Citation pensais
Sélection de 50 citations sur le sujet pensais
- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe pensais issus de livres, discours ou entretiens.Page 3 sur un total de 3 pages.
Citations pensais- Citations & Proverbes sur pensais
Ma vie est comme ce lit, pensais-je encore. Fragile. Incertaine. Suspendue.
Je l'aimais de Anna Gavalda -
Anna Gavalda
Il existait. Pour moi, c'était suffisant. Je pensais que notre amitié se nourrissait de distance et je m'étais trompé.
Le quatrième mur de Sorj Chalandon -
Sorj Chalandon
J’ai parfois, j’ai souvent, par malignité, dit d’autrui plus de mal que je ne pensais et, par lâcheté, dit plus de bien que je ne pensais de beaucoup d’œuvres, livres ou tableaux, par crainte d’indisposer contre moi leurs auteurs. J’ai parfois souri à des gens que je ne trouvais pas du tout drôles et feint de trouver spirituels des propos niais. J’ai feint de m’amuser, parfois, alors que je m’embêtais à mort et que je n’avais pas la force de m’en aller parce que l’on me disait : reste encore… J’ai trop souvent permis à ma raison d’arrêter l’élan de mon cœur. Et, par contre, alors que mon cœur se taisait, j’ai trop souvent parlé quand même. J’ai parfois, pour être approuvé, fait des sottises. Et, par contre, je n’ai pas toujours osé faire ce que je pensais devoir faire mais savais ne devoir être pas approuvé.
Les Nouvelles Nourritures -
André Gide
Je pensais au poids de mon corps sur la terre, puis aux autres corps qui marchaient en même temps que moi, à tous nos souffles, je pensais aux voix qui pouvaient se répondre, je pensais aux mains qui pouvaient se saisir et former un pont entre les pays et les continents, un pont imaginaire entre les récifs et les côtes et puis je pensais à toutes les possibilités amoureuses, à toutes les histoires. .
Nos baisers sont des adieux de Nina Bouraoui -
Nina Bouraoui
Je pensais à ce que Robert Walser avait écrit à un ami, J'aime la vie, mais je l'aime parce que j'espère qu'elle me donnera l'occasion de la jeter dignement par-dessus bord.
Le canapé rouge -
Michèle Lesbre
Je pensais que l’amour était aussi un jeu, qu’il fallait garder la magie comme on garde un feu, les sentiments s’éteignant par manque de vigilance. Je comparais les trajectoires amoureuses à des coups de théâtre, ayant appris avec le temps que le cœur de l’autre n’est jamais acquis.
Appelez-moi par mon prénom -
Nina Bouraoui
La vie, pensais-je, a forcément toujours raison au bout du compte ; si elle bafoue mes beaux rêves, c'est que ceux-ci étaient absurdes et injustifiés.
Le Loup des steppes -
Hermann Hesse
Mes gosses s'ennuient et c'est ma faute : je les emmène dans des endroits de vieux. Ce sont pourtant eux qui ont insisté ! Je pensais que la vue les distrairait mais ils sont comme leur père : ils se lassent de tout trop vite. Génération du zapping frénétique et de la schizophrénie existentielle. Comment feront-ils quand ils découvriront qu'on ne peut pas tout avoir, ni tout être ? Je les plains, parce que personnellement, je ne me suis jamais remis d'une telle découverte.
Windows on the World -
Frédéric Beigbeder
Je pensais que les vacances me videraient la tête. Mais non, les vacances, ça ne vide qu'une chose : le porte-monnaie.
Accès direct à la plage -
Jean-Philippe Blondel
Peut-être que j'ai déjà attiré votre attention là-dessus, mais je suis patient. Si j'ai dit à ce flic je vous emmerde, c'est que je le pensais, et où est le mal ? Moi je trouve que rien ne vaut la franchise.
Elles se rendent pas compte -
Boris Vian
Ce qui est étrange dans l’acquisition de savoir, c’est que plus j’avance, plus je me rends compte que je savais même pas que ce que je ne savais pas existait. Voici peu de temps, je pensais sottement que je pouvais tout apprendre – acquérir tout le savoir du monde. Maintenant, j’espère seulement arriver à savoir que ce que je ne sais pas existe et en comprendre un miette. En aurais-je le temps ?.
Des fleurs pour algernon -
Daniel Keyes
Je suis hantée par les écrivains fous ou vivant dans la crainte de le devenir : Hölderlin, Nerval, Artaud, Byron. .. Dès l'adolescence, j'éprouvais cette même crainte, celle de devenir folle. Je pensais, comme eux, que c'est seulement par la connaissance des gouffres que l'on peut atteindre la vérité et par l'exploration des marges et de la nuit que l'on peut atteindre au mythe. Ce qui me fascine dans la folie, ce sont les éclairs de lucidité, l'horreur ou l'exaltation que l'on doit éprouver dans ces moments-là.
