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Ta ville, Bayeux, c’est une merveille : ces maisons du Bessin, c’est tellement plus beau que tous ces colombages, que cette épouvantable Normandie pour Parisiens, tout ce pays d’Auge frelaté avec ses pommes rouges cirées comme des Mocassins.
Intrigue à l'anglaise -
Adrien Goetz
Sur ce bateau que ballotte la mer, qu’une vague peut emplir et retourner, je sais et je sens combien rien n’existe de ce que nous connaissons, car la terre qui flotte dans le vide est encore plus isolée, plus perdue que cette barque sur les flots.
Sur l'eau -
Guy de Maupassant
Cette vipère, ma vipère dûment, étranglée, mais partout renaissante (…), je la brandirai toujours (…), cette vipère, ta vipère, je la brandis (…) Merci ma mère ! je suis celui qui marche une vipère au poing !.
Vipère au poing -
Hervé Bazin
Je dresse des listes négatives. C’est mon passe-temps favori. Des listes de ce que je ne veux pas, plus tard. Je ne veux pas de pavillon Phénix. Je ne veux pas de Tupperware ni de gâteaux faits dans les Tupperware. Je ne veux pas de tapis achetés en solde chez Mondial Moquette avec cette ristourne pour le personnel hospitalier que l’on n’accorde jamais. Je ne veux pas me marier et marcher dans l’Amour sur la voie des Cieux. Je ne veux pas me coucher à huit heures du soir juste après « Des chiffres et des lettres ». Je ne veux pas passer mes soirées devant la télévision à regarder les autres vivre. Je ne veux pas d’enfants, ou alors seulement adoptés lorsque j’aurai soixante ans et que j’aurai à cœur de rendre heureux les plus démunis, ce qui veut dire : pas tout de suite. Je ne veux pas passer ma vie au boulot et ne rentrer que le week-end dans une maison où tout le monde me déteste cordialement et se dit « ah – dommage » quand je tourne la clé dans la serrure.
Juke-Box -
Jean-Philippe Blondel
J’écris pour tenir tête au silence établi, - pour rallumer des mots éteints par l’habitude - et les garder vivants face à cette hébétude - qui pétrifie le cœur et nous désunit.
J’écris… -
Michel Baglin
Si la rose savait que sa grâce et sa beauté la conduisent droit dans un vase, elle serait la première à trancher la gorge avec sa propre épine. Mais elle l'ignore, et c'est dans cette poche d'ombre qu'elle puise la sève de sa propre survivance.
L'Imposture des mots -
Yasmina Khadra
Le livre est une création, et cette création comporte un premier et un second degré. Au premier degré, j'invente une histoire et des personnages. Au second degré, le lecteur s'en empare et poursuit cette création pour la faire sienne.
Petites proses de Michel Tournier -
Michel Tournier
Il faudrait remettre en activité cette chose magnifique qui est de réfléchir sans opiner. Juste le matin, on se lève dans son lit, et on rêvasse. On essaie de prendre un sujet qui nous a amenés quelque part hier, qu'on a entendu à la radio dans les journaux à la télé et de voir qu'est-ce que nous pensons donc de cela. Gratuitement, pas pour se précipiter sur le blogue ou appeler à la radio, dans les émissions. Juste pour soi. Je crois que ce serait une jolie prière du matin.
entrevue à Radio-Canada -
Dany Laferrière
Le libre esprit a cette supériorité de ne souhaiter point garder seul la parole.
Journal, 1943, p. 191) -
André Gide
Et cette maladie qu’était l’amour de Swann avait tellement multiplié, il était si étroitement mêlé à toutes les habitudes de Swann, à tous ses actes, à sa pensée, à sa santé, à son sommeil, à sa vie, même à ce qu’il désirait pour après sa mort, il ne faisait tellement plus qu’un avec lui, qu’on n’aurait pas pu l’arracher de lui, sans le détruire lui-même à peu près tout entier : comme on dit en chirurgie, son amour n’était plus opérable.
Proust, Swann,1913, p. 308 -
Marcel Proust
Que cet audacieux dédain de toute raison, ce brillant éloge de la folie, cette fougue de paradoxe préparent de revers à la parfaite sagesse, qui fuit toute extrémité.
Histoire des origines du christianisme -
Renan
Qu’est-il arrivé de cette société ? Faites donc des projets, rassemblez des amis, afin de vous préparer un deuil éternel !.
