Citation nez
Sélection de 81 citations sur le sujet nez
- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe nez issus de livres, discours ou entretiens.Page 4 sur un total de 5 pages.
Citations nez- 81 citations & Proverbes sur nez
En parlant de sentir, t'avais une crotte au nez tout le temps qu'on était chez eux...mais c'est parti quand tu as embrassé madame Pelletier !
Les bidochon, tome 8 : vent du soir
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Christian Binet
On a toujours quelque chose à cacher. Son père le lui disait quand elle était petite : Nous nous mettons tous les doigts dans le nez. Souvent, nous le faisons quand personne ne peut nous voir, mais nous le faisons.
Le chuchoteur
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Donato Carrisi
Je vais mourir et mon fils me pète au nez... Quel gâchis !
Poulet aux prunes
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Marjane Satrapi
Je ne pensais pas que la mort pouvait avoir le visage d'un gamin de dix-huit ans. Ce gamin-là, avec ses yeux clairs et son nez d'enfant, c'était ma mort.
Cris
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Laurent Gaudé
Son nez était planté dans son visage comme un couteau dans une pomme.
La nausee, jean-paul sartre, édition gallimard, 1938 (isbn 2-07-036805-x), p. 228
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Jean-Paul Sartre
Pourquoi les gens qui ont un nez rouge au cirque ça fait rire, et au bistrot ça fait peur ?.
500 questions que personne ne se pose de Laurent Baffie -
Laurent Baffie
Un chien pense avec son nez.
Mon chat m'a dit, mon chien m'a dit -
Didier Hallépée
Il n'est que trop facile de prouver que la tolérance conduit parfois tout droit à l'intolérable et que sur ce chemin là, on est trop souvent mené par le bout du nez.
"Les Cerfs-Volants", Romain Gary. -
Romain Gary
Comme symbole d’effronterie et d’impertinence, il faudrait prendre la mouche. Tandis que tous les animaux, en effet, craignent l’homme au-dessus de tout et le fuient déjà de loin, la mouche, elle, se pose sur son nez.
Arthur Schopenhauer Essai sur les apparitions et opuscules divers -
Schopenhauer
Ce n'est pas en lui mettant de l'herbe sous le nez que les moutons montrent au berger qu'ils ont bien mangé ; c'est à leur laine qu'on s'en aperçoit, après qu'ils ont digéré leur nourriture ; eh bien, fais de même : ne va pas mettre sous le nez des profanes les principes de la philosophie, fais-leur voir les effets quand tu les as digérés.
Manuel, Épictète (trad. Myrto Gondicas), éd. Mille et une nuits, 1991 (ISBN 2-910233-39-3), p. 33 -
Épictète
Avec un visage aussi commun que le mien, on ne passe pas inaperçu. Deux yeux, un nez, une bouche, ça rappelle forcément toujours quelqu'un à quelqu'un.
L'homme que l'on prenait pour un autre -
Joël Egloff
La pluie montre ses dents, exige la lumière Mon envie de crier, comme un doigt qu'on déplie, Tire, tire les fils du nez de la mercière Qui maigrit mais qui tourne, embobinant la pluie.
Les barricades mystérieuses -
Olivier Larronde
Je hais le mot amour, c’est un mot qui sonne faux. “Je t’aime”, 'c’est une phrase louche pour des types qu’ont quelque chose à se reprocher ou qu’ont pas encore eu ce qu’ils veulent. L’amour, ça ne se raconte pas, ça se fait. Mais pas sur un carton ou dans un plumard, l’amour ça se fait avec le quotidien, par exemple un chien qui pose son museau sur tes genoux et qui te regarde dans les yeux en pleurant du nez, c’est de l’amour qui coûte rien et qui rapporte gros.
D'où je suis, je vois la lune de Maud Lethielleux -
Maud Lethielleux
L'homme appelle abstrait ce qui est concret. Ce n'est pas étonnant car ordinairement il confond le devant et le derrière tout en se servant de son nez, de sa bouche et de ses oreilles, c'est-à-dire de cinq de ses neuf ouvertures.
