Citation Venaient


Sélection de 42 citations sur le sujet Venaient

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Citations sur Venaient




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Vous qui avez la tête de verre, ne m'attaquez pas à coups de pierre. Assieds-toi à ta place, on ne te fera pas lever. Si la pilule avait bon goût, on ne la dorerait pas. Quand le pauvre donne, c'est pour recevoir davantage. Si le sot n'allait point au marché, on ne vendrait pas la mauvaise denrée.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui va en arrière fait deux fois le chemin. Qui mal enfourne tire les pains tordus. Qui veut tuer son chien le dit enragé. Que celui-là sonne la cloche qui emporte l'offrande. Qui dédaigne la poire veut en manger.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Qui laisse le grand chemin pour la traverse, pense aller plus droit et fait un circuit. Qui met les vêtements d'autrui est déshabillé dans la rue. Qui veut être longtemps vieux doit l'être de bonne heur. O. Qui trop tôt s'excuse s'accuse. Qui trébuche dans la plaine, que fera-t-il dans la montagne ?.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Pour le mal d'hier, il n'y a pas de remède demain. Pierre qui roule n'amasse pas de mousse. Pour n'en pas perdre la coutume, quand tu n'as pas de fer bats sur l'enclume. Si l'on mange le bœuf entier, c'est que l'un veut la cuisse et l'autre l'épaule. Puisque le cheval laboure, sellons le bœuf. Que fais-tu, nigaud ? — Je nigaude ; j'écris ce qui m'est dû, et j'efface ce que je dois.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Le fil casse par le plus menu. Ce n'est pas le fil menu qui casse, mais le gros et mal filé. II n'y a pas de plaisir qui n'ennuie, surtout s'il ne coûte rien. Offrir beaucoup à qui demande peu, c'est une manière de refuser. Est or ce qui vaut or. Écouter, voir et se taire, sont choses rudes à faire.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : On ne peut pas sonner les cloches et suivre la procession. Il n'y aurait point de parole mal dite si elle n'était mal prise. Quelque matin qu'on se lève, le jour n'en vient pas plus tôt. Que Dieu ne t'envoie pas plus de mal que beaucoup d'enfants et peu de pain. La belle-mère ne se souvient pas qu'elle fut belle-fille. Belle-mère, fût-elle de sucre, est amère.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Mieux vaut lionne espérance que mauvaise possession. Le renard en sait long, mais plus long celui qui l'attrape. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Pas de meilleur chirurgien que celui qui a reçu beaucoup de blessures. Ne redoute pas une tache que l'eau puisse enlever.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : La mauvaise blessure guérit ; la mauvaise renommée tue. C'est quand la fortune paraît le plus amie qu'elle donne le croc-en-jambe. Le pire des procès, c'est que d'un il en naît cent ; aussi, plutôt mauvais accord que bon procès. Plus donne le dur que le nu. Une bonne parole éteint mieux qu'un seau d'eau.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Notre fille mariée, les gendres arrivent ; la maison brûlée, tout le monde apporte de l'eau. II ne faut pas jeter la faute de l'âne sur le bât. Quand tu es en paix, rappelle-toi que tu peux venir en querelle ; et quand tu es en querelle, rappelle-toi que tu peux venir en paix. La gouttière creuse la pierre. Qui veut une mule sans défaut doit se résoudre à aller à pied.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Honneur et profit ne couchent pas au même lit. Honore le bon pour qu'il t'honore, et le méchant pour qu'il ne te déshonore. ir Voler le cochon, et donner les pieds pour l'amour de Dieu. Figue verte et fille d'auberge mûrissent à force d'être pincées. La trahison plaît, mais non celui qui la fait.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Entre deux dents mâchelières ne mets jamais le pouce. Chez le serrurier, broche de bois. Chez le ménétrier, tout le monde danse. Le vent qui court change la girouette, mais non la tour. Donner est honneur, demander douleur.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : De poltron à poltron, qui attaque bat. De la main à la bouche la soupe se perd. Les malheurs et les voyages font les amis. De l'emporté détourne-toi un moment ; du sournois, toute ta vie. Le sot qui se tait passe pour sage.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




