Citation film


Sélection de 79 citations sur le sujet film

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Citations film- Citations & Proverbes sur film




Mon devoir est de faire en sorte que celui qui voit mes films ressente le besoin d'aimer, de donner son amour, et qu'il perçoive l'appel de la beauté.
Le Temps scellé - Andreï Tarkovski




L'amour que j'éprouve dans la vie, mes déchirements, mon bonheur, tout passe dans mes films, s'y intègre. Quand je vois un film après l'avoir fait, j'y reconnais ma vie.
Outside. Papiers d'un jour - Entretien accordé à Marguerite Duras. - Jeanne Moreau




Séries sur les flics, films sur les flics, reportages sur les flics. Il n'avait jamais compris pourquoi les gens les détestaient autant en vrai qu'ils les adoraient en fiction.
Code 93 de Olivier Norek - Olivier Norek




J'ai tourné plein de films pour rien. Quand j'ai fait Falstaff, Orson Welles m'a payée avec une valise pleine de couverts en argent. En fait, c'était du vermeil ! La voilà ma carrière !.
- Jeanne Moreau




Au fil de ces quinze jours ailleurs qui m'ont fait cinéphile, les films m'ont accueilli, étreint, réconforté, délivré, oxygéné, soulevé, emoporté haut et loin, forgeant durablement mon imaginaire.
Le jour ou gary cooper est mort - Michel Boujut




Point Break, un mec, quand il voit ce film, il devient bilingue en surf !.
Jean Dujardin, Brice de Nice (2005), écrit par Karine Angeli, Jean Dujardin - Jean Dujardin




Mon fantasme, là, ce serait de partir faire un petit film sous la direction d’un metteur en scène avec lequel je m’entendrais bien. Dans la Drôme, tu vois, vers Montélimar. Dans un village où tu peux boire des coups le soir, manger dans de bons restos et avoir un beau petit rôle dans un beau petit film avec des acteurs sympas. Je rêve de ça. Pourquoi aller à Hollywood quand on a Montélimar ? Voilà !.
Première février 2013 - Jean Dujardin




Hiroshima, mon amour... Quel étrange cri, disait Marguerite Yourcenar, à propos de ce titre de Marguerite Duras. Oui, Marguerite Duras, vous savez, l'apologiste sénile des infanticides ruraux... Marguerite Duras, qui n'a pas écrit que des conneries. Elle en a aussi filmé. Mais c'est vrai, quel étrange cri : Hiroshima, mon amour. Et pourquoi pas Auschwitz, mon loulou ?
Textes de scène, pierre desproges, éd. seuil, 1988 (isbn 2-02-010383-4), « hiroshima, mon amour... quel étrange cri », p. 71 - Pierre Desproges




J’ai tourné beaucoup de navets. Quelques photos de mes mauvais films suffisaient à mon bonheur, heureusement que personne ne m’obligeait à les voir !.
Elle N°2964 (21 octobre 2002) - Danielle Darrieux




Le moi, dans un certain sens, est comme une fente mobile qui se déplace sur un film, progressivement. Les potentialités futures du moi relèvent de son ombre présente. Nous savons ce que nous avons été, mais nous ignorons ce que nous serons.
L'homme a la decouverte de son ame: structure et fonctionnement de l'inconscient (édition 1946) - Carl Gustav Jung




Une fois, on sollicita mon aide. Il s’agissait d’un film sur Colette et on attendait de moi que je l’incitasse au dialogue. Or, à peine avait-on prononcé le solennel : “Ça tourne” que, pareille aux animaux qui se figent dès qu’on désirerait qu’ils s’animassent, Colette se statufiait, rentrait en elle-même et, pour obtenir d’elle un mot, il me fallait la haler de toutes mes forces au bout d’une corde.
Discours de réception à l’Académie royale de Belgique - Cocteau




Chacun crée son propre enfer de ce qu'il déteste le plus. Je créai mon enfer personnel en faisant défiler comme dans un film toutes les erreurs que j'avais commises et toutes les occasions ratées.
Le mec de la tombe d'a cote - Katarina Mazetti




Je raconte des histoires d’aujourd’hui. J’écris comme si je filmais mon époque avec des odeurs, des couleurs, des sons, du soleil et de la pluie, des pas, des soupirs, des rues, des voitures, des gaz d’échappement, je veux que les mots palpitent, vivent… et traduisent les émotions des personnages. Je veux qu’on entre dans mes histoires comme dans une maison, un jardin, un palais, une épicerie, un lit !.
Interview Collibris du 19/07/16 - Katherine Pancol




Il est très important pour moi de ne pas faire d'hommage ou de filmer à la manière de. Si référence il y a, elle doit être filtrée à travers le prisme du souvenir.
Tim burton par tim burton, marck salisbury, édition le cinephage, 1999, p. 44 - de tim burton - Tim Burton




Il y a plus de chances de voir un Black jouer dans nu film de Woody Allen que Patrick s'engager dans une relation sérieuse.
Ténèbres, prenez moi la main - Dennis Lehane




Es films sont des rêves ! Et ils fonctionnent sur vous de façon subliminale. Vous pouvez interpréter Leia comme une femme débrouillarde, indépendante, sensible, un soldat, une guerrière, une femme dans le contrôle — le contrôle étant, bien sûr, une qualité plus faible que la maîtrise en elle-même. Mais vous pouvez représenter une femme qui elle, est dans la maîtrise complète, et passe au travers de tous les préjudices qu’impliquent être une femme, si vous la faites voyager dans le temps, si vous lui ajoutez des qualités magiques, si vous réalisez cela en version conte de fées.
- Carrie Fisher




Un vrai coup de cœur. L'idée est géniale et c'est drôle. En revanche, le film de Patrice Leconte tiré de ce livre est décevant.
Le magasin des suicides - Jean Teulé




En fait, c’est parce que je ne pouvais pas être metteur en scène que j’ai fait l’acteur. J’ai plaisir à ne pas être un instrument, mais le chef d’orchestre. J’essaie de faire des films d’auteur grand public, un cinéma que mes parents auraient pu voir et comprendre.
Interview la Matinale Le Monde - Propos recueillis par Pascale Krémer le 18.12.2016 - Jugnot




Des perspectives bien plus intéressantes peuvent s'ouvrir dés lors que nous choisissons une position située en dehors de la ligne de la dichotomie. (...) Chaque fois que l'on déroule le film de la vie, l'évolution prend une voie différente de celle que nous connaissons. (...). Mais la diversité des itinéraires possibles montre à l'évidence que les résultats finaux ne peuvent être prédit au départ. (...) Cette troisième alternative ne représente ni plus, ni moins que l'essence de l'histoire. Elle a pour nom contingence - et la contingence est une chose en soi, et non la combinaison du déterminisme et du hasard.
La vie est belle (1997), stephen jay gould, édition points, 1998 (isbn 2.02.035239.7), p. 56-57 - contingence - Stephen Jay Gould




Le cinéma n'existe plus. Il y a un monde du divertissement, les gens, terrorisés par les Américains, ne savent plus quelle langue parler. Il y a dix stars et elles sont toutes américaines. Leurs films bourrés d'effets spéciaux sont des jeux, et le reste du cinéma a du mal à exister.
Interview accordée à un journal italien, dans les colonnes du «Corriere Della Sera», jeudi 22 septembre 2016 - Depardieu



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