Citation avait
Sélection de 1624 citations sur le sujet avait
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Citations avait - Page 61 sur un total de 82 pages.
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Honneur et profit ne couchent pas au même lit. Honore le bon pour qu'il t'honore, et le méchant pour qu'il ne te déshonore. ir Voler le cochon, et donner les pieds pour l'amour de Dieu. Figue verte et fille d'auberge mûrissent à force d'être pincées. La trahison plaît, mais non celui qui la fait.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Entre deux dents mâchelières ne mets jamais le pouce. Chez le serrurier, broche de bois. Chez le ménétrier, tout le monde danse. Le vent qui court change la girouette, mais non la tour. Donner est honneur, demander douleur.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : De poltron à poltron, qui attaque bat. De la main à la bouche la soupe se perd. Les malheurs et les voyages font les amis. De l'emporté détourne-toi un moment ; du sournois, toute ta vie. Le sot qui se tait passe pour sage.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Heureux, tu ne te connaîtras pas ; malheureux, on ne te connaîtra pas. Quand la rivière ne fait plus de bruit, c'est qu'elle a tari ou qu'elle a grossi. Quand le loup donne dans la bergerie commune, malheur à qui n'a qu'une brebis. Dieu envoie des amandes à qui n'a pas de dents. Du cuir d'autrui, longues courroies. Donnez-moi pour m'asseoir, et je prendrai bien pour me coucher.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Si Dieu n avait pas créé les pommes, Cézanne était condamné à peindre des compotiers vides.
La servante du Seigneur de Jean-Louis Fournier -
Jean-Louis Fournier
Les yeux dansants comme des anges Elle riait elle riait Elle avait un visage aux couleurs de France Les yeux bleus les dents blanches et les lèvres très rouges Elle avait un visage aux couleurs de France.
Apollinaire - Alcools - 1909 -
Guillaume Apollinaire
Michel Strogoff avait le tempérament de l’homme décidé, qui prend rapidement son parti, qui ne se ronge pas les ongles dans l’incertitude, qui ne se gratte pas l’oreille dans le doute, qui ne piétine pas dans l’indécision. Sobre de gestes comme de paroles, il savait rester immobile comme un soldat devant son supérieur ; mais, lorsqu’il marchait, son allure dénotait une grande aisance, une remarquable netteté de mouvements, — ce qui prouvait à la fois la confiance et la volonté vivace de son esprit. C’était un de ces hommes dont la main semble toujours pleine des cheveux de l’occasion , figure un peu forcée, mais qui les peint d’un trait.
Michel Strogoff -
Jules Verne
Un jour, on a demandé à Gainsbourg s'il avait quelqu'un de moins de trente ans à statufier et il a dit quelque chose qui m'a bouleversée : Ce serait France Gall. Ce serait une immense statue en sucre d'orge et tous les enfants viendraient lui lécher les doigts.
Interview par Philippe Constantin, 1968, dans édition presse nc, France Gall. -
France Gall
La femme était quelqu'un tant qu'elle avait le sens de la pudeur. Elle ne l'a plus, elle dévoile tout pour rien, elle détruit l'illusion en empêchant l'imagination de travailler.
Cahiers -
Cioran
Pendant longtemps, les hommes avaient pu s'ignorer. Égyptiens et Chinois avaient chacun cru dominer le monde sans jamais se rencontrer ; catholiques et musulmans campaient sur leurs positions depuis les croisades ; le Nord avait oublié le Sud. Tout cela n'était désormais plus possible.
Les falsificateurs -
Antoine Bello
Et l'amitié leur devenait à tous deux comme un élargissement : on avait beau ne pas s'embrasser, on se touchait à fond, on était l'un dans l'autre, si différent que l'on fût, sur cette terrible route de Remilly, l'un soutenant l'autre, ne faisant plus qu'un être de pitié et de souffrance.