Il avait dans la mémoire une foule de maximes proverbiales qui lui venaient en aide à chaque occasion, et dont l'application opportune en faisait voir tout le sens et toute la finesse. Voici quelques-unes de celles qu'on a recueillies de la bouche de ce fou raisonnable : Heureux, tu ne te connaîtras pas ; malheureux, on ne te connaîtra pas. Quand la rivière ne fait plus de bruit, c'est qu'elle a tari ou qu'elle a grossi. Quand le loup donne dans la bergerie commune, malheur à qui n'a qu'une brebis. Dieu envoie des amandes à qui n'a pas de dents. Du cuir d'autrui, longues courroies. Donnez-moi pour m'asseoir, et je prendrai bien pour me coucher.
Le petit-fils de Sancho Panza - Cervantès




On disait que Wang-Fô avait le pouvoir de donner la vie à ses peintures par une dernière touche de couleur qu'il ajoutait à leurs yeux. Les fermiers venaient le supplier de leur peindre un chien de garde, et les seigneurs voulaient de lui des images de soldats. Les prêtres honoraient Wang-Fô comme un sage ; le peuple le craignait comme un sorcier. Wang se réjouissait de ces différences d'opinions qui lui permettaient d'étudier autour de lui des expressions de gratitu­de, de peur, ou de vénération.
Comment Wang-Fô fut sauvé - Marguerite Yourcenar




J'ai cherché tout au fond. J'ai fermé les yeux pour les appeler à l'aide. Elles ne venaient pas. Elles baignaient mon ventre, mon cœur, mon âme. Elles refusaient mes joues.
Le quatrième mur de Sorj Chalandon - Sorj Chalandon




Ne me demandez pas à quoi ressemblait ma mère : peut-on décrire le soleil ? De maman venaient de la chaleur, de la force, de la joie. Je me souviens de ses effets plus que de ses traits. Auprès d’elle je riais, et jamais rien de grave ne pouvait m’arriver.
L'Enfant de Noé de Eric-Emmanuel Schmitt - Eric-Emmanuel Schmitt




Mme Staël, ce cœur généreux et passionné, cette intelligence fine et vive, qui eut le défaut d'empeser souvent sa phrase par un pédantisme qui lui ôtait la grâce de l'abandon, disait, à un de ces jours où la vivacité de ses émotions la faisait s'échapper des solennités de sa roideur genevoise : En affection, il n'y a que des commencements !. .. Exclamation d'amère expérience sur l'insuffisance du cœur humain à accomplir tout ce que l'imagination rêve de beau. Ah ! si des exemples de grandeur bénie ne venaient quelquefois démentir tant d'illustres et d'obscurs faits qui paraissent donner gain de cause au mot de Mme Staël, combien tous tant que nous sommes, nous éprouverions de mécréance et de méconnaissance en face de toutes les affections, dont nous croirions trouver l'allégorique figure dans l'antique cortège de ces belles canéphores, qui ne portaient des fleurs que pour rendre une victime plus belle !.
F. Chopin Par Franz Liszt - Franz Liszt




Je me rappelle un jour d'orage ; J'étais jaloux de tous ces flots Qui venaient, chacun à son tour, Ramper, pleins d'amour, à tes pieds ! J'aurais voulu, comme la mer, Effleurer ces pieds de mes lèvres !.
Eugène Onéguine - Alexandre Pouchkine




Ne sait-on pas que les jeunes gens n’ont jamais connu l’amitié que dans leurs chagrins ? Le bonheur les rend quelquefois indiscrets, mais jamais confiants. Je dirai bien comme Socrate : J’aime que mes amis viennent à moi quand ils sont malheureux : mais en sa qualité de philosophe, il se passait bien d’eux quand il ne venaient pas.
Les Liaisons dangereuses : Lettre CXLVI - La Marquise de Merteuil au Chevalier Danceny - Pierre Choderlos de Laclos




Persuadé que les maux de notre société venaient des vieux, je conçus l’idée d’une liquidation de tous les citoyens ayant dépassé la quarantaine, début de la sclérose et de la momification, tournant à partir duquel, me plaisait-il de croire, tout individu devient une insulte à la nation et un poids pour la collectivité.
Histoire et Utopie - Cioran



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