu'on n'arrive pas à éviter de se faire du mal.
« Donnez à un homme un poisson et vous le nourrirez pour un jour. Enseignez-lui à pêcher et vous le nourrirez pour la vie. » Et après ? Enseignez-lui à faire pêcher les autres à sa place et vous le rendrez prospère. Montrez-lui comment s'enrichir et vous verrez que, tôt ou tard, il prodiguera ses conseils au tiers-monde, se croyant philosophe.
Que tout Blanc avait le droit de se saisir de toute votre personne pour un oui ou pour un non. Pas seulement pour vous faire travailler, vous tuer ou vous mutiler, mais pour vous salir. Vous salir si gravement qu'il vous serait à jamais impossible de vous aimer. Vous salir si profondément que vous en oubliiez qui vous étiez et ne pouviez même plus vous en souvenir. Et qu'alors même qu'elle, Sethe, et d'autres étaient passés par là et y avaient survécu, jamais elle n'aurait pu permettre que cela arrive aux siens. Le meilleur d'elle, c'étaient ses enfants. Les Blancs pouvaient bien la salir, elle, mais pas ce qu'elle avait de meilleur, ce qu'elle avait de beau, de magique -la partie d'elle qui était propre.
La seule liberté digne de ce nom est celle de travailler à notre propre bien de la manière qui nous est propre, pour autant que nous ne cherchions pas à en priver les autres ou à leur faire obstacle dans leurs efforts pour l'obtenir.
Ta passion pour ton métier n'est qu'un des nombreux masques de l'ambition. Chez d'autres, moins habiles, moins stratèges, le désir de conquête est plus visible ; chez toi, au premier abord, on ne décèle pas l'ambitieux compétiteur ; seulement le travailleur acharné, mais il y a dans cette forme de dévouement, cet acharnement à bien faire, une même volonté d'atteindre la première place, et d'y rester, quel que soit le prix à payer pour ça.
Les témoignages recueillis près de mes camarades sortis des autres camps confirment l'impression qui, dès l'abord m'avait frappée à Neuengamme. Le traitement que nous infligeaient les S.S. était la mise en oeuvre d'un plan concerté en haut lieu. Il pouvait comporter des raffinements, des embellissements, des fioritures, dus à l'initiative, aux fantaisies, aux goûts du chef de camp : le sadisme a des nuances. Le dessein général était déterminé. Avant de nous tuer ou de nous faire mourir, il fallait nous avilir. Par une double entreprise, physique et morale. L'intention ne laissait aucun doute. Elle trouvait sa source dans la haine de l'Homme.(...) Les douze mille hommes jetés à Neuengamme de tous les coins de l'Europe se trouvaient confondus, semblables, égaux, une simple chair anonyme ; rien de singulier ne subsistait en eux, sinon, cousue sur leurs loques, l'initiale de leur nation, qui permettait de séparer les compatriotes pour aggraver la solitude.
Si notre peuple peut produire des individualités assez audacieuses pour affronter ses errances et ses lâchetés, il lui reste une chance de prétendre à sa grandeur. Notre valeur ne réside pas dans les métaux du sous-sol auxquels d'autres ont donné une importance que nous ne comprenons toujours pas, que nous ne savons ni cerner, ni exploiter pour le bien commun. Ils en fixent le prix et nous l'acceptons parce que cela ne signifie rien pour nous. Ils nous dupent peut-être, mais nous les laissons faire, toujours inaptes à décider quoi que ce soit pour nous-mêmes.
Lycurgus ne s'estudia de rendre les siens belliqueux pour faire oultrage aux autres.
Camille ne veut pas d'enfants. Ces petits machins qui braillent, chient et foutent en l'air la grasse mat' du dimanche, très peu pour elle. Ceux des autres, à l'extrême limite, elle peut les tolérer quelques minutes. Mais en avoir un à soi, pour toute la vie en plus, non merci. Elle a du mal à garder une plante vivante, alors, un bébé... Ou bien il faudrait qu'elle puisse accoucher d'un enfant déjà grand. Qu'il sache se faire à manger, s'habiller tout seul et débarrasser le lave-vaisselle.
