Citation occasion


Sélection de 46 citations sur le sujet occasion

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Citations occasion- Citations & Proverbes sur occasion




J'entends souvent dire que le roman a déjà épuisé toutes ses possibilités. J'ai l'impression contraire : pendant quatre cents ans de son histoire, le roman a manqué beaucoup de ses possibilités : il a laissé beaucoup de grandes occasions inexploitées, de chemins oubliés, d'appels non entendus.
Jacques et son Maître de Milan Kundera - Milan Kundera




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Il y a deux choses qu'on ne peut regarder fixement : le soleil et la mort. Pense lentement et agis vite. Pour toutes choses, en penser plusieurs, en faire une seule. Ne dois pas au riche, et ne promets pas au pauvre. Ne sers pas qui a servi et ne commande pas à qui a commandé. Rivière débordée, profit des pêcheurs. Au reconnaissant, plus qu'il ne demande, car qui donne vend, si ce n'est pas un ingrat qui prend. A chair de loup, dent de chien.
Le petit-fils de Sancho Panza - Miguel de Cervantes - Miguel de Cervantes Saavedra




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : L'un mange la pomme verte, et l'autre a l'agacement de dents. Les cordonniers vont à la messe prier Dieu qu'il meure force moutons. Un seul coup n'abat point un chêne. Une belle mort honore toute la vie.
Le petit-fils de Sancho Panza - Miguel de Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Si elle avait une bouche comme elle a des oreilles, la potence appellerait bien des gens. Humer et souffler ne peuvent se faire à la fois. La patience finit par tomber quand on la charge d'injures. Jette la pierre et cache la main. Tel se crève deux yeux pour que son ennemi s'en crève un. Un cheval sur cent, un homme sur mille.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Vous qui avez la tête de verre, ne m'attaquez pas à coups de pierre. Assieds-toi à ta place, on ne te fera pas lever. Si la pilule avait bon goût, on ne la dorerait pas. Quand le pauvre donne, c'est pour recevoir davantage. Si le sot n'allait point au marché, on ne vendrait pas la mauvaise denrée.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui va en arrière fait deux fois le chemin. Qui mal enfourne tire les pains tordus. Qui veut tuer son chien le dit enragé. Que celui-là sonne la cloche qui emporte l'offrande. Qui dédaigne la poire veut en manger.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui laisse le grand chemin pour la traverse, pense aller plus droit et fait un circuit. Qui met les vêtements d'autrui est déshabillé dans la rue. Qui veut être longtemps vieux doit l'être de bonne heur. O. Qui trop tôt s'excuse s'accuse. Qui trébuche dans la plaine, que fera-t-il dans la montagne ?.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Pour le mal d'hier, il n'y a pas de remède demain. Pierre qui roule n'amasse pas de mousse. Pour n'en pas perdre la coutume, quand tu n'as pas de fer bats sur l'enclume. Si l'on mange le bœuf entier, c'est que l'un veut la cuisse et l'autre l'épaule. Puisque le cheval laboure, sellons le bœuf. Que fais-tu, nigaud ? — Je nigaude ; j'écris ce qui m'est dû, et j'efface ce que je dois.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Le fil casse par le plus menu. Ce n'est pas le fil menu qui casse, mais le gros et mal filé. II n'y a pas de plaisir qui n'ennuie, surtout s'il ne coûte rien. Offrir beaucoup à qui demande peu, c'est une manière de refuser. Est or ce qui vaut or. Écouter, voir et se taire, sont choses rudes à faire.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : On ne peut pas sonner les cloches et suivre la procession. Il n'y aurait point de parole mal dite si elle n'était mal prise. Quelque matin qu'on se lève, le jour n'en vient pas plus tôt. Que Dieu ne t'envoie pas plus de mal que beaucoup d'enfants et peu de pain. La belle-mère ne se souvient pas qu'elle fut belle-fille. Belle-mère, fût-elle de sucre, est amère.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Mieux vaut lionne espérance que mauvaise possession. Le renard en sait long, mais plus long celui qui l'attrape. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Pas de meilleur chirurgien que celui qui a reçu beaucoup de blessures. Ne redoute pas une tache que l'eau puisse enlever.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : La mauvaise blessure guérit ; la mauvaise renommée tue. C'est quand la fortune paraît le plus amie qu'elle donne le croc-en-jambe. Le pire des procès, c'est que d'un il en naît cent ; aussi, plutôt mauvais accord que bon procès. Plus donne le dur que le nu. Une bonne parole éteint mieux qu'un seau d'eau.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Notre fille mariée, les gendres arrivent ; la maison brûlée, tout le monde apporte de l'eau. II ne faut pas jeter la faute de l'âne sur le bât. Quand tu es en paix, rappelle-toi que tu peux venir en querelle ; et quand tu es en querelle, rappelle-toi que tu peux venir en paix. La gouttière creuse la pierre. Qui veut une mule sans défaut doit se résoudre à aller à pied.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Honneur et profit ne couchent pas au même lit. Honore le bon pour qu'il t'honore, et le méchant pour qu'il ne te déshonore. ir Voler le cochon, et donner les pieds pour l'amour de Dieu. Figue verte et fille d'auberge mûrissent à force d'être pincées. La trahison plaît, mais non celui qui la fait.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Entre deux dents mâchelières ne mets jamais le pouce. Chez le serrurier, broche de bois. Chez le ménétrier, tout le monde danse. Le vent qui court change la girouette, mais non la tour. Donner est honneur, demander douleur.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : De poltron à poltron, qui attaque bat. De la main à la bouche la soupe se perd. Les malheurs et les voyages font les amis. De l'emporté détourne-toi un moment ; du sournois, toute ta vie. Le sot qui se tait passe pour sage.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Heureux, tu ne te connaîtras pas ; malheureux, on ne te connaîtra pas. Quand la rivière ne fait plus de bruit, c'est qu'elle a tari ou qu'elle a grossi. Quand le loup donne dans la bergerie commune, malheur à qui n'a qu'une brebis. Dieu envoie des amandes à qui n'a pas de dents. Du cuir d'autrui, longues courroies. Donnez-moi pour m'asseoir, et je prendrai bien pour me coucher.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge. Je dirai hautement : Voilà ce que j’ai fait, ce que j’ai pensé, ce que je fus. J’ai dit le bien et le mal avec la même franchise. Je n’ai rien tu de mauvais, rien ajouté de bon ; et s’il m’est arrivé d’employer quelque ornement indifférent, ce n’a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire. J’ai pu supposer vrai ce que je savais avoir pu l’être, jamais ce que je savais être faux.
Les confessions - Jean-Jacques Rousseau




