Citation tout a coup
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Une Sélection de 460 citations et proverbes sur le thème tout a coup.
460 citations
J'ai parfois la pensée qu'il n'arrive jamais rien de nouveau dans le monde. Que tout se trouve depuis longtemps déjà tout entier quelque part, pour devenir visible seulement d'un coup.
Dans la joie de l'abandon, nous risquons d'aimer et d'être aimés, nous créons notre propre vie, au-delà de nos peurs muettes, au-delà de nos douleurs refoulées. Et l'enfant en nous, mal aimé et craintif, solitaire et désespérément affamé de reconnaissance, respire tout à coup, barbouille sa page blanche, invente sa vie à la mesure de son Soi le plus authentique.
Heures de cauchemar, de délire... Et tout à coup, le téléphone... Mon regard fiévreux se tourne vers le réveil sur mon bureau : seize heures vingt ! Déjà ! Le temps passe donc si vite en enfer ?
J'ai beaucoup copié... A peu près tout ce qu'on a fait depuis toujours.
Il existe de par les chemins une race de gens qui, au lieu d'accepter une place que leur offrait le monde, ont voulu s'en faire un tout seul, à coup d'audace ou de talent.
Je voudrais bien savoir, se dit-il, ce qui se passe réellement dans un livre, tant qu'il est fermé. Il n'y a là, bien sûr, que des lettres imprimées sur du papier, et pourtant — il doit bien se passer quelque chose puisque, quand je l'ouvre, une histoire entière est là d'un seul coup. Il y a des personnages que je ne connais pas encore, et il y a toutes les aventures, tous les exploits et tous les combats possibles — parfois surviennent des tempêtes, ou bien on se retrouve dans des villes et des pays étrangers. Tout cela est d'une façon ou d'une autre à l'intérieur du livre. Il faut le lire pour le faire vivre, c'est évident. Mais c'est déjà dans le livre, à l'avance. Je voudrais bien savoir comment.
Quand mes filles eurent atteint l'âge de douze ans, je les initiai aux mystérieux pouvoirs. Non pas tant, mystérieux, parce qu'elles en ignoraient l'existence, que je les leur avais dissimulés (avec elles, je ne me cachais de rien puisque nous étions de même sexe), mais plutôt que, ayant grandi dans la connaissance vague et indifférente de cette réalité, elles ne comprenaient pas plus la nécessité de s'en soucier ni d'avoir, tout d'un coup, à la maîtriser d'une quelconque façon, qu'elles ne voyaient l'intérêt pour elles d'apprendre à confectionner les plats que je leur servais et qui relevaient d'un domaine tout aussi lointain et peu palpitant. Elles ne songèrent pourtant pas à se rebeller contre cet ennuyeux enseignement. Elles ne tentèrent même pas, certains après-midi ensoleillés, d'y couper sous quelque prétexte. Je me plaisais à croire que, cette docilité chez mes filles peu dociles, mes jumelles fulminantes et impulsives, je la devais à la conscience qu'elles avaient peut-être, malgré tout, là, d'une obligation sacrée.
Souvent, la fin de l'histoire n'est pas une fin, la boucle n'est pas bouclée du coup le sens de l'histoire est à chercher non dans son dénouement mais dans son déroulement... tout comme le sens de la vie.
Si les pédagogues ne sont pas détournés vers d'autres proies, il arrivera que les instituteurs sauront beaucoup de choses, et que les écoliers ne sauront plus rien du tout.
J'ai beaucoup fantasmé sur la prostitution de luxe tout en sachant que je n'étais ni grande et belle comme on disait qu'il fallait être ni suffisamment distinguée pour pouvoir m'y livrer.
Pour moi, même les films de gens qu'on élève sur le pavois me paraissent tout à fait incompatibles ou incomparables avec la meilleure littérature du siècle. Je veux dire qu'on n'a jamais eu un Joyce en film : je regrette beaucoup, mais ça n'existe pas pour moi, ou en tout cas, je n'en ai pas vu l'équivalent.
Je me rends compte à quel point la place de l'écrivain est beaucoup plus compliquée à investir pour une femme que pour un homme. En tout cas, pour moi. J’ai l’impression d’être dans une forme d’imposture même après cinq romans. C’est une place d’autorité intellectuelle que je ne me sens pas autorisée à avoir. Dans les endroits où l'on m'invite pour parler, dans les rencontres ou les colloques à l’étranger, je trouve parfois difficile de me me trouver dans la position de celle qui dit «je sais».
Ah! la volupté de régler tout dans la journée et d'aller se coucher sans qu'aucun papier en souffrance ne traîne sur le bureau, sans devoir un franc à personne et - mais c'est beaucoup plus rare - sans que personne ne vous doive un franc!...