Les mots, j'ai appris à les aimer tous, les simples et les compliqués que je lisais dans le journal du maître, ceux que je comprends pas toujours et que j'aime quand même, juste parce qu'ils sonnent bien. La musique qui en sort souvent est capable de m'emmener ailleurs, de me faire voyager en faisant taire ce qu'ils ont dans le ventre, pour faire place à quelque chose de supérieur qui est du rêve. Je les appelle des mots magiciens : utopie, radieux, jovial, maladrerie, miscellanées, mitre, méridien, pyracantha, mausolée, billevesée, iota, ire, parangon, godelureau, mauresque, jurisprudence, confiteor, et tellement d'autres que j'ai retenu sans effort, pourtant sans connaître leur sens
Nous avons toujours besoin d'un point extérieur sur lequel nous appuyer, afin d'appliquer le levier de la critique. C'est particulièrement vrai en psychologie, où, de par la nature de la matière, nous sommes beaucoup plus impliqués subjectivement que dans toute autre science. Comment, par exemple, pouvons-nous prendre conscience des particularités nationales si nous n'avons jamais eu l'occasion de considérer notre propre nation de l'extérieur ? La considérer de l'extérieur signifie la considérer du point de vue d'une autre nation. Pour ce faire, nous devons acquérir une connaissance suffisante de la psyché collective étrangère, et au cours de ce processus d'assimilation, nous rencontrons toutes ces compatibilités qui constituent le préjugé national et la particularité nationale. Tout ce qui nous irrite chez les autres peut nous conduire à la compréhension de nous-mêmes.
La plupart d'entre nous n'ont pas été éduqués pour penser à leurs besoins. Mais, quand ces derniers ne sont pas satisfaits, on nous a plutôt appris à penser à ce qui ne va pas chez les autres. C'est ainsi que nous qualifions de paresseux un enfant qui n'accroche pas sa veste au portemanteau comme nous le désirons ou d'irresponsable un ouvrier dont le travail n'est pas conforme à nos attentes. Ces évaluations d'autrui sont des expressions indirectes de nos besoins insatisfaits. Elles risquent plus de provoquer la résistance et l'agressivité que de susciter le désir de satisfaire nos besoins.
Il faut faire attention aux mots. Ne pas les répéter à tout bout de champ. Ni les employer à tort et à travers, les uns pour les autres, en racontant des mensonges. Autrement, les mots s'usent. Parfois il est trop tard pour les sauver.
La vérité des passions ne se déguise pas si aisément que les vérités sérieuses. Il faut du feu, de l'activité et un feu d'esprit naturel et prompt pour la première ; les autres se cachent avec la lenteur et la souplesse, ce qu'il est plus aisé de faire.
L'homme est un animal assez effrayant pour faire se terrer ou fuir les autres bêtes à son approche.
MASOCHISME : Perversion absurde qui consiste à se faire du mal à soi-même, alors qu'il y a les autres pour cela.
Les présomptions ne vont jamais toutes dans un seul sens, pas dans une affaire aussi compliquée que celle-là. C'est d'ailleurs le problème. On n'a pas assez d'informations, le dossier est incomplet. Il n'y a pas de schéma clair, de réponse évidente. Alors les inspecteurs font ce que tout le monde fait : ils se fabriquent une histoire dans leur tête, une théorie, et ensuite ils vont consulter le dossier pour trouver des preuves de ce qu'ils avancent. Ils arrêtent d'abord un suspect et ensuite ils cherchent un élément pour l'inculper. Du coup, ils se désintéressent des éléments qui en désignent d'autres.
Le rapport de forces entre la défense et les juges est, finalement, une affaire de dosage. Il faut trouver la bonne distance, celle qui bénéficiera à l'accusé. Cela me rappelle la fable des hérissons, racontée jadis par Schopenhauer : A l'arrivée des premiers grands froids, observe le philosophe, ces petites bêtes s'enterrent pour hiberner. Plus elles s'installent les unes près des autres plus elles risquent de se piquer ; mais plus elles s'éloignent, moins elles se réchauffent. Aux assises, c'est la même chose : tout est question de distance, de recul, de respect. Mais la défense ne doit pas hésiter à sortir ses piquants si elle se rend compte qu'on veut l'exclure du nid judiciaire, quitte à passer pour la bête noire du petit monde de la magistrature.

Georges Simenon
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Eleanor Roosevelt
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Georges Simenon
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Toni Morrison
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Franck Bouysse
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Maurice Toesca
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