Citation lui c est
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Une Sélection de 620 citations et proverbes sur le thème lui c est.
620 citations
Un homme, c'est cette créature avec qui vous voudriez toujours avoir affaire, que vous voudriez trouver partout, quoique vous ne vouliez jamais lui ressembler.
Le Noir fait partie du système du métayage de coton au même titre qu'il fait partie du système du labeur dans le Sud, c'est-à-dire qu'il est cet homme que le travailleur blanc naît en détestant et meurt en détestant. Et il est détesté parce que c'est un nègre ; détesté parce qu'on estime qu'aucune femme blanche laissée sans surveillance ne se trouve en sécurité à moins d'un kilomètre de lui ; détesté parce qu'il accepte de travailler pour une paie sur laquelle l'homme blanc cracherait et d'être traité d'une manière qui pousserait l'homme blanc au meurtre ; il est surtout détesté, bien sûr, par les blancs que les circonstances ont placés presque aussi bas sur l'échelle sociale que lui.
Nous croyons le faux qui nous flatte. Vous feriez aisément accroire que le blanc est noir à celui qui a des cheveux blancs.
Le drame d'une vie peut toujours être exprimé par la métaphore de la pesanteur. On dit qu'un fardeau nous est tombé sur les épaules. On porte ce fardeau, on le supporte ou on le le supporte pas, on lutte avec lui, on perd ou on gagne.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Est ennuyeux quiconque n'a pas de vanité, quiconque ne veut faire aucune impression. Le vaniteux peut être exaspérant, mais non ennuyeux. Que faire avec quelqu'un qui ne vise à aucune sorte d'effet? Que lui dire? Et qu'attendre de lui?
David ne détestait pas les keufs. Il les méprisait. Un jour, il lui avait dit, mi haineux, mi ironique: Un flic, c'est un truand qu'a pas réussi. Et il le pensait.
L'homme véritablement indépendant est celui qui supporte avec le même calme, la présence du mal et l'absence du plaisir.
La correspondance est telle dans tout le corps de l'Eglise que ce que fait chaque évêque, selon la règle et dans l'esprit de l'unité catholique, toute l'Eglise, tout l'épiscopat et le chef de l'épiscopat le fait avec lui.
N'oublions pas que cette bouche parle, et ce qu'il y a de très beau, c'est que les paroles d'amour sont suivies de silences d'amour. Notre visage permet donc de cristalliser en lui toutes les composantes de l'amour.
Je lui ai dit : « Avec tes paroles, tu détruiras le village. Il est des pensées qu'on doit taire. Nous sommes comme des guerriers sur un champ de bataille. La peur est en chacun. Lorsqu'on voit le voisin courir à l'ennemi, on se dit : « il est fou », puis on fait comme lui, et on devient brave. Si chaque guerrier avait dit sa peur au voisin, on aurait palabré et peut-être décidé la fuite.
Il y a, me dit-il une fois, peu de temps avant de mourir, deux sortes de souffrance : avec l'une, on sait que l'on souffre et , tandis que l'on souffre, une vie meilleure dont le goût persiste dans la mémoire est escamotée; avec l'autre, on ne le sait pas mais le monde entier, jusque dans la plus modeste de ses présences, apparaît aux yeux de celui qui le traverse comme un lieu désert et calciné.
Aujourd'hui, il y a plus de dangers. Ils sont multiples. Vous avez le danger nucléaire. Vous avez le danger économique, celui de la domination de l'argent un peu partout. Vous avez les crises de la démocratie, comme il y en a eu à l'époque, et qui aujourd'hui sont aussi graves. Donc, il y a des traits semblables, mais aussi des traits très différents. Surtout, il y a l'absence de conscience lucide que l'on marche vers l'abîme. Ce que je dis n'est pas fataliste. Je cite souvent la parole du poète Hölderlin qui dit que « là où croît le péril croît aussi ce qui sauve ». Donc, je pense quand même qu'il y a encore espoir.
Depuis l’aîné à grandi sans se lier. Se lier, c c’est trop dangereux, pense-t-il . Les gens qu’on aime peuvent disparaître si facilement. C’est un adulte qui a associé la possibilité du bonheur à celle de la perte. Vents mauvais ou cadeaux, il ne laisse plus à la vie le bénéfice du doute. Il a perdu la paix. Il a rejoint ces êtres qui portent au coeur un instant arrêté, suspendu pour toujours. En lui quelque chose est devenu pierre, ce qui ne signifie pas insensible mais plutôt endurant. immobile, implacablement identique au gré des jours.
Les petits bonheurs de tous les jours, il n'en veut pas. Il lui faut le grand bonheur. Il n'a pas encore compris que le grand bonheur, c'est justement fait avec tous les petits bonheurs mis bout à bout.
