Une citation de Philippe Labro
proposée le samedi 07 mars 2015 à 00:00:02Philippe Labro - Ses citations
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Lorsqu’on est sur le point de mourir de soif, les yeux se mettent à pleurer.
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De la part de la princesse morte -
Kenizé Mourad
Je crois que tout écrivain possède des tics comme ça, des petites manies. Pourquoi ? Parce que ça l’enferme, ça lui permet de se concentrer. C’est des rites. [...] Par exemple, même en plein jour, je ferme les rideaux et j’allume la lumière. Je ne peux pas écrire autrement que dans une notion de nuit, une atmosphère de silence.
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Philippe Labro
[...] c’est que je ne peux pas concevoir de ne pas voir ce que j’ai écrit, revenir en arrière, jouer avec mes feuillets. Quand je relis, une session de travail est suivie d’une autre. Celle qui suit, je relis ce que j’ai écrit la veille ou huit jours avant. Donc, j’aime bien revoir et corriger. Alors, vous me direz, on peut le faire avec l’ordinateur. C’est pas pareil. Ça défile, c’est totalement inhumain, [...] ça m’intéresse pas. J’ai besoin d’être dans la toile, vous voyez, au milieu... au milieu de la chose.
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