La débâcle d'Emile Zola -
Zola
Il avait étudié le latin, l'espagnol, la théologie. Mais, depuis sa petite enfance, il rêvait de connaître le monde, et c'était là quelque chose de bien plus important que de connaître Dieu ou les péchés des hommes.
L'alchimiste de Paulo Coelho -
Paulo Coelho
Il y avait encore à cette époque assez de simplicité primitive dans les gens du peuple pour qu'ils fussent persuadés par les mystérieuses fables des agents qui les travaillaient, au point de n'oser porter un jugement d'après l'évidence, et la plupart attendirent avec effroi la rentrée des juges, se disant à demi voix ces mots prononcés avec un certain air de mystère et d'importance qui sont ordinairement le cachet de la sottise craintive. — Qui vivra, verra ! etc. , discours idiots de la foule, qui ne servent qu'à montrer qu'elle est au premier qui la saisira fortement.
Cinq-Mars - Chapitre V - Le martyre -
Alfred de Vigny
On disait que Wang-Fô avait le pouvoir de donner la vie à ses peintures par une dernière touche de couleur qu'il ajoutait à leurs yeux. Les fermiers venaient le supplier de leur peindre un chien de garde, et les seigneurs voulaient de lui des images de soldats. Les prêtres honoraient Wang-Fô comme un sage ; le peuple le craignait comme un sorcier. Wang se réjouissait de ces différences d'opinions qui lui permettaient d'étudier autour de lui des expressions de gratitude, de peur, ou de vénération.
Comment Wang-Fô fut sauvé -
Marguerite Yourcenar
On ne fait pas attention que l'âne serait par lui-même, et pour nous, le premier, le plus beau, le mieux fait, le plus distingué des animaux, si dans le monde il n'y avait point de cheval : il est le second au lieu d'être le premier, et par cela seul il semble n'être plus rien : c'est la comparaison qui le dégrade ; on le regarde, on le juge, non pas en lui-même, mais relativement au cheval ; on oublie qu'il est âne, qu'il a toutes les qualités de sa nature, tous les dons attachés à son espèce ; et on ne pense qu'à la figure et aux qualités du cheval, qui lui manquent, et qu'il ne doit pas avoir.
Histoire naturelle -
Buffon
L'accès au livre, plus que tout, réclame des passeurs : on vient au livre parce que quelqu'un vous y conduit. Et cela durant toute la vie. Combien de fois avons-nous lu, et souvent aimé, un livre parce qu'il nous venait de quelqu'un que nous aimions, en qui nous avions confiance ? Mieux : qui nous avait fait, dans tous les sens, le don de ce livre.
Nous, on n'aime pas lire, Danièle Sallenave -
Danièle Sallenave
Impossible de savoir quand et comment on est libre, quand et comment on est manœuvré. Si chaque fois, on voulait s'examiner pour identifier la nature précise d'un acte, on déboucherait plutôt sur un vertige que sur une conclusion. On en déduira que s'il y avait une solution au problème du libre-arbitre, la philosophie n'aurait aucune raison d'exister.
Écartèlement de Emil Michel Cioran -
Cioran
Pendant ces quelques jours, dans ce vide, dans ce temps passé à ne rien faire, sans écrire, sans rien, je croyais qu’il avait volé mon âme, mais il était devenu mon inspiration.
Les Aventures singulières, Hervé Guibert, éd. Editions de Minuit, 1982 (ISBN 2-7073-0613-4), p. 66 -
Hervé Guibert
Quel a été le plus beau siècle de la philosophie ? — Celui où il n'y avait pas encore de philosophes.
Proverbes chinois recueillis et mis en ordre Par Paul Perny -
Proverbes chinois
La vérité, c’est qu’il avait été comme tous les enfants, un enfant écrasé, puis un jeune homme et un homme écrasés, à qui on avait commencé de voler la vie en détail avant de tenter le grand coup de la lui voler en bloc.
Le Sang noir -
Louis Guilloux
Page 61 sur un total de 82 pages.
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