Aujourd'hui quand je lis les articles sur le baby blues, cette dépression postnatale, je suis de tout cœur avec ces femmes-là, ayant bien connu ce désarroi face à un bébé. Ce trou qui semble vous aspirer à la nuit tombée, quand le silence se fait, que votre bébé s'est endormi enfin. Ce corps qui n'est plus le vôtre, que vous lavez sans plus rien ressentir, cet engourdissement permanent, cette façon de se couper de tout, de ne plus s'intéresser à rien, rien d'autre que son enfant et lui en vouloir un peu pour cela.
Toi qui entres ici oublie le diamètre de l'assiette normale ! Mais aussi celui de l'assiette intermédiaire comme celle dite à dessert pour ne te souvenir que des plus petites, sous-tasses à café et soucoupes. Car c'est ainsi que tout, désormais, te sera servi : dans de la dînette. Avec peu à manger dessus. Et encre, tu es privilégié: le reste de la RPDC crève de la faim.
C'est difficile quand quelqu'un meurt sans qu'on ait fait la paix avec lui, sans qu'on lui ait dit au revoir. Même si on a eu des relations tendues.
Je comprends très bien que dans notre société de traces, contrôlée jusqu'à l'obscène, où le moindre vêtement, la moindre semelle de chaussure, le moindre doudou, une trottinette rouillée, je sais pas : un banc public, les pavés même, émettent de l'information… où le moindre mot lancé dans un bar est collexiqué ! Je comprends tellement que ce monde rêve d'un envers ! De quelque chose qui lui échapperait enfin, irrémédiablement, qui serait comme son anti-matière, le noir de sa lumière épuisante ! L'abracadata qui échapperait par magie à tous les datas ! J
Très vite, j'eus l'intuition qu'en fuyant le handicap, on s'isole. Il est là, il faut l'accueillir comme un cinquième membre, composer avec lui. Pour ce faire, la connaissance de ses faiblesses me semble primordiale.
Celui qui n'est pas en vie doit être considéré comme mort. Donc... si je comprends bien, avant la vie on est mort, et après la vie on est de nouveau mort.
La mort, d’ailleurs, fixe pour toujours les traits, les paroles, les attitudes : tandis que celle qui est partie, on devine avec effroi que chaque seconde qui passe modifie imperceptiblement son image, l’éloigne de celle qu’on a chérie, que des mots qu’on ne lui connaissait pas sortent de ses lèvres, des pensées traversent son esprit auxquelles on n’est pas associé, et qu’on ignorera toujours.
Je ne me pique, mon cher et illustre maître, d'être ni aussi sublime que Platon, s'il est vrai qu'il soit aussi sublime qu'on le prétend, ni aussi obscur qu'il me paraît l'être; vous me faites donc trop d'honneur de me comparer à lui.
On dit que la naissance vous fait oublier les temps antérieurs; on dit que mettre au jour, c'est mettre à jour, comme un carnet qu'on fait débuter à blanc en lui arrachant des pages.
Celui qui croit pouvoir mesurer le temps avec les saisons
Est un vieillard déjà qui ne sait regarder qu'en arrière.
L'Indigent philosophe (1727) de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
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Une saison de coton: Trois familles de métayers (1936) de James Agee
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Faits et croyances de Victor Hugo
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L'insoutenable légèreté de l'être (1984) de Milan Kundera
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Carnets 1957-1972, 21 février 1965 de Emil Cioran
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Miserere (2008) de Jean-Christophe Grangé
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Pensées et Maximes de Félix Guillaume Marie Bogaerts
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Sermon sur l'unité de l'Eglise de Jacques Bénigne Bossuet
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Amour, Poésie, Sagesse (1997) de Edgar Morin
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Sous l'orage de Seydou Kouyate Badian
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L'ancêtre (1983) de Juan José Saer
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Grand entretien, France Info, le 08 juillet 2021 de Edgar Morin
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S'adapter (2021) de Clara Dupont-Monod
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Le Petit Meaulnes (2003) de Jean-Louis Fournier
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La Noce d'Anna (2005) de Nathacha Appanah
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Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
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Retour à Cedar Cove, 1. La maison d'hôtes (2014) de Debbie Macomber
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Les Furtifs (2019) de Alain Raymond, dit Alain Damasio
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Eloge de la faiblesse (1999) de Alexandre Jollien
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Le tour du chat en 365 jours (2006) de Philippe Geluck
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Port-Soudan (1992) de Olivier Rolin
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Lettre à Voltaire, 7 août 1763 de Jean le Rond d'Alembert
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Porte dévergondée de André Pieyre de Mandiargues
Références de André Pieyre de Mandiargues - Biographie de André Pieyre de Mandiargues
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Le Roman inachevé (1956) de Louis Aragon
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