Citation lui


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Partout où luit la télévision, veille quelqu’un qui ne lit pas.
Le monde selon Garp de John Irving - John Irving




Un faible gazouillis filtre des rares postes de télé encore branchés sur The Late Show et la lueur bleu-gris des écrans palpite aux fenêtres de certaines maisons. Pour Garp, cette lueur est pareille à un cancer, insidieuse et engourdissante. elle endort le monde entier. Qui sait si la télévision ne provoque pas le cancer, se dit Garp ; mais son irritation est en fait une irritation d’écrivain ; il sait que partout où luit la télévision, veille quelqu’un qui ne lit pas.
Le monde selon Garp de John Irving - John Irving




On ne sait jamais ce que le ciel veut ou ne veut pas, et il n'en sait peut-être rien lui-même.
Jacques le Fataliste de Denis Diderot - Diderot




Tuer pour de l’argent, par intérêt, c’est sordide, c’est inacceptable ; mais tuer sous l’empire de la passion, dans la saute d’humeur d’un moment, dans le feu de l’inspiration, alors oui, c’est défendable. Le législateur est romantique, lui aussi, il trouve au cœur des raisons qu’il ne reconnaît pas au cerveau parce que le cœur est collectiviste par essence, onde solidaire en équilibre, rythme communautaire et joyeux ris ; alors que le cerveau, hélas, nous savons bien, le cerveau malheureusement, le pauvre, est toujours plus ou moins fractionniste, dissident par vocation, vilainement sécessionniste, antipathique de toute façon.
L'Empire du bien de Philippe Muray - Philippe Muray




Mais c’est précisément le rôle de l’Art de faire reconnaître à cet instinct social sa noble signification, de lui montrer sa vraie direction. De son état de barbarie civilisée le véritable art ne peut s’élever à sa dignité que sur les épaules de notre grand mouvement social ; il a de commun avec lui le but, et ils ne peuvent atteindre l’un et l’autre ce but que s’ils le reconnaissent de concert. Ce but c’est l’homme beau et fort : que la Révolution lui donne la Force, l’Art, la Beauté.
L’Art et la Révolution, Richard Wagner (trad. Jacques Mesnil), éd. Bibliothèque des « Temps nouveaux », 1898, p. 80 - Richard Wagner




Quand on plaît déjà à une femme et qu'elle ne demande qu'à se rendre, il est bon de la menacer de se tuer parce qu'on lui fournit un prétexte décisif, rapide et honorable. Mais, quand on n'est point aimé, ni la menace ni la chose ne produisent aucun effet.
Le cahier rouge - Benjamin Constant




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Il y a deux choses qu'on ne peut regarder fixement : le soleil et la mort. Pense lentement et agis vite. Pour toutes choses, en penser plusieurs, en faire une seule. Ne dois pas au riche, et ne promets pas au pauvre. Ne sers pas qui a servi et ne commande pas à qui a commandé. Rivière débordée, profit des pêcheurs. Au reconnaissant, plus qu'il ne demande, car qui donne vend, si ce n'est pas un ingrat qui prend. A chair de loup, dent de chien.
Le petit-fils de Sancho Panza - Miguel de Cervantes - Miguel de Cervantes Saavedra




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : L'un mange la pomme verte, et l'autre a l'agacement de dents. Les cordonniers vont à la messe prier Dieu qu'il meure force moutons. Un seul coup n'abat point un chêne. Une belle mort honore toute la vie.
Le petit-fils de Sancho Panza - Miguel de Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Si elle avait une bouche comme elle a des oreilles, la potence appellerait bien des gens. Humer et souffler ne peuvent se faire à la fois. La patience finit par tomber quand on la charge d'injures. Jette la pierre et cache la main. Tel se crève deux yeux pour que son ennemi s'en crève un. Un cheval sur cent, un homme sur mille.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Vous qui avez la tête de verre, ne m'attaquez pas à coups de pierre. Assieds-toi à ta place, on ne te fera pas lever. Si la pilule avait bon goût, on ne la dorerait pas. Quand le pauvre donne, c'est pour recevoir davantage. Si le sot n'allait point au marché, on ne vendrait pas la mauvaise denrée.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui va en arrière fait deux fois le chemin. Qui mal enfourne tire les pains tordus. Qui veut tuer son chien le dit enragé. Que celui-là sonne la cloche qui emporte l'offrande. Qui dédaigne la poire veut en manger.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui laisse le grand chemin pour la traverse, pense aller plus droit et fait un circuit. Qui met les vêtements d'autrui est déshabillé dans la rue. Qui veut être longtemps vieux doit l'être de bonne heur. O. Qui trop tôt s'excuse s'accuse. Qui trébuche dans la plaine, que fera-t-il dans la montagne ?.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Pour le mal d'hier, il n'y a pas de remède demain. Pierre qui roule n'amasse pas de mousse. Pour n'en pas perdre la coutume, quand tu n'as pas de fer bats sur l'enclume. Si l'on mange le bœuf entier, c'est que l'un veut la cuisse et l'autre l'épaule. Puisque le cheval laboure, sellons le bœuf. Que fais-tu, nigaud ? — Je nigaude ; j'écris ce qui m'est dû, et j'efface ce que je dois.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Le fil casse par le plus menu. Ce n'est pas le fil menu qui casse, mais le gros et mal filé. II n'y a pas de plaisir qui n'ennuie, surtout s'il ne coûte rien. Offrir beaucoup à qui demande peu, c'est une manière de refuser. Est or ce qui vaut or. Écouter, voir et se taire, sont choses rudes à faire.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : On ne peut pas sonner les cloches et suivre la procession. Il n'y aurait point de parole mal dite si elle n'était mal prise. Quelque matin qu'on se lève, le jour n'en vient pas plus tôt. Que Dieu ne t'envoie pas plus de mal que beaucoup d'enfants et peu de pain. La belle-mère ne se souvient pas qu'elle fut belle-fille. Belle-mère, fût-elle de sucre, est amère.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Mieux vaut lionne espérance que mauvaise possession. Le renard en sait long, mais plus long celui qui l'attrape. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Pas de meilleur chirurgien que celui qui a reçu beaucoup de blessures. Ne redoute pas une tache que l'eau puisse enlever.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : La mauvaise blessure guérit ; la mauvaise renommée tue. C'est quand la fortune paraît le plus amie qu'elle donne le croc-en-jambe. Le pire des procès, c'est que d'un il en naît cent ; aussi, plutôt mauvais accord que bon procès. Plus donne le dur que le nu. Une bonne parole éteint mieux qu'un seau d'eau.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Notre fille mariée, les gendres arrivent ; la maison brûlée, tout le monde apporte de l'eau. II ne faut pas jeter la faute de l'âne sur le bât. Quand tu es en paix, rappelle-toi que tu peux venir en querelle ; et quand tu es en querelle, rappelle-toi que tu peux venir en paix. La gouttière creuse la pierre. Qui veut une mule sans défaut doit se résoudre à aller à pied.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Honneur et profit ne couchent pas au même lit. Honore le bon pour qu'il t'honore, et le méchant pour qu'il ne te déshonore. ir Voler le cochon, et donner les pieds pour l'amour de Dieu. Figue verte et fille d'auberge mûrissent à force d'être pincées. La trahison plaît, mais non celui qui la fait.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Entre deux dents mâchelières ne mets jamais le pouce. Chez le serrurier, broche de bois. Chez le ménétrier, tout le monde danse. Le vent qui court change la girouette, mais non la tour. Donner est honneur, demander douleur.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès



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