Qu’est-ce qu’une maison où l’on ne rit pas, me dis-je, une maison où l’on ne chante pas, où l’on ne s’embrasse pas, ou alors si distraitement, à de si rares occasions que ça compte pour du beurre ? Qu’est qu’une maison où l’on ne dit jamais mon enfant, nom soleil, mon petit cœur, je t’aime ; qu’est-ce qu’une maison où on ne lit pas, à l’exception du journal et du papier peint, jamais un vrai livre ? Qu’est-ce ? Un écrin vide… un lieu clos où les murs sont seulement des murs auxquels on ne peut que se cogner ?.
Géronimo a mal au dos de Guy Goffette - Guy Goffette




Quoi qu'il en soit, aux questions les plus graves, nous répondons, en fin de compte, par notre existence entière. Ce que l'on dit entre-temps n'a aucune valeur, car lorsque tout est achevé, on répond avec l'ensemble de sa vie aux questions que le monde vous a posées. Les questions auxquelles il faut répondre sont : qui es-tu ? Qu'as-tu fait ?. .. A qui es-tu resté fidèle ? A quel propos as-tu été infidèle ?. .. Avec qui, où, en quelle occasion as-tu été courageux ou lâche ?. .. Voilà les questions capitales.
Les Braises de Sándor Márai - Sándor Márai



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