Citation il etait une fois
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Une Sélection de 100 citations et proverbes sur le thème il etait une fois.
100 citations
J'étais exaspéré qu'une fois de plus il se serve d'un livre comme d'un masque, et j'avais commencé à penser que la passion d'Alexandre pour la lecture était une façon commode pour tenir le monde à distance.
Il était une fois trois vilains brigands, avec de hauts manteaux noirs et de hauts chapeaux noirs.
Quel était ce feu intérieur qui éclatait parfois dans son regard, au point que son oeil ressemblait à un trou percé dans la paroi d'une fournaise?
Assurément il existe un culte du héros plus anciens et meilleurs que celui-ci. Mais l'ancien héros était un être qui, comme Achille, était plus humain que l'humanité elle-même. Le surhomme de Nietzsche est froid et sans amis. Achille est si éperdument épris du sien qu'il immole des armées dans l'agonie de son deuil. Le triste César de M. Bernard Shaw s'écrit dans son orgueil désolé : « Qui n'a jamais connu l'espoir ne peut jamais désespérer. » L'Homme-Dieu d'autrefois répond du haut de la montagne tragique : « Y eut-il jamais une douleur semblable à la mienne ? » Un grand homme n'est pas un homme si fort qu'il sente moins que les autres hommes ; c'est un homme si fort qu'il sent davantage. Et, quand Nietzsche dit : « Je vous donne un nouveau commandement : « soyez durs », il dit en réalité : « je vous donne un nouveau commandement : soyez morts. » La sensibilité est la définition de la vie.
Ce que sont pour le libertin les cuisses ouvertes, ce qu'est un vol d'oiseaux migrateurs pour l'ornithologue, ce qu'est la tenaille pour l'ajusteur, voilà ce qu'était pour le jeune Stencil la lettre V. Il rêvait, une fois par semaine, peut-être bien, que tout cela n'avait été qu'un rêve, et qu'à présent il se réveillait pour découvrir que la poursuite de V. n'était après tout qu'une recherche purement intellectuelle, une aventure de l'esprit, selon la tradition du Rameau d'or ou de la Déesse blanche.
Elle songea que la paroi entre la vie et la mort était si frêle qu'il suffisait parfois d'un mot, ou d'une absence de mot, pour qu'elle se fracture.
Il rêvait, une fois par semaine, peut-être bien, que tout cela n'avait été qu'un rêve, et qu'à présent il se réveillait pour découvrir que la poursuite de V. n'était après tout qu'une recherche purement intellectuelle, une aventure de l'esprit, selon la tradition du Rameau d'or ou de la Déesse blanche.
Ils ne se sont pas demandés ce qui se passerait dans le cas d'une catastrophe mondiale. Ils ont modifié les semences pour qu'elles ne servent qu'une fois. On mangeait la récolte et c'était inutile de garder des graines pour les semer ensuite car elles étaient programmer pour l'échec. Donc, il fallait retourner acheter leurs semences à eux. Très beau modèle d'entreprise - sauf que ces entreprises ont été emportées par le vent et les semences sont restées.
Qu'est-ce qui fait que parfois nous disons que nous sommes juifs, argentins, polonais, français, anglais, avocats, médecins, professeurs, chanteurs de tango ou joueurs de football ? Qu'est-ce qui fait que parfois nous parlons de nous-mêmes en étant si certains que nous ne sommes qu'une seule chose, une chose simple, figée, immuable, une chose que nous pouvons connaître et définir par un seul mot ? » Depuis qu'il était parti de Pologne, comme tant d'exilés, Vicente se posait souvent ces questions. Et s'il trouvait parfois des réponses à ce problème – beaucoup de réponses, trop de réponses ! –, jamais il n'arrivait à regarder l'une d'elles comme une véritable solution.
En décembre 1954, quand l’abbé Pierre a lancé son appel, j’étais en première au lycée à Paris. On était tous allé apporter des chaussettes et des gants. J’avais un copain communiste qui m’a dit qu’il préférait la justice à la charité. Je trouvais la formule formidable : une fois la justice sociale obtenue, plus besoin de charité. Ça m’a beaucoup idéologisé.
Chaque fois qu'il entendait dire que quelqu'un était mort rapidement et sans souffrance, il demandait aux dieux pour lui et les siens une semblable euthanasie.
Il manquait à ce pays un manuel d'instruction civique. En tout cas, quelque document un peu plus explicite qu'une table d'orientation. L'hiver, parfois, la neige et le froid s'ingéniaient à ralentir les mouvements. Même la mécanique laborieuse du temps s'enrayait, les horloges prenaient du retard sur les montres. Plus aucun portable, ordinateur, relais de communication ne fonctionnait. La seule radio continuant d'émettre était la tronçonneuse. Dès qu'on l'entendait rugir, on repérait l'endroit à la hâte, vérifiant de fait qu'untel était encore valide. Puis on percevait le bruit d'un autre engin, cette fois dans le sens inverse. Et ainsi de suite. Une façon imparable de se compter de temps à autre, car d'habitude, dans ce pays, l'on ne départageait point les vivants des morts. Il n'y avait qu'aux enterrements où l'on tenait de réfléchir en éloignant ceux qui s'en vont de ceux qui restent.
Il était une fois un pays merveilleux où les femmes avaient pris leur revanche sur les hommes, elles pouvaient enfin devenir maçon, plombier ou champion de boxe et laissaient à leurs maris le soin de torcher les enfants et de repriser les chaussettes.