On my way -
Hans Arp
Je ne sais rien de gai comme un enterrement ! Le fossoyeur qui chante et sa pioche qui brille, La cloche, au loin, dans l'air, lançant son svelte trille, Le prêtre en blanc surplis, qui prie allègrement, L'enfant de coeur avec sa voix fraîche de fille, Et quand, au fond du trou, bien chaud, douillettement, S'installe le cercueil, le mol éboulement De la terre, édredon du défunt, heureux drille, Tout cela me paraît charmant, en vérité ! Et puis tout rondelets, sous leur frac écourté, Les croque-morts au nez rougi par les pourboires, Et puis les beaux discours concis, mais pleins de sens, Et puis, coeurs élargis, fronts où flotte une gloire, Les héritiers resplendissants !.
L'enterrement - Œuvres poétiques complètes, Paul Verlaine, éd. La Pléiade, 1981, p. 1091 -
Verlaine
Il serait facile de montrer par exemple que les Kleenex, qui demandent qu’on prenne son nez délicatement, sans trop appuyer, et qu’on se mouche en quelque sorte du bout du nez, par petits coups, sont au grand mouchoir de tissu, dans lequel on souffle très fort d’un coup et à grand bruit, en plissant les yeux dans l’effort et en se tenant le nez à pleins doigts, ce que le rire retenu dans ses manifestations visibles et sonores est au rire à gorge déployée, que l’on pousse avec tout le corps, en plissant le nez, en ouvrant grande la bouche et en prenant son souffle très profond.
La distinction de Pierre Bourdieu -
Pierre Bourdieu
J'apporte rien à personne. J'suis tout juste bon à traîner mes péchés comme un caleçon merdeux sous le nez des gens.
Les Raisins de la colère de John Steinbeck -
John Steinbeck
Je suis tombé par terre, C'est la faute à Voltaire, Le nez dans le ruisseau, C'est la faute à. .. .
Les Misérables Partie V Jean Valjean Livre I La guerre entre quatre murs -
Victor Hugo
Le vrai art, il est toujours là où on ne l'attend pas. Là où personne ne pense à lui ni ne prononce son nom. l'art, il déteste d'être reconnu et salué par son nom. Il se sauve aussitôt. l'art est un personnage passionnément épris d'incognito. Sitôt qu'on le décèle (. .. ), il se sauve en laissant à sa place un figurant lauré qui porte sur son dos une grande pancarte ou c'est marque Art, que tout le monde asperge aussitôt de champagne et que les conférenciers promènent de ville en ville avec un anneau dans le nez.
L'art brut préféré aux arts culturels -
Jean Philippe Arthur Vincent Dubuffe
Fichtre ! fit Gavroche. Voilà qu’on me tue mes morts. […], il chanta : On est laid à Nanterre, C’est la faute à Voltaire, Et bête à Palaiseau, C’est la faute à Rousseau. […] Là une quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta : Je ne suis pas notaire, C’est la faute à Voltaire, Je suis petit oiseau, C’est la faute à Rousseau. Une cinquième balle ne réussit qu’à tirer de lui un troisième couplet : Joie est mon caractère, C’est la faute à Voltaire, Misère est mon trousseau, C’est la faute à Rousseau. Cela continua ainsi quelque temps. Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l’enfant feu follet. […]. Je suis tombé par terre, C’est la faute à Voltaire, Le nez dans le ruisseau, C’est la faute à… Il n’acheva point. Une seconde balle du même tireur l’arrêta court. Cette fois il s’abattit la face contre le pavé, et ne remua plus. Cette petite grande âme venait de s’envoler.
Les Misérables, vol. 2, Victor Hugo, éd. Le Livre de Poche, 1998 (ISBN 2-253-09634-2), t. V (« Jean Valjean »), chap. XV (« Gavroche dehors »), livre I (« La guerre entre quatre murs »), p. 1631-1634 -
Victor Hugo
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