J'aime beaucoup les femmes qui calculent. Ce sont les meilleures. Elles calculent tout ce qu'elles perdraient à ne m'être pas agréable.
Si l'on jette un coup d'œil sur ce qui a été écrit jusqu'ici, l'impression pourrait facilement se dégager que ce qui compte, pour moi, c'est uniquement de dénombrer avec malveillance les faiblesses de mes pauvres parents afin de les faire passer ensuite pour les méchants qui m'auraient détraqué et auxquels il faudrait donc attribuer tout mon malheur. Mais j'ai tendance à croire qu'il y a davantage, dans ce récit, que la simple intention de rendre mes parents responsables de ce que j'aurais dû mieux savoir et mieux faire. Aujourd'hui, mes parents sont beaucoup moins, à mes yeux, les « coupables » que les co-victimes de la même situation faussée. Ils n'étaient pas les inventeurs de cette mauvaise façon de vivre ; ils étaient bien davantage –tout comme moi- dupes de cette vie mauvaise, acceptée sans esprit critique.
Il y a malheureusement beaucoup de moments, et même de longues périodes de temps où nous ne sommes pas sensibles à la beauté du monde parce qu'un écran se met entre elle et nous, soit les hommes et leurs misérables fabrications, soit les laideurs de notre propre âme. Mais nous pouvons toujours savoir qu'elle existe. Et savoir que tout ce que nous touchons, voyons et entendons est la chair même et la voix même de l'Amour absolu.
Mon sang s'allume et pétille, la tête me tourne, malgré mes cheveux déjà grisonnants, et voilà le grave citoyen de Genève, voilà l'austère Jean-Jacques, à près de quarante-cinq ans, redevenu tout à coup le berger extravagant.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Nous avons toujours besoin d'un point extérieur sur lequel nous appuyer, afin d'appliquer le levier de la critique. C'est particulièrement vrai en psychologie, où, de par la nature de la matière, nous sommes beaucoup plus impliqués subjectivement que dans toute autre science. Comment, par exemple, pouvons-nous prendre conscience des particularités nationales si nous n'avons jamais eu l'occasion de considérer notre propre nation de l'extérieur ? La considérer de l'extérieur signifie la considérer du point de vue d'une autre nation. Pour ce faire, nous devons acquérir une connaissance suffisante de la psyché collective étrangère, et au cours de ce processus d'assimilation, nous rencontrons toutes ces compatibilités qui constituent le préjugé national et la particularité nationale. Tout ce qui nous irrite chez les autres peut nous conduire à la compréhension de nous-mêmes.
Dans ce siècle où tout se renouvelle, je ne sais pas de transformation plus importante que celle qui touche aux rapports des pères et des enfants dans la société moderne. Les enfants occupent aujourd'hui une place beaucoup plus grande dans la famille : on vit plus avec eux, on vit plus pour eux : soit redoublement de prévoyance et de tendresse, soit faiblesse et relâchement d'autorité, on s'occupe plus de leur santé, on surveille plus leur éducation, on songe plus à leur bien-être, on écoute plus leur opinion. Ils sont presque devenus les personnages principaux de la maison ; et un homme d'esprit caractérisait ce fait par un seul mot ; il disait : Messieurs les enfants !
On se dit tiens, j'aimerais bien chanter comme la Callas ou jouer du piano comme Arthur Rubinstein. Puis, tout d'un coup, ça vous arrive. Vous voyez le numéro du Premier ministre s'afficher sur votre portable puisque je connais Jean Castex depuis longtemps, et qui me demande si je souhaite rejoindre l'équipe gouvernementale. Je réponds d'abord non. Et Jean Castex me dit que c'est pour être ministre de la Culture. Et je lui réponds là, tu me fais craquer.
Dans un pays où tout le monde cherche à paraître, beaucoup de gens doivent croire, en effet, qu'il vaut mieux être banqueroutier que de n'être rien.
Un vaisseau athenien arrive tout coy du commencement, puis tout à coup ceulx qui sont dedans font un grand bruit.
On n'en veut pas à la pierre contre laquelle on se cogne, on a mal c'est tout. Mais quand le coup provient d'une personne avec qui on a établi une relation affective, après avoir enduré le coup, on souffre une deuxième fois de sa représentation.
Le problème est que la nouvelle pauvreté en Italie a un niveau de vie extrêmement bas. Et la télévision est la dernière façon pour eux de s'évader. Tout le monde regarde la télévision, tout le monde lit les magazines et journaux populaires. Du coup, les gens vivent par procuration la vie des autres, ceux qui ont de l'argent, ceux qui ont du succès...

Hugo von Hofmannsthal
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Jean-Jacques Rousseau
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Alfred de Vigny
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Ernest Legouvé
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Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
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