Citation un homme bien
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Une Sélection de 370 citations et proverbes sur le thème un homme bien.
370 citations
Il est bien dur, ajouta-t-elle, que mon mari, qu'un homme sur l'affection duquel je croyais pouvoir compter, me traite aussi disgracieusement, et ne satisfasse point à ma fantaisie.
Quand un homme est assez heureux pour avoir une belle-mère très bien conservée, il lui est facile de la tenir pendant un certain temps en échec, pour peu qu'il connaisse quelque jeune célibataire courageux.
Un homme qui écrit bien n'écrit pas comme on a écrit, mais comme il écrit, et c'est souvent en parlant mal qu'on parle bien.
Je suis abasourdi dès qu'un individu prétend donner des leçons de morale ou bien joue à l'homme juste. N'est-ce pas d'un extrême mauvais goût ?
Le Pape: Je vois que vous le connaissez bien. - Isotta: Un homme se mesure en une nuit.
On ne comprend bien Don Juan qu'en se référent toujours à ce qu'il symbolise VULGAIREMENT : le séducteur ordinaire et l'homme à femmes. Il est un séducteur ordinaire. A cette différence prés qu'il est CONSCIENT et c'est par là qu'il est ABSURDE.
Avant d'obliger un homme, assurez-vous bien d'abord que cet homme n'est pas un imbécile.
Chaque fois que l'on fait quelque chose de bien, cela commence par une liquidation. Nietzsche et Gavroche, pour qualifier un homme d'une certaine sorte d'intelligence, emploient le même mot : affranchi.
Recevoir des bienfaits de quelqu'un est une manière plus sûre de se l'attacher que de l'obliger lui-même. La vue d'un bienfaiteur importune souvent, celle d'un homme à qui l'on a fait du bien est toujours agréable. Nous aimons notre ouvrage en lui.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Un fou, ce n'est que les idées ordinaires d'un homme mais bien enfermées dans une tête. Le monde n'y passe pas à travers sa tête et ça suffit. Ca devient comme un lac sans rivière une tête fermée, une infection.
La femme la plus sotte peut mener un homme intelligent ; mais il faut qu'une femme soit bien adroite pour mener un imbécile.
... pour bien connaître un homme, il faut le connaître par soi-même.
Il arrive rarement qu'un homme dise à une femme qu'elle est intelligente. Il a bien d'autres compliments à lui faire. Aussi toute femme se trouve-t-elle étonnée et flattée de se l'entendre dire. Même si elle l'est.
Le silence dans l'homme est une dignité , C'est un beau vêlement sur une noble pose. Éloquent sans parler, un esprit grave impose. Il fait bien deviner sa force et sa beauté.
On jugerait bien plus sûrement un homme d'après ce qu'il rêve que d'après ce qu'il pense.
L'homme qui ne dort pas, et je n'ai depuis quelques mois que trop d'occasion de le constater sur moi-même, se refuse plus ou moins consciemment à faire confiance au flot des choses. Frère de la Mort... Isocrate se trompait, et sa phrase n'est qu'un amplification de rhéteur. Je commence à connaître la mort ; elle a d'autres secrets, plus étrangers encore à notre présente condition d'homme. Et pourtant, si enchevêtrés, si profonds sont ces mystères d'absence et de partiel oubli, que nous sentons bien confluer quelque part la source blanche et la source sombre.
Chacun veut être un homme de bien.
Les Trois Mousquetaires (1844) de Alexandre Dumas
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La Comédie humaine (1842-1852) de Honoré de Balzac
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Cahiers de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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Entretien au FigaroVox le 29/09/2017 de Patrice Jean
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Malatesta (1946) de Henry de Montherlant
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Le mythe de Sisyphe (1942) de Albert Camus
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Le Voyage de Monsieur Perrichon (1860) de Eugène Labiche
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Les Olympiques (1924) de Henry de Montherlant
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Carnets tome 1 de Joseph Joubert
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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Simples Contes des collines (1888), Trois et... un extra de Rudyard Kipling
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Hamlet (1601) de William Shakespeare
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Colomb de la lune de René Barjavel
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Sonnets : Le silence de Evariste Boulay-Paty
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Les Misérables (1862) de Victor Hugo
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Alexis ou le Traité du vain combat (1929) de Marguerite Yourcenar
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Proverbe de Proverbes français
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