Citation raison
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Citations raison - Page 44 sur un total de 46 pages.
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : L'un mange la pomme verte, et l'autre a l'agacement de dents. Les cordonniers vont à la messe prier Dieu qu'il meure force moutons. Un seul coup n'abat point un chêne. Une belle mort honore toute la vie.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Miguel de Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Si elle avait une bouche comme elle a des oreilles, la potence appellerait bien des gens. Humer et souffler ne peuvent se faire à la fois. La patience finit par tomber quand on la charge d'injures. Jette la pierre et cache la main. Tel se crève deux yeux pour que son ennemi s'en crève un. Un cheval sur cent, un homme sur mille.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Vous qui avez la tête de verre, ne m'attaquez pas à coups de pierre. Assieds-toi à ta place, on ne te fera pas lever. Si la pilule avait bon goût, on ne la dorerait pas. Quand le pauvre donne, c'est pour recevoir davantage. Si le sot n'allait point au marché, on ne vendrait pas la mauvaise denrée.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui va en arrière fait deux fois le chemin. Qui mal enfourne tire les pains tordus. Qui veut tuer son chien le dit enragé. Que celui-là sonne la cloche qui emporte l'offrande. Qui dédaigne la poire veut en manger.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui laisse le grand chemin pour la traverse, pense aller plus droit et fait un circuit. Qui met les vêtements d'autrui est déshabillé dans la rue. Qui veut être longtemps vieux doit l'être de bonne heur. O. Qui trop tôt s'excuse s'accuse. Qui trébuche dans la plaine, que fera-t-il dans la montagne ?.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Pour le mal d'hier, il n'y a pas de remède demain. Pierre qui roule n'amasse pas de mousse. Pour n'en pas perdre la coutume, quand tu n'as pas de fer bats sur l'enclume. Si l'on mange le bœuf entier, c'est que l'un veut la cuisse et l'autre l'épaule. Puisque le cheval laboure, sellons le bœuf. Que fais-tu, nigaud ? — Je nigaude ; j'écris ce qui m'est dû, et j'efface ce que je dois.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Le fil casse par le plus menu. Ce n'est pas le fil menu qui casse, mais le gros et mal filé. II n'y a pas de plaisir qui n'ennuie, surtout s'il ne coûte rien. Offrir beaucoup à qui demande peu, c'est une manière de refuser. Est or ce qui vaut or. Écouter, voir et se taire, sont choses rudes à faire.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : On ne peut pas sonner les cloches et suivre la procession. Il n'y aurait point de parole mal dite si elle n'était mal prise. Quelque matin qu'on se lève, le jour n'en vient pas plus tôt. Que Dieu ne t'envoie pas plus de mal que beaucoup d'enfants et peu de pain. La belle-mère ne se souvient pas qu'elle fut belle-fille. Belle-mère, fût-elle de sucre, est amère.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Mieux vaut lionne espérance que mauvaise possession. Le renard en sait long, mais plus long celui qui l'attrape. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Pas de meilleur chirurgien que celui qui a reçu beaucoup de blessures. Ne redoute pas une tache que l'eau puisse enlever.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : La mauvaise blessure guérit ; la mauvaise renommée tue. C'est quand la fortune paraît le plus amie qu'elle donne le croc-en-jambe. Le pire des procès, c'est que d'un il en naît cent ; aussi, plutôt mauvais accord que bon procès. Plus donne le dur que le nu. Une bonne parole éteint mieux qu'un seau d'eau.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Notre fille mariée, les gendres arrivent ; la maison brûlée, tout le monde apporte de l'eau. II ne faut pas jeter la faute de l'âne sur le bât. Quand tu es en paix, rappelle-toi que tu peux venir en querelle ; et quand tu es en querelle, rappelle-toi que tu peux venir en paix. La gouttière creuse la pierre. Qui veut une mule sans défaut doit se résoudre à aller à pied.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Honneur et profit ne couchent pas au même lit. Honore le bon pour qu'il t'honore, et le méchant pour qu'il ne te déshonore. ir Voler le cochon, et donner les pieds pour l'amour de Dieu. Figue verte et fille d'auberge mûrissent à force d'être pincées. La trahison plaît, mais non celui qui la fait.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Entre deux dents mâchelières ne mets jamais le pouce. Chez le serrurier, broche de bois. Chez le ménétrier, tout le monde danse. Le vent qui court change la girouette, mais non la tour. Donner est honneur, demander douleur.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : De poltron à poltron, qui attaque bat. De la main à la bouche la soupe se perd. Les malheurs et les voyages font les amis. De l'emporté détourne-toi un moment ; du sournois, toute ta vie. Le sot qui se tait passe pour sage.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Heureux, tu ne te connaîtras pas ; malheureux, on ne te connaîtra pas. Quand la rivière ne fait plus de bruit, c'est qu'elle a tari ou qu'elle a grossi. Quand le loup donne dans la bergerie commune, malheur à qui n'a qu'une brebis. Dieu envoie des amandes à qui n'a pas de dents. Du cuir d'autrui, longues courroies. Donnez-moi pour m'asseoir, et je prendrai bien pour me coucher.
Le petit-fils de Sancho Panza -
Cervantès
L'homme est né pour le plaisir : il le sent, il n'en faut point d'autre preuve. Il suit donc sa raison en se donnant au plaisir. Mais bien souvent il sent la passion dans son coeur sans savoir par où elle a commencé.
Discours sur les passions de l'amour -
Blaise Pascal
L'homme moderne ne supporte plus aucune contrainte, plus aucun partage, plus aucune perte. Cette course effrénée, souvent pour des raisons économiques, risque de le conduire à sa perte.
La bête du Gévaudan : Le loup réhabilité de Hervé Boyac -
Hervé Boyac
Le livre est ta richesse à toi ! c'est le savoir, Le droit, la vérité, la vertu, le devoir, Le progrès, la raison dissipant tout délire.
A qui la faute ? -
Victor Hugo
Moi, j'exècre tout ce qui est obligatoire, toute loi, tout gouvernement, toute règle. Qui êtes-vous donc, ô société, pour me forcer à quoi que ce soit ? Quel Dieu vous a fait mon maître ? Remarquez que vous retombez dans les vieilles injustices du passé. Ce ne sera plus un despote qui primera l'individu, mais la foule, le salut public, l'éternelle raison d'état, le mot de tous les peuples, la maxime de Robespierre. J'aime mieux le désert, je retourne chez les Bébouins qui sont libres.
Correspondance de Gustave Flaubert, à Croisset, 18 mai 1857 à mademoiselle Leroyer de Chantepie -
Gustave Flaubert
On écrit pour ne pas mourir entièrement, pour ne pas mourir tout de suite puisque tout dépérit. Et je crois que parmi toutes ces raisons, les deux raisons les plus fortes d'écrire sont bien celles-ci : faire partager aux autres l'étonnement, l'éblouissement d'exister, le miracle du monde et faire entendre notre cri d'angoisse à Dieu et aux hommes, faire savoir que nous avons existé.
Eugène Ionesco, in Antidotes, 1977 -
Ionesco
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