Citation dis


Sélection de 364 citations sur le sujet dis

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citations dis : 364 sur dis




J'ai avec toi des conversations imaginaires, dans lesquelles tu me dis: ce qui compte, c'est avancer. Sans se retourner.
La mer noire - Kéthévane Davrichewy




Ce n'est pas toi qui disait que la vie était une valse et qu'il fallait danser avec elle ? Il faut être deux pour danser la valse..Alors valse avec moi, Joséphine.
Les écureuils de central park sont tristes le lundi - Katherine Pancol




(...) j'avais disparu avant de déserter tout à fait, le travail, la famille, la patrie, j'avais tout laissé derrière moi et je m'étais planqué là où était ma place, tout au bord, en lisière.
Les lisieres - Olivier Adam




Elle avait ce genre de beauté dont on dit souvent dans les romans anciens qu'elle disparaît si on l'effleure.
La proie et l'ombre - Edogawa Ranpo




Tous les soirs,j'inhale et je me dis:une journée de finie,une journée de gagnée ou je me dis:une journée de finie,une journée de foutue.
Ceux qui savent comprendront - Anna Gavalda




La débordante douceur de cette découverte ruisselle sur les parois de mon âme et libère en moi le sens de la compréhension. Ne cherche plus, me dis-je. Tu as atteint le but.
Les vagues - Virginia Woolf




Dans la brume où des verres d'eau s'entrechoquent, où les serpents cherchent du lait, un monument de laine et de soie disparaît. C'est là que, la nuit dernière, apportant leur faiblesse, toutes les femmes entrèrent. Le monde n'était pas fait pour leurs promenades incessantes, pour leur démarche languissante, pour leur recherche de l'amour.
Capitale de la douleur suivi de l'amour la poesie (1926), paul eluard, édition gallimard, coll. poesie, 1966 (isbn 978-2-07-030095-2), partie nouveaux poemes, dans la brume, p. 125 - Paul Éluard




Benjamin, l'âne, pouvait lire aussi bien que n'importe quel cochon, mais jamais il n'exerçait ses dons. « Que je sache, disait-il, il n'y a rien qui vaille la peine d'être lu. »
La ferme des animaux, cha - George Orwell




Je crois que pour réussir dans une sphère quelconque de l'activité humaine, il ne suffit pas d'y avoir des dispositions. Serait-on très doué, si l'on n'est pas soutenu par ceux qui sont à même de reconnaitre et de pousser un talent, le succès est impossible.
Les confessions d'un homme en trop, alexandre zinoviev, édition editions folio, 1991, p. 99 - Alexandre Zinoviev




Loin de la ferme, disait-on, où que l'on aille, on demeurait toujours un étranger, et si on se trompait de bus, on risquait de ne plus jamais rentrer chez toi.
Certaines n'avaient jamais vu la mer - Julie Otsuka




Elle chante exclusivement le destin du corps et privilégie un élément de cette réalité physique : le cœur. Il est le siège des émotions, de la joie et de la tristesse, d'espoirs passagers et de désespoirs profonds. Au point que le mot cœur s'utilise souvent comme pour se prendre soi-même à témoin. Par cet artifice, la chanteuse se dédouble et s'adresse le discours poétique. Le cœur se voit aussi parfois personnifié. Il est alors comparé à un oiseau, à une ruine, à une fontaine de sang, à un four fermé qui dévore ses propres flammes.
Le suicide et le chant. poesie populaire des femmes pashtounes, sayd bahodine majrouh (trad. andre velter), édition les cahiers des brisants, 1988 (isbn 2-90539564-8), iii, p. 35-36 - Sayd Bahodine Majrouh




Si ce que tu dis n'est pas plus beau que le silence, alors tais-toi.
Le sumo qui ne pouvait pas grossir - Eric-Emmanuel Schmitt




M..., vieux célibataire, disait plaisamment que le mariage est un état trop parfait pour l'imperfection de l'homme.
Oeuvres principales, comprenant de nombreaux textes reimprimes pour la premiere fois (édition 1960) - Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort




- Pensez un peu, disait Nin, d'abord tirer pour tuer les hommes et maintenant aller à la recherche des obus pour pouvoir manger !
Les saisons de giacomo - Mario Rigoni Stern




Dans ce produit bizarre, vous eussiez reconnu l'actionnaire par excellence, croyant à toutes les nouvelles que la presse périodique baptise de son encre, et qui a tout dit en disant : Lisez le journal !
César birotteau (1837 datée 1838), honoré de balzac, éd. gallimard vi, coll. bibliothèque de la pléiade, 1977, p. 106 - césar birotteau, 1838 - Honoré de Balzac




Il me semblait, tandis qu'appréciations, discussions, critiques ne m'étaient qu'un moyen d'exprimer ma pensée, qu'au contraire elle s'aidât de tout cela pour me cacher la sienne.
La porte etroite - André Gide




Pour pardonner, il faut se souvenir. Non pas enfouir la blessure, l'enterrer, mais au contraire la mettre au jour, dans la lumière. Une blessure cachée s'infecte et distille son poison. Il faut qu'elle soit regardée, écoutée, pour devenir source de vie.
Plus fort que la haine - Tim Guénard




Aujourd'hui elle est ma meilleure amie. Ce truc à la Montaigne et La Boétie, vous savez... Parce que c'était elle, parce que c'était moi. Disons un petit plus dans la mesure où nous n'avons pas perdu de temps à nous trouver.
L'echappee belle - Anna Gavalda




Thomas Mann le disait bien, tout, absolument tout est politique, peu importe que des gens de l'extérieur jugent cela mesquin, égoïste, stupide
Reflets en eau trouble, p. 110 - Joyce Carol Oates




Elle était devant moi, mais elle avait déjà disparu dans sa propre vie. Distraite, anonyme, comme une de ces mains humides qui rendent la monnaie au marché.
Ecoute-moi - Margaret Mazzantini



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