Citation navire


Sélection de 33 citations sur le sujet navire

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Citations navire- Citations & Proverbes sur navire




Ce que j'aimais, ce n'était ni le travail, - Ni ce soin de notre avoir, qui fournit à l'entretien de beaux enfants ; - J'aimais de tout temps les navires s'élançant sous l'effort des rames, - Et la guerre, et les javelots au bois poli, et les flèches ;.
Odyssée, XV, 222. - Homère




Les vagues qu'amoncelle la douleur s'élèvent entre nous et le monde, et isolent notre navire au milieu d'un port rempli de vaisseaux.
Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul - Jean-Paul




Les sentiments sont des étoiles qui ne brillent que sur un ciel serein; mais la raison est la boussole qui dirige la marche du navire, lorsque celles-ci sont cachées et ne brillent plus.
Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul - Jean-Paul




Et j’étais ce soir-là comme un vieux capitaine plein d’expérience à bord d’un tout petit navire. Il fallait le conduire vers le jour….
Lettres à l'inconnue de Saint-Exupéry - Saint-Exupéry




L'oubli est un gigantesque océan sur lequel navigue un seul navire, qui est la mémoire. Pour l'immense majorité des hommes, ce navire se réduit à un rafiot misérable qui prend l'eau à la moindre occasion, et dont le capitaine, personnage sans scrupules, ne songe qu'à faire des économies.
Hygiène de l'assassin - Amélie Nothomb




Une gare ! Un port ! Un train qui siffle et crache son premier jet de vapeur ! Un grand navire passant dans les jetées, lentement, mais dont le ventre halète d’impatience et qui va fuir là-bas, à l’horizon, vers des pays nouveaux ! Qui peut voir cela sans frémir d’envie, sans sentir s’éveiller dans son âme le frissonnant désir des longs voyages ?.
Au soleil - Guy de Maupassant




Vous aviez coutume de dire que l'adversité était l'épreuve des âmes, que les hommes vulgaires pouvaient supporter de vulgaires occurrences, que, quand la mer est calme, tous les navires sont également bons voiliers, mais que, quand la fortune assène ses coups les plus rudes, il faut, pour se laisser frapper avec patience, une noble magnanimité.
Coriolan -Acte IV, sc. I - Shakespeare




Je n'ai pas la force de me gouverner, je suis comme le navire qu'emportent les flots rapides. Mon cœur ne s'astreint pas à préférer certaines beautés, il trouve cent raisons de les aimer toutes.
l'élégie II, 4 des Amours d'Ovide - Nam desunt vires ad me mihi iusque regendum; auferor ut rapida concita puppis aqua. non est certa meos quae forma invitet amores— centum sunt causae, cur ego semper amem. (Livre II, Elegie IV, v. 7-10) - Ovide




Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse - C'est le premier état de mon âme amoureuse. - Puis je vois s'élever une vapeur confuse, - C'est le second état dont elle est langoureuse. - Le troisième est le flot hideusement frisé, - Le navire enfondrant, la perte de courage. - Le quatrième est la mort entre les flots salés, - Bref mon amour n'est rien qu'un horrible naufrage.
Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse - Abraham de Vermeil




Les cailloux n'ont peur de rien. Ils n'ont pas peur de l'orage, de la mort, du soleil, de la mer. Les dents des cachalots déchirent tout, les hommes, les baleines, les navires, mais elles se brisent sur les cailloux.
Les Géants - JMG Le Clézio




J'ai grandi dans la mer et la pauvreté m'a été fastueuse, puis j'ai perdu la mer, tous les luxes alors m'ont paru gris, la misère intolérable. Depuis, j'attends. J'attends les navires du retour, la maison des eaux, le jour limpide.
La mer au plus près - Camus




C'est notre amour c'est toi quand la rue est barrée - C'est toi quand le train part le coeur qui se déchire - C'est toi le gant perdu pour le gant déparé - C'est toi tous les pensers qui font l'homme pâlir - C'est toi dans les mouchoirs agités longuement - Et c'est toi qui t'en vas sur le pont des navires.
Le rendez-vous perpétuel - Louis Aragon




L'égoiste s'attendrit à l'aspect d'un naufrage, en songeant qu'il aurait pu se trouver sur le navire.
Bluettes et boutades - John Petit-Senn




Les orateurs qui s'emportent sans motifs me rappellent ces navires représentés dans de méchantes gravures, avec toutes les voiles enflées sur une mer unie comme une glace.
Bluettes et boutades - John Petit-Senn




L’éblouissement que je ressentais provenait tout d’abord de sa présence physique, mais cette présence même révélait son caractère décidé, entier. Elle paraissait être la proue d’un navire avançant rapidement sur les flots, proue faite d’une pierre dure et brillante, inaltérable.
Mémoires d'une jeune fille dérangée - Bianca Lamblin




Elle est douce, la terre, aux vœux des naufragés, dont Poséidon en mer, sous l'assaut de la vague et du vent, a brisé le solide navire.
l'Illiade - Homère




L'adresse, plus que la vigueur, fait le bon bûcheron. L'adresse permet au pilote, sur la mer vineuse, De diriger son navire assailli par les vents.
L'Illiade - Homère




Or si jamais un rêve avait été impraticable et insensé, c’était celui-ci : sauver la machine échouée sur les Douvres. Envoyer travailler sur ces roches un navire et un équipage serait absurde ; il n’y fallait pas songer. C’était la saison des coups de mer ; à la première bourrasque les chaînes des ancres seraient sciées par les crêtes sous-marines des brisants, et le navire se fracasserait à l’écueil. Ce serait envoyer un deuxième naufrage au secours du premier. Dans l’espèce de trou du plateau supérieur où s’était abrité le naufragé légendaire mort de faim, il y avait à peine place pour un homme. Il faudrait donc que, pour sauver cette machine, un homme allât aux rochers Douvres, et qu’il y allât seul, seul dans cette mer, seul dans ce désert, seul à cinq lieues de la côte, seul dans cette épouvante, seul des semaines entières, seul devant le prévu et l’imprévu, sans ravitaillement dans les angoisses du dénûment, sans secours dans les incidents de la détresse, sans autre trace humaine que celle de l’ancien naufragé expiré de misère là, sans autre compagnon que ce mort. Et comment s’y prendrait-il d’ailleurs pour sauver cette machine ? Il faudrait qu’il fût non seulement matelot, mais forgeron. Et à travers quelles épreuves ! L’homme qui tenterait cela serait plus qu’un héros. Ce serait un fou.
« Les Travailleurs de la mer », dans Œuvres complètes de Victor Hugo, vol. roman III, Victor Hugo, éd. Robert Laffont, 2002 (ISBN 2-221-09672-X), partie Première partie : Sieur Clubin, chap. I (« la perle au fond du précipice »), livre septième (« Imprudence de faire des questions à un livre »), p. 181 - Victor Hugo




Quand je songe que sur cet immense Océan, où l'on peut naviguer durant des semaines sans rencontrer la moindre voile, d'innombrables navires suivent inflexiblement la route qui doit les faire s'éventrer l'un l'autre, je me demande comment on peut encore douter de la Providence.
Les Pensées d'un Yoghi - Paul Masson




Loin de l'amour, la foi s'envole, - C'est un voyage sans retour Dans un navire sans boussole. - Les fleurs languissent loin du jour ; Le cœur se fane et s'étiole - Loin de l'amour.
Il faut aimer - Gustave Nadaud



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