Citations sur haissent

Ne vous mêlez point avec ces gens-là [les Rochelois], qui haïssent le roi à cause qu'il est le premier gentilhomme de son royaume

Les gens illettrés haïssent moins violemment, mais les lettrés savent mieux aimer

T'ai-je peint ces tristes Tisiphones [les femmes qui haïssent leurs enfants], Ces monstres pleins d'un fiel que n'ont point les lionnes ?

Les Muses, qui haïssent le genre médiocre et tempéré, doivent s'accommoder infiniment d'une religion qui montre toujours ses personnages au-dessus ou au-dessous de l'homme

Les muses haïssent le genre médiocre et tempéré

Tous clercs heent moult noirement [les vilains haïssent noirement tous les clercs]

Nos apothicaires me font pitié, quoique je ne les aime point et qu'ils me haïssent ; ils sont si morfondus que janvier à deux bonnets ne l'est pas davantage

Ils haïssent autant à les voir [les femmes] avec de la céruse sur le visage, qu'avec de fausses dents

Elles ne haïssent pas de primer dans ce nouveau genre de vie

Les petits se haïssent les uns les autres, lorsqu'ils se nuisent réciproquement

S'il arrive que les méchants vous haïssent et vous persécutent

Volontiers gens boiteux haïssent le logis

Volontiers gens boiteux haïssent le logis

Volontiers on fait cas d'une terre étrangère ; Volontiers gens boiteux haïssent le logis

Les hommes ne sont pas seulement sujets à perdre le souvenir des bienfaits et des injures ; ils haïssent même ceux qui les ont obligés

Les Indiens haïssent les mahométans parce qu'ils mangent de la vache ; les mahométans détestent les Indiens parce qu'ils mangent du cochon

J'ai été environné d'espions, de malveillants, et le monde est plein de gens qui me haïssent à cause du mal qu'ils m'ont fait

Que votre main se fasse sentir à tous vos ennemis ; que nul de ceux qui vous haïssent n'échappe à votre droite

Tout est révolté [dans un couvent] ; madame le soutient [un médecin] ; les jeunes le haïssent ; les vieilles l'approuvent ; les confesseurs sont envieux ; le visiteur le condamne sur sa physionomie

C'est un mal-vivant, répondit l'abbé, qui gagne sa vie à dire du mal de toutes les pièces et de tous les livres ; il hait quiconque réussit, comme les eunuques haïssent les jouissants ; c'est un de ces serpents de la littérature qui se nourrissent de fange et de venin ; c'est un folliculaire. - Qu'appelez-vous un folliculaire ? dit Candide. - C'est, dit l'abbé, un faiseur de feuilles, un Fréron