Citation leurs
Sélection de 1552 citations sur le sujet leurs
- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe leurs issus de livres, discours ou entretiens.Page 44 sur un total de 78 pages.
Citations leurs - Page 44 sur un total de 78 pages.
La grande trouvaille des inventeurs du christianisme : « Dieu est amour ! ». Et alors ? Qu’est-ce que ça change ? Tu peux toujours prêcher aux hommes un dieu d’amour, ils se serviront de lui pour sanctifier leurs crapuleries et leurs crimes « pour la bonne cause » ainsi que les massacres en masse, curés bénisseurs en tête. Dieu, on lui fait dire ce qu’on veut. C’est d’ailleurs à ça que ça sert.
Lettre ouverte aux culs-bénits de François Cavanna -
François Cavanna
On s'imagine ordinairement que ce n'est que dans la jeunesse que les hommes ont besoin d'éducation ; vous diriez qu'ils sortent tous des mains de leurs maîtres, ou parfaits, ou incorrigibles.
Eloge de la Sincérité. -
Montesquieu
L'habitude qui émousse est disgrâce, mais celle qui donne à nos réflexes toutes leurs chances est état de grâce.
Apostilles: ou, L'utile et le futile -
Robert Mallet
Les parents, ne sont que des enfants qui ont grandi trop vite, jusqu'au jour où leurs propres enfants les forcent à se rendre compte qu'ils sont des adultes ?.
Christine de Stephen King -
Stephen King
L’expérience des anciens ne sert à rien pour les générations suivantes ! Les jeunes croient tout savoir de naissance, mieux que quiconque et d’abord que leurs parents !.
Le Défi d'Olga de Henri Troyat -
Henri Troyat
C’est l’horreur de mon regard que révèle le leur, horrifié. Si leurs yeux sont un miroir, enfin, je dois avoir un regard fou, dévasté.
L'Ecriture ou la vie de Jorge Semprun -
Jorge Semprun
La plupart des hommes sont tellement personnels qu’au fond rien n’a d’intérêt à leurs yeux qu’eux-mêmes et exclusivement eux. Il en résulte que, quoi que ce soit dont on parle, ils pensent aussitôt à eux-mêmes, et que tout ce qui, par hasard et du plus loin que ce soit, se rapporte à quelque chose qui les touche, attire et captive tellement toute leur attention qu’ils n’ont plus la liberté de saisir la partie objective de l’entretien ; de même, il n’y a pas de raisons valables pour eux dès qu’elles contrarient leur intérêt ou leur vanité.
Parerga et Paralipomena -
Arthur Schopenhauer
J'éprouve que, pour gagner les hommes, il n'est point de meilleur voie que de se parer à leurs yeux de leurs inclinations, que de donner dans leurs maximes, encenser leurs défauts et applaudir à ce qu'ils font.
L'Avare -
Molière
Moi, depuis tout petit, j'aime les questions, et les chemins qui mènent à leurs réponses. Parfois d'ailleurs, je finis par ne connaître que le chemin, mais ce n'est pas grave : j'ai déjà avancé.
Le rapport de Brodeck -
Philippe Claudel
L'histoire est le produit le plus dangereux que la chimie de l'intellectuel ait élaboré. Il fait rêver, il enivre les peuples, leur engendre de faux souvenirs, exagère leurs réflexes, entretient leurs vieilles plaies, les tourmente dans leur repos, les conduit au délire des grandeurs ou à celui de la persécution et rend les nations amères, superbes, insupportables et vaines.
Regards sur le monde actuel, Paul Valéry, éd. Gallimard, 1945, p. 43 -
Paul Valéry
Il y a des gens qui hurlent quand ils menacent. La colère trouble leurs sentiments. Il y en a d'autres qui parlent sans hausser le ton et ce qu'ils disent vous atteint plus.
La nuit sacré de Tahar Ben Jelloun -
Tahar Ben Jelloun
Il va falloir que tu acceptes de ne pas forcément correspondre à ce qu’attendent les gens, ne pas toujours te conformer à leurs critères, leurs valeurs, mais oser afficher ta différence, parfois même quand elle dérange. Bref, lâcher prise sur l’image que tu souhaites donner aux autres, et apprendre à ne pas trop te soucier de ce qu’ils pensent de toi. Lorsque tu assumeras pleinement tes différences, alors tu pourras te pencher sur celles des autres et, si nécessaire, t’y adapter.
Les dieux voyagent toujours incognito de Laurent Gounelle -
Laurent Gounelle
Qui saurait comme toi provenir leurs besoins Se priver de repos, même du nécessaire ? Le chef-d'œuvre de Dieu, c'est le coeur d'une mère !.
Esther, ou l'éducation paternelle -
Mathurin-Marie Lesné
Mais j'étais un fils. Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles.
Le livre de ma mère -
Albert Cohen
L'odeur de l'être qu'on aime se sent sous tous les parfums et je sais, moi, qu'Oreste n'a pas pu oublier celle de sa mère. .. Il n'est pas de fils qui l'oublient et qui, vieux, n'en rêvent encore, dans leurs peines. ..
Pièces secrètes - Page 89 -
Jean Anouilh
Les personnes de beaucoup de mérite ne doivent faire remarquer leurs qualités que par degrés ; il ne faut pas fatiguer la curiosité, mais plutôt la faire naître et l’exciter ; les choses poussées au plus haut point nous étonnent, mais ne nous occupent pas longtemps ; l’étonnement fait place à l'admiration ; l’admiration cède bientôt à l’habitude, et, de l’habitude au dégoût, il n’y a qu’un pas.
Les Caractères -
Madeleine de Puisieux
Quel sceptre est comparable au bien de deux amants ; Son poids est importun, leurs plaisirs sont charmants.
Céline ou Les Frères rivaux vers 545 -
Charles Beys
Je voyais les autres gens vivre, mais d'une autre vie que la mienne : les uns croyaient, les autres niaient, d'autres doutaient, d'autres enfin ne s'occupaient pas du tout de tout ça et faisaient leurs affaires, c'est-à-dire vendaient dans leurs boutiques, écrivaient leurs livres ou criaient dans leur chaire ; c'était là ce qu'on appelle l'humanité, surface mouvante des méchants, de lâches, d'idiots et de laids. Et moi j'étais dans la foule, comme une algue arrachée sur l'Océan, perdue au milieu des flots sans nombre qui roulaient, qui m'entouraient et qui bruissaient.
Novembre -
Gustave Flaubert
N'usant pas de l'existence, l'existence m'usait, mes rêves me fatiguaient encore plus que de grands travaux ; une création entière, immobile, irrévélée à elle-même, vivait sourdement sous ma vie ; j'étais un chaos dormant de mille précipices féconds qui ne savaient comment se manifester ni que faire d'eux-mêmes, ils cherchaient leurs formes et attendaient leur moule.
Novembre -
Gustave Flaubert
Je n'ai rien aimé et j'aurais voulu tant aimer ! il me faudra mourir sans avoir rien goûté de bon. A l'heure qu'il est, même la vie humaine m'offre encore mille aspects que n'ai à peine entrevus : jamais, seulement, au bord d'une source vive et sur un cheval haletant, je n'ai entendu le son du cor au fond des bois ; jamais non plus, par une nuit douce et respirant l'odeur des roses, je n'ai senti une main frémir dans la mienne et la saisir en silence. Ah ! je suis plus vide, plus creux, plus triste qu'un tonneau défoncé dont on a tout bu, et où les araignées jettent leurs toiles dans l'ombre.
Novembre -
Gustave Flaubert
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