Mémoires d'outre-tombe/Deuxième partie/Livre premier -
Chateaubriand
Le mal engendre le mal, une première souffrance fait comprendre le plaisir qu’il y a à tourmenter les autres. L’idée du mal ne peut entrer dans la tête d’un homme sans qu’il ne songe à le faire. Les idées, a dit quelqu’un, c’est la création organisée ; leur naissance leur donne une forme et cette forme est l’action. Ainsi celui dans la tête duquel naît le plus grand nombre d’idées agit plus que tous les autres.
Un héros de notre temps -
Michaïl Lermontov
Tu ne peux pas aimer une femme, un homme, sans les avoir d’abord inventés, tu ne peux pas aimer l’autre sans l’avoir d’abord inventé, imaginé, parce qu’une belle histoire d’amour, ce sont d’abord deux êtres qui s’inventent, ce qui rend la part de réalité acceptable, et indispensable même, comme matériau de départ. Ce qu’on appelait jadis le « grand amour », c’est le dévouement pendant toute une vie et souvent jusqu’à l’extrême vieillesse de deux êtres à cette œuvre d’imagination qu’ils ont créé ensemble et réciproquement, deux êtres qui se sont d’abord inventés….
La Nuit sera calme -
Romain Gary
Vouloir peindre l’image de la vie, cette tâche, bien que présentée par les poètes et les philosophes, n’en est pas moins insensée : sous la main des plus grands peintres et penseurs il ne s’est jamais formé que des images et des esquisses tirées d’une vie, c’est-à-dire de leur propre vie — et il ne saurait en être autrement. Dans une chose qui est en plein devenir, une autre chose qui devient ne saurait se refléter d’une façon fixe et durable, comme « la » vie.
Opinions et sentences mêlées -
Friedrich Nietzsche
Ses ongles sont laqués de rouge, du même rouge que ses lèvres comme si cette femme plongeait ses doigts longs et luisants dans le coeur des hommes pour le porter à sa bouche.
Le palais des autres jours -
Yasmine Char
La racine du marronnier s'enfonçait dans la terre, juste au-dessous de mon banc. Je ne me rappelais plus que c'était une racine. Les mots s'étaient évanouis et, avec eux, la signification des choses, leurs modes d'emploi, les faibles repères que les hommes ont tracés à leur surface. J'étais assis, un peu voûté, la tête basse, seul en face de cette masse noire et noueuse entièrement brute et qui me faisait peur. Et puis j'ai eu cette illumination. Ça m'a coupé le souffle. Jamais, avant ces derniers jours, je n'avais pressenti ce que voulait dire exister.
la nausée -
Sartre
La beauté est dans le regard qui ne comprend pas. Elle n’est pas dans les mots intelligents qui rassurent les niais. Elle est dans les langages fugitifs, olfactifs, tactiles, gustatifs, dans les vibrations, les ondes, la chaleur, les chants des oiseaux, le temps lisse et non dans « cette fausse science du langage par le langage, qui invente ses propres monstres.
J.M.G Le Clézio -
L'Inconnu sur la terre
Jamais nous ne sommes dans le milieu, toujours au-delà des bornes ; et, tout en faisant l'éloge de la modération, nous la fuyons de toutes nos forces. La médiocrité, que les philosophes disaient d'or, cette médiocrité qui seule rend sage et heureux, est ce, que nous craignons et ce que nous méprisons le plus.
Rien de trop -
Louis-Philippe de Ségur
Dans le métro, à une heure d'affluence, si vous êtes à côté d'un prêtre, ne le prenez pas à partie immédiatement, mais au bout d'une ou deux stations, vous commencez à hurler, en lui foutant un coup de poing en pleine gueule « Vieux porc, vous n'avez pas fini de me peloter ! » La foule écoute alors vous déclarez : « C'est la troisième fois cette semaine qu'un curé me fait des propositions, et dire qu'on envoie les enfants au catéchisme ! » Vous pouvez ainsi insulter et même rosser un curé sans être lynché et, de plus, vous donnez à quelques personnes un exemple réel de l'ignoble hypocrisie des prêtres. ».
Les surréalistes — Une génération entre le rêve et l'action (1991), Jean-Luc Rispail, éd. Gallimard, coll. Découverte Gallimard Littérature, 2000 (ISBN 2-07-053140-6), chap. Témoignages et documents, Jean Koppen — Religion ! — Promenade des séminaristes, in La Révolution surréaliste, n°12, 15 décembre 1929, p. 169 -
Jean Koppen
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