Citation avec


Sélection de 5445 citations sur le sujet avec

- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe avec issus de livres, discours ou entretiens.

Page 107 sur un total de 273 pages.


Citations avec - Page 107 sur un total de 273 pages.




L'amour ne voit pas avec les yeux, mais avec l'imagination.
Le songe d'une nuit d'été - William Shakespeare




Ils viennent, inévitables comme le jugement dernier Ne me demandez pas qui est celui qui s'appelle Ringissen, ou Leroy, - ils se ressemblent tous. Ils sont châtains, avec la raie sur le côté. Droegmans, plus blond, joue plus blond et plus suave. Moi, si j'étais du jury, je lui donnerais un second prix...Je m'arrête sur la pente fatale où m'entraîne une aveugle indulgence. Mais c'est qu'aussi ils me font de la peine, ces pauvres gosses qui s'échignent toute l'année le tempérament pour arriver à quoi ? À rater leur concours.
Au concert, 1903 - Colette




Car je suis l’être qui domine et qui protège. Je t’aime d’un amour impérieux et doux. Je t’aime comme un amant et comme une sœur. Tu m’obéiras, ô mon souci ! mais tu feras de moi tout ce que tu voudras. Je serai à la fois ton maître et ta chose. Je t’aime avec la fureur d’un désir mâle et avec l’alanguissement d’une tendresse féminine.
La Dame à la louve - Renée Vivien




A mesure que j'avançais en âge, mon hugolâtrie grandissait, et chaque nouvelle œuvre du poète, attendue avec impatience, était dévorée dès son apparition. Si j'entendais autour de moi grincer d'irritantes critiques, je me réconfortais en causant avec Berlioz, qui voulait bien m'honorer de son amitié et dont l'admiration pour Hugo égalait la mienne.
Regards sur mes contemporains, camille saint-saens, édition édition bernard coutaz, 1990, p. 162 - Victor Hugo




Même sa voix me semblait plus grave, bien qu'elle soit toujours légère, aérienne, donnant l'impression qu'elle allait s'envoler avec la brise sans laisser le temps aux mots de se poser.
Tenebres, prenez-moi la main - Dennis Lehane




De nuit, ce décor invite au crime avec une telle insistance qu'il ne viendrait à personne l'idée de s'y aventurer sans nécessité.
Le ravissement de britney spears - Jean Rolin




Il y a des gens qui ne sont jamais contents. Ils vous trouvent trop tristes, ou trop gais. Avec eux, toujours quelque chose de trop. Moi, j'aime beaucoup le « trop », c'est le signe d'une riche nature.
L'oeil du purgatoire - Jacques Spitz




Ils me traitèrent avec une négligence méprisante jusqu'à ce que je devienne plus agressive et que je fasse connaître ma présence.
Discriminations - Shirley Ann Jackson




Un divorce sans amant ? Voyons, c'est aussi absurde que de s'enivrer avec de la limonade !
Les beaux mariages - Edith Wharton




Heureusement, Thatch ne l'a pas enterré avec ses bottes aux pieds. Les fantômes aiment vagabonder à bord des bateaux et, s'ils sont chaussés, pas moyen de dormir tant ils font de bruit.
Sur des mers plus ignorées - Tim Powers




le ciel est un linge sale pour essuyer cette terre polluée où nous faisions des châteaux de sable avec nos mains de bijoux handicapés.
L'urine des forets (1999) - Denis Vanier




Beaucoup de chrétiens aujourd'hui se rallient à la doctrine marxiste car depuis les temps anciens, l'établissement ecclésiastique a signé des concordats successifs avec le pouvoir lorsqu'il n'a pas pu l'exercer lui-même. Il s'est rallié aux dominants de toutes les époques, alors que le Christ s'est promené à travers le monde en ralliant autour de lui les faibles et les dominés.
Eloge de la fuite (1976), henri laborit, édition edition robert laffont, gallimard, collection folio essais, 1985 (isbn 2-07-032283-1), p. 174 - Henri Laborit




J’essaye de faire en sorte que la comédie soit un genre fait avec sérieux. C’est ce que j’ai essayé de faire avec Kaamelott.
Interview pour Direct-Matin, 13 février 2013 - Alexandre Astier