Les visiteurs étrangers avaient surnommé notre ville "la cité des oiseaux". un nom qui lui allait bien. le soir, juste avant la nuit, les oiseaux s'envolaient parfois tous ensemble, formant un nuage qui cachait la lune. jamais personne n'en avait vue autant. mais en hiver, le temps devenait mauvais. il faisait si froid le matin qu'on avait du mal à casser la glace des cuvettes pour se laver. et ces matins-là, on voyait quelque chose de triste: des montagnes de plumes là où les oiseaux gelés étaient tombés. vous pouvez me croire; c'était le travail de mon père de balayer la rue. il faisait des tas avec les corps et y mettait le feu. mais parfois il en ramenait quelques-uns à la maison. Maman, nous tous, on les soignait jusqu'à ce qu'ils soient assez forts pour s'envoler. et c'est ce qui arrivait, ils nous quittaient juste au moment où on les aimait le plus.tout comme les enfants, vous comprenez ? et quand l'hiver revenait et qu'on revoyait les oiseaux gelés, notre coeur nous disait qu'il y avait sans doute un que nous avions sauvé un an plus tôt.
Je voulais à la fois comprendre et condamner le crime d'Anna. Mais était trop horrible pour cela. Lorsque je tentais de le comprendre , j'avais le sentiment de ne plus le condamner comme il méritait effectivement de l'être. Lorsque le le condamnais comme il le méritait, il n'y avait plus de place pour la compréhension. Mais en même temps je voulais comprendre Hanna ; ne pas la comprendre c'était la trahir une fois de plus. Je ne m'en pas sorti. Je voulais assumer les deux, la compréhension et la condamnation. Mais les deux ensemble, cela n'allait pas.
Ma mère. Je n’ai pas pu l’embrasser! Les soldats nous ont tassés dans des trains pour la Pologne. Mon cousin est mort de froid, à côté de moi. C’était la première fois que je voyais un mort. Et il avait mon âge ! Sur le quai de l’arrivée, on a reçu d’autres coups. Olejak nous a sélectionnés, mon père et moi, pour son camp. Je suis devenu un homme au fond d’une mine.
C'est vrai qu'on m'a mariée à Samad Iqbal le soir même du jour où je l'ai rencontré pour la première fois. C'est vrai que je ne le connaissais ni d'Eve ni d'Adam. Mais il ne me déplaisait pas. On s'est rencontrés dans la salle du petit déjeuner d'un hôtel de Delhi, un jour où il faisait une chaleur épouvantable, et il m'a éventée avec le Times. J'ai trouvé qu'il avait un visage sympathique, une voix douce et un joli p'tit derrière pour un homme de son âge. Bon. Maintenant, chaque fois que je découvre quelques chose sur son compte, je l'apprécie un peu moins. Donc, tu vois, tout compte fait, on était nettement mieux avant...
C'était à nouveau la valse des sourires. Etonnant comme parfois on prend des résolutions, on se dit que tout sera ainsi dorénavant, et il suffit d'un mouvement infime des lèvres pour casser l'assurance d'une certitude qui paraissait éternelle.
J'allai même jusqu'à lui ouvrir ma bourse et à le conjurer d'y prendre tout l'argent qu'il voudrait. Mais il n'était pas de ces gens qui ne se le font pas dire deux fois dans une pareille occasion.
C'était pathétique aujourd'hui, de songer à l'impatience avec laquelle il avait attendu sa libération, comptant les jours qui le séparaient de son retour à la maison, parce qu'il n'avait pas compris alors (et il valait mieux l'ignorer) qu'une fois qu'on était en prison, on n'en sortait plus jamais. Les gens vous traitaient comme quelqu'un de différent; vous tendiez à récidiver, de la même façon que les personnes touchées par la malaria ou l'alcoolisme tendaient à rechuter. La seule façon de s'en sortir était de partir dans un endroit où personne ne vous connaissait ni vous, ni votre famille, et d'essayer de repartir de zéro.
Il leva une dernière fois les yeux, il regarda les Halles ... L'énorme charpente de fonte se noyait, bleuissait, n'était plus qu'un profil sombre sur les flammes d'incendie du levant.
Parce que les étés finissaient pas se ressembler et qu’il était de plus en plus lourd de n’avoir souci que de soi, que l’injonction de “se réaliser” tournait à vide à force de solitude et de discussions dans les mêmes cafés, que le sentiment d’être jeune se muait en celui d’une durée indéfinie et morne, qu’on constatait la supériorité sociale du couple sur le célibataire, on tombait amoureux avec plus de détermination que les autres fois et, un moment d’inattention au calendrier Ogino aidant, on se retrouvait mariés et bientôt parents.
Regardez mes mains : parfois je me demande si je sais encore dessiner. Vous savez, j'ai tellement dessiné, tellement travaillé. La bande dessinée, ce n'était pas une profession qui payait bien quand j'ai commencé. Il fallait fournir beaucoup de dessins pour vivre.
Il était une fois un général et un prêtre partis à l'aventure. Ils s'en étaient allés ramasser les restes de leurs soldats tués au cours d'une grande guerre. Ils marchèrent, marchèrent, franchirent bien des montagnes et des plaines, cherchant et ramassant ces dépouilles.
Oh ! autrefois la harpe d'Innisfail
Était cordée bien haut sur des notes de joie ;
Mais pourtant elle racontait souvent une histoire
De la tristesse dominante.

Virginie Lou
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Tomi Ungerer
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Victor Hugo
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Gilbert Keith Chesterton
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Thomas Pynchon
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Pierre Bénichou
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Suétone
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André Bucher
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Dumas Philippe
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Truman Capote
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Bernhard Schlink
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Sébastien Spitzer
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Zadie Smith
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David Foenkinos
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Alain René Lesage
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Donna Tartt
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Emile Zola
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Annie Ernaux
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Albert Uderzo
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