Citation branche
Sélection de 37 citations sur le sujet branche
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Citations branche- Citations & Proverbes sur branche
Quand le téléphone ne sonne pas, ça sert à rien de le laisser branché.
Breves de comptoir, l'anniversaire
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Jean-Marie Gourio
Les jeunes villageois sont partis ramasser des branches pour l'église, avant l'aube, ce matin. Ils sont revenus avec plus de brindilles dans les cheveux que dans leurs paniers. Je prévois un grand arrivage de bébés pour Noël prochain.
Le livre de catherine
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Karen Cushman
C'est l'histoire d'une petite fille en équilibre sur une branche, qui ne mange plus rien d'autre que des livres.
Jours sans faim
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Delphine de Vigan
Je n'ai jamais vu une bête sauvage s'apitoyer sur son sort. Un oisillon tombera mort de froid de sa branche sans jamais s'être apitoyé sur son sort.
Snake and Other Poems - I never saw a wild thing sorry for itself. A small bird will drop frozen dead from a bough without ever having felt sorry for itself. -
D. H. Lawrence
L'être pour l'être est sphinx. L'aube au jour parait blême L'éclair est noir pour le rayon. La cendre ne sait pas ce que pense le marbre L'écueil écoute en vain le flot la branche d'arbre Ne sait pas ce que dit le vent.
Les contemplations, 1856
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Victor Hugo
Les sages d'autrefois comparaient le yoga à un arbre fruitier. D'une seule graine naissent les racines, le tronc, les branches et les feuilles.
Yoga Iyengar : Initiation aux vingt-trois postures classiques de Belur Krishnamacharya Sundararaja Iyengar -
Belur Krishnamacharya Sundararaja Iyengar
-Moi, j'adore regarder les arbres. Depuis toute petite, et même maintenant. Quand j'ai le temps, je m'assieds sous un arbre, je touche le tronc, ou bien je lève les yeux vers les branches, je peux rester des heures comme ça sans rien faire de plus.
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Haruki
Arbres : Ils ont plus de branches que les hommes et la montée de la sève ne les rend pas fous.
Bouvard de A à Z Par Philippe Bouvard -
Philippe Bouvard
- Miaul, fis-je en soulevant des branches pour regarder dans le taillis. Approche, le chat. Tu ne voudrais pas détruire le continuum espace-temps, pas vrai ? Miaul, miaul.
Sans parler du chien
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Connie Willis
La branche émet un craquement pour s'excuser auprès de l'arbre de l'avoir quitté.
Danseur
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Colum McCann
Il est relativement jeune avec un collier de barbe brune, des lunettes à branches d'écaille et une verrue sur le nez.
Fna -757- elteor
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Peter Randa
La cassette branchée par Thérésa est de Renaud. Un super-champion. Un infini pas con. Un incontestable. Le poète le plus poétisant de cette époque d'archimerde (sans principes). Le prince du pavé. La nostalgie arrivée à bon port. Un mord-con ! La noblesse de la timidité ! Brandisseur de glaves ! Et si frileux de l'âme, je le sens bien, que je l'emmitoufle de ma tendresse ! Renaud chante le gitan, la zone, le couteau, le clébard, les lunettes retrouvées de son taulard. .. Salut, le gitan, salut le manouche. .. Salut, Renaud. Que les saigneurs soient loin de nous ! Trouverons-nous assez de mots pour y noyer tous les merdeux ? Chauffe, mon petit mec, chauffe ! C'est pour la dignité que tu égosilles, et ils n'en savent rien.
San-Antonio n°121 Bacchanale chez la mère Tatzi, Editions Fleuve Noir, 1985 -
Frédéric Dard
Pauvre étoile brillante à l'abri des pêcheurs elle étend voluptueusement ses cinq branches délicates et fait tant que l'huître libère à la fin la perle dont le temps et la maladie lui avaient fait don.
La liberte ou l'amour ! suivi de deuil pour deuil (1924), robert desnos, édition gallimard, 1962 (isbn 978-2-07-027695-0), p. 136 - deuil pour deuil, 1924
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Robert Desnos
En avril, sous les branches Au feuillage frileux, En cherchant des pervenches J'ai trouvé tes yeux bleus.
ARMAND SILVESTRE (Premières poésies) -
Armand Silvestre
De mon frère le Lis des bois, Je n'ai pas le touchant emblème ; Mais le gazon connait ma voix Et la brise me dit : — je t'aime ! J'embaume les lieux où je crois, Et la rosée à mon front blême Met des perles, — comme les rois, N'en ont pas à leur diadème. Aux premiers chants du rossignol, Je laisse courir sur le sol Mes petites clochettes blanches, Qui disent à l'amant rêveur : Les bourgeons étoilent les branches, Voici le retour du bonheur !.
Le muguet - Ce Que Disent Les Fleurs Sonnets Par Antonio Spinelli -
Antonio Spinelli
Un faible gazouillis filtre des rares postes de télé encore branchés sur The Late Show et la lueur bleu-gris des écrans palpite aux fenêtres de certaines maisons. Pour Garp, cette lueur est pareille à un cancer, insidieuse et engourdissante. elle endort le monde entier. Qui sait si la télévision ne provoque pas le cancer, se dit Garp ; mais son irritation est en fait une irritation d’écrivain ; il sait que partout où luit la télévision, veille quelqu’un qui ne lit pas.
Le monde selon Garp de John Irving -
John Irving
Dans la nuit épaisse qui nous entoure, est-il une lueur que nous puissions repousser ? Au milieu du torrent qui nous entraîne, est-il une branche à laquelle nous osions refuser de nous retenir ?
Adolphe de Benjamin Constant -
Benjamin Constant
Comme on voit sur la branche, au mois de mai, la rose, En sa belle jeunesse, en sa première fleur, Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l'aube, de ses pleurs, au point du jour l'arrose ; La Grâce dans sa feuille, et l'Amour se repose, Embaumant les jardins et les arbres d'odeur ; Mais, battue ou de pluie ou d'excessive ardeur, Languissante, elle meurt, feuille à feuille déclose.
Pierre de Ronsard, Sur la mort de Marie -
Ronsard
Tout son collier de blanches perles Dans le ciel bleu s'est délié. Chantez les merles, Dansez les pies ! Parmi les branches qu'elle plie ; Dansez les fleurs, chantez les nids Tout ce qui vient du ciel est béni.
Ma soeur la pluie. -
Charles Van Lerberghe
Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe ! Qui sait sous quel fardeau la pauvre âme succombe ! Qui sait combien de jours sa faim a combattu ! Quand le vent du malheur ébranlait leur vertu, Qui de nous n'a pas vu de ces femmes brisées S'y cramponner longtemps de leurs mains épuisées ! Comme au bout d'une branche on voit étinceler Une goutte de pluie où le ciel vient briller, Qu'on secoue avec l'arbre et qui tremble et qui lutte, Perle avant de tomber et fange après sa chute ! La faute en est à nous ; à toi, riche ! à ton or ! Cette fange d'ailleurs contient l'eau pure encor. Pour que la goutte d'eau sorte de la poussière, Et redevienne perle en sa splendeur première, Il suffit, c'est ainsi que tout remonte au jour, D'un rayon du soleil ou d'un rayon d'amour !.
Les chants du crépuscule - Victor Hugo -
Victor Hugo
Page 3 sur un total de 2 pages.
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