3 réponses

  • L'auteur a compris sous la dénomination générale d'ïambes toute satire d'un sentiment amer et d'un mouvement lyrique ; cependant ce titre n'appartient réellement qu'aux vers satiriques composés à l'instar de ceux d'André Chénier ; le mètre employé par ce grand poëte n'est pas précisément l'ïambe des anciens, mais quelque chose qui en rappelle l'allure franche et rapide : c'est le vers de douze syllabes, suivi d'un vers de huit, avec croisement de rimes ; cette combinaison n'était pas inconnue à la poésie française, l'élégie s'en était souvent servie, mais en forme de stances ; c'est ainsi que Gilbert a exhalé ses dernières plaintes
  • Iambes. de
    BARBIER


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  • CHÉN. de
    M. JOS.


    Références de M. JOS. - Biographie de M. JOS.

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  • Portraits littéraires, 1864, t. III, p. 267 de
    SAINTE-BEUVE


    Références de SAINTE-BEUVE - Biographie de SAINTE-BEUVE

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