Entretien L'express 1999 -
Linda Lê
L'amour est un muscle qui travaille, qui pompe et trime lui aussi, pensais-je. On peut aller jusqu'à dire que l'amour, c'est du boulot, ce n'est pas un cadeau, un sentiment, un état ni une sorte de mer morte dans laquelle on flotte tranquillement. L'amour, ce ne sont pas des nuages qui vont et qui viennent, ni des éclairs qui zèbrent le ciel. Si, il est vrai qu'il est aussi capricieux que les nuages et peut vous aveugler comme l'éclair. Mais, avant tout, c'est un muscle. C'est une affaire de travail et de volonté. Il s'agit de vouloir le plus de bien possible à quelqu'un d'autre.
Si le cœur bat encore -
Aino Trosell
L'âge de mon père, c'était vingt-cinq ans de plus que moi, et ça n'a jamais changé. L'âge d'Augustine, c'était le mien, parce que ma mère, c'était moi, et je pensais, dans mon enfance, que nous étions nés le même jour.
La Gloire de mon père -
Marcel Pagnol
On dit que les pensées de deux personnes qui s'aiment finissent toujours par se rencontrer, alors je me demandais souvent en m'endormant le soir s'il tarrivait de penser à moi quand je pensais à toi.
Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites -
Marc Levy
Je rêvais d'être ma propre cause et ma propre fin ; je pensais à présent que la littérature me permettrait de réaliser ce voeu. Elle m'assurerait une immortalité qui compenserait l'éternité perdue ; il n'y avait plus de Dieu pour m'aimer, mais je brûlerais dans des millions de coeurs. En écrivant une oeuvre nourrie de mon histoire, je me créerais moi-même à neuf et je justifierais mon existence.
Mémoires d'une jeune fille rangée (1958) -
Simone de Beauvoir
Des années durant j'avais lutté contre mon coeur parce que j'avais peur de la tristesse, de la souffrance, de l'abandon. J'avais toujours su que le véritable amour était au-dessus de tout cela et qu'il valait mieux mourir que de ne pas aimer. Mais je pensais que seuls les autres avaient du courage. Et maintenant, en cet instant, je découvrais que j'en étais moi aussi capable. Même s'il signifiait séparation, solitude, tristesse, l'amour valait bien le moindre centime de son prix.
Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré -
Paulo Coehlo
En classe j’étais celui qu’on chahute, qu’on martyrise, qu’on enferme dans le noir, une vie terrible. Et le soir, à la maison, j’étais la liberté même. Plus rien ne pesait sur moi. Je ne pensais qu’à mes pantins, à mes marionnettes que j’habillais selon les pièces que j’avais vues, “L’aigle à deux têtes”, par exemple.
-
Yves Saint Laurent
Le toucher de mes mains n'avait ni poids ni substance, les gens qui me parlaient étaient toujours très loin, toutes les couleurs étaient pâles à mes yeux, les verres de vin que je buvais n'avaient pas de goût et saoulaient un autre homme, mon corps marchant sur le trottoir était si léger qu'il n'était plus mien, parce que je ne pensais qu'à elle.
Le cimetière de pianos -
José Luís Peixoto
Oui, c'est bien ce que je pensais que l'âge adulte m'apporterait, une sorte de long été indien, un état de quiétude, d'incuriosité paisible, totalement purgé des impatiences tout juste supportables de l'enfance, où tout ce qui m'avait intrigué autrefois était enfin réglé, tous les mystères révélés, toutes les questions résolues et où les moments s'écoulaient un à un, presque à mon insu, goutte d'or après goutte d'or, en attendant, à mon insu ou presque, l'ultime coup de grâce.
La mer, Robert Laffont, 2007, page 92 -
John Banville
Page 3 sur un total de 3 pages.
Contribuer

- Paix - Papa - Paradis - Paradoxe - Paraître - Pardon - Pardonner - Parent - Paresse - Parler - Parole - Partage - Partager - Partir - Pas - Passe - Passion - Passoire - Patience - Patient - Patrie - Patriotisme - Pauvre - Pauvrete - Payer - Pays - Paysan - Peche - Pedagogie - Pedanterie - Peine - Peinture - Pensee - Pensées - Penser - Perception - Pere - Perdre - Perfection - Perfidie - Permanence - Perseverance - Personnage - Personnalite - Personne - Persuader - Pessimisme - Peuple - Peur - Philosophie - Phrases - Physiologie - Physique - Piano - Piege - Piston - Pitie - Plagiat - Plaindre - Plaire - Plaisir - Plannification - Pleonasme - Pleur - Pleurer - Poesie - Poete - Pognon - Police - Politesse - Politicien - Politique - Ponctualite - Populaire - Popularite - Pornographie - Porte - Posologie - Posséder - Posterite - Pouvoir - Prédiction - Préférence - Préférer - Préjugé - Prendre - Present - President - Pret - Pretention - Prevoir - Prier - Principes - Prison - Privilege - Prix - Probabilite - Probleme - Producteur - Profit - Progres - Proletariat - Promenade - Promesse - Promettre - Prononciation - Proposer - Propriete - Prose - Prostituee - Prouver - Proverbe - Prudence - Psychanalyse - Psychologie - Psychose - Publicite - Pucelage - Pudeur - Punition - Purete
Etendez votre recherche :
Citation pensais Phrases sur pensais Poèmes pensais Proverbes pensais