On peut tout contre moi, excepté me décevoir. Avec ou sans mérite, je suis trop établi dans la vie surnaturelle pour que le démon de l'Illusion puisse avoir sur mon âme un pouvoir quelconque.
L'invendable, leon bloy, édition robert laffont, coll. bouquins, 1999, p. 572 - Léon Bloy




Fière allure. Comme qui essaies-tu de marcher ? J'oublie : un exproprié. Avec le mandat de maman, huit shillings, la porte du bureau de poste claquée à mon nez par le garçon. Une rage de dents à force de faim. Encore deux minutes. Regardez l'horloge. Il faut que je. Fermé. Sale salarié ! Ah, le bougre, le mettre en cent mille miettes, pan, d'un seul coup de feu, miettes-d'homme-botons-de-cuivre mouchetant les murs partout. Les morceaux craaaque-claaaquent trictrac tous en place. Pas de bobo ? Oh, pas du tout. La patte. Vous voyez de quoi il retourne, n'est-ce pas ? Ca va. Serrons-nous la pince. Ca va, ça va.
Ulysse (1922), james joyce (trad. auguste morel), éd. gallimard, coll. folio, 1957 (isbn 2-07-040018-2), p. 66 - ulysse, 1922 - James Joyce




(...) selon la gauche juive, nous sommes autorisés à parler d'Israël aussi longtemps que nous n'admettons pas que cet État meurtrier se définit en fait lui-même comme étant l'État juif. Et nous sommes autorisés à discuter d'Israël aussi longtemps que nous ne mentionnons pas que ses avions militaires sont décorés avec des symboles juifs.
« israel et sa propagande generalisee : entretien avec le musicien et ecrivain gilad atzmon », gilad atzmon, propos recueillis par angela lano (trad. traduction e&r par romain r.), egalite et reconciliation, 22 novembre 2012 - Gilad Atzmon




Julius, tu n'apprends rien, tu ne comprends rien. Avec ou sans Victor, tu n'existes pas. Tu n'es personne. Tu as passé toute ta vie sans le comprendre.
Le vagabond - Jorge González




Antigone à Créon : Pauvre Créon ! Avec mes ongles cassés et pleins de terre, et les bleus que tes gardes m'ont fait aux bras, avec ma peur qui me tord le ventre, moi je suis reine !
Antigone (4 fevrier 1944), jean anouilh, édition la table ronde, coll. theatre, 1947 (isbn 2710300257), scene 3, p. 98 - Jean Anouilh




La femme nous remet en communication avec l'éternelle source où Dieu se mire.
Œuvres complètes (édition 1961) - Ernest Renan




Les trônes ont ceci de commun avec les baquets d'aisance que leurs usagers les souillent dès qu'ils s'y posent.
Le dechronologue - Stéphane Beauverger



Page 107 sur un total de 273 pages.










.$char.
 -  Abandon  -  Abnegation  -  Abondance  -  Abrutissement  -  Absence  -  Abstinent  -  Absurde  -  Abuser  -  Accuser  -  Acheter  -  Action  -  Activite  -  Administration  -  Admiration  -  Adolescent  -  Adorer  -  Adulte  -  Adultere  -  Adveristé  -  Affaire  -  Affection  -  Afrique  -  Age  -  Agressivite  -  Agriculture  -  Aider  -  Aimable  -  Aime  -  Aimer  -  Alcool  -  Algerie  -  Aliment  -  Alimentation  -  Altruisme  -  Amant  -  Ambiguite  -  Ambition  -  Ame  -  Ami  -  Amitie  -  Amnesie  -  Amour  -  Amoureux  -  Amoureuse  -  Anarchiste  -  Anatomie  -  Ange  -  Angoisse  -  Animal  -  Animaux  -  Annee  -  Anniversaire  -  Antimatiere  -  Aperitif  -  Aphorismes  -  Apparence  -  Apprentissage  -  Archeologue  -  Argent  -  Argenté  -  Armee  -  Arrogance  -  Art  -  Assassin  -  Astronomie  -  Attention  -  Attitude  -  Audace  -  Automate  -  Automne  -  Automobile  -  Autorite  -  Autrui  -  Avantage  -  Avarice  -  Avenir  -  Aveugle  -  Avis  -  Avocat  -  Avoir  -  Axiome

Etendez votre recherche :
Citation avec   Phrases sur avec    Poèmes avec    Proverbes avec