Citation les


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Du même coup, j'ai appris qu'on perd toujours. Il n'y a que les Salauds qui croient gagner.
La nausée, jean-paul sartre, éd. gallimard, 1938 (isbn 2-07-036805-x), p. 221 - Jean-Paul Sartre




Vous connaissez l'anecdote du lazzarone ? Un pauvre homme, un gueux vit un jour un paysan entrer à Naples qui tirait deux vaches derrière lui. Tu me les donnes, tes vaches ? demanda-t-il. L'autre serra le licou dans son poing et s'éloigna en hâte. Un second lazzarone, ami du premier, dit alors : Mais tu es fou ! Pourquoi voulais-tu qu'il te les donne ? On ne sait jamais , telle fut la réponse. Réponse sublime ! On ne sait jamais.
Porporino ou les mystères de naples (prix médicis), 1974 - Dominique Fernandez




Bien sûr que c'est possible de vivre comme ça, être les meilleurs amis du monde chacun sur son étoile, puis s'amuser ensemble lorsqu'on sent le souffle de la solitude sur la nuque ? Bien sûr que c'est possible ?
Le mec de la tombe d'a cote - Katarina Mazetti




Sur le bord des nuages se tient une femme, sur le bord des îles une femme se tient comme sur les hauts murs décorés de vigne étincelante le raisin mûrit, à belles grappes dorées et noires.
Poisson soluble (1924), andre breton, édition gallimard, coll. poesie, 1996 (isbn 2-07-032917-8), partie 1, p. 30 - prose poetique - André Breton




J'ai réalisé que je n'avais pas le droit de priver les lecteurs d'Astérix.
ActuaLitté, 16 octobre 2012 - Uderzo




Par le biais du rire, les spectateurs sont contraints de s'interroger sur leur propre existence qu'ils peuvent enfin voir avec une certaine distance.
Le monde de sophie - Jostein Gaarder




J'aime pas les surprises : ça fait battre le cœur trop fort, ou alors on est vachement déçu.
Autobiographie d'une courgette - Gilles Paris




Les injures atroces n'ont jamais fait de tort qu'à ceux qui les ont dites.
Œuvres complètes de voltaire: melanges (édition 1860) - Voltaire




Léo prétendit que le monde irait mieux si les parents tenaient compte plus souvent des expériences de leurs enfants, au lieu d'exiger que ceux-ci s'accomodent de leur sagesse vieillotte.
Vienne au crepuscule - Arthur Schnitzler




Dès qu'on le laissait seul il avait tendance à croire qu'au fond il n'y avait jamais autre chose, qu'il n'y avait rien de mieux que de passer toute une nuit ou toute la vie devant un réverbère à regarder danser les insectes.
62 maquettes a monter - Julio Cortazar




Elle me présenta sa joue droite pour que je l'embrasse et, lorsque je le fis respectueusement, je sentis un lourd parfum italien qui aurait sans doute pu servir de carburant pour les bus municipaux.
Le démon des morts - Graham Masterton




De toute évidence, les rêves sont une forme d'art, notre expression la plus personnelle. Un moyen pour nous de donner un sens à notre univers.
L'oeil du criquet, james sallis, édition gallimard, 2012, p. 30 - James Sallis




Il n'est point de vérité absolue, et les hommes se trompent bien moins, faute d'entrevoir la vérité, que faute d'en apercevoir les limites.
L'emigre (édition 1904) - Gabriel Sénac de Meilhan




Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L’azur et l’onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie C’est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l’été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents, qu’au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et libre soit cette infortune.
Bannières de mai - Arthur Rimbaud




Au printemps, c’est dans les bois nus Qu’un jour nous nous sommes connus. Les bourgeons poussaient vapeur verte. L’amour fut une découverte. Grâce aux lilas, grâce aux muguets, De rêveurs nous devînmes gais. Sous la glycine et le cytise, Tous deux seuls, que faut-il qu’on dise ? Nous n’aurions rien dit, réséda, Sans ton parfum qui nous aida.
Les quatre saisons – Le printemps - Charles Cros




Déjà les beaux jours, – la poussière, Un ciel d’azur et de lumière, Les murs enflammés, les longs soirs ; – Et rien de vert : – à peine encore Un reflet rougeâtre décore Les grands arbres aux rameaux noirs ! Ce beau temps me pèse et m’ennuie. – Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau.
Avril - Gérard de Nerval




Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l’ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Printemps - Victor Hugo




Je crois que notre seul espoir d'immortalité est dans nos actes, en ce que nous faisons aux autres, pour les autres, et en nos enfants.
La dixième planète, edmund cooper, éd. denoël, 1976, p. 65 - Edmund Cooper




Mon fils a dit qu'il passerait s'il trouve le temps de venir voir sa maman. Je veux pas le louper, il vient si rarement. Il est très occupé, il court, il court, les affaires, le pognon, tout ça.
Votre maman - Jean-Claude Grumberg




Donc, premièrement, permettez-moi d'affirmer ma ferme conviction que la seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même — l'indéfinissable, la déraisonnable, l'injustifiable terreur qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la déroute en marche en avant.
Discours d'investiture de Franklin Delano Roosevelt, le 4 mars 1933. - Franklin Delano Roosevelt



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