Citation ventre - Citations sur ventre.

Citation ventre

Sélection de 89 citations sur le sujet ventre

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89 citations & Proverbes sur ventre

Le poisson, la mort dans le ventre, revint à la vie. Dans un ultime déploiement de beauté et de puissance ce géant fit un bond fantastique. Pendant un instant, il resta comme suspendu en l'air au-dessus du vieil homme et de la barque. En fin il s'écrasa lourdement dans la mer.

Dans la cabane, là-bas, tout en haut, le vieux s'était endormi. Il gisait toujours sur le ventre. Le gamin, assis à côté de lui, le regardait dormir. Le vieux rêvait de lions.

J'ai cherché tout au fond. J'ai fermé les yeux pour les appeler à l'aide. Elles ne venaient pas. Elles baignaient mon ventre, mon cœur, mon âme. Elles refusaient mes joues.

C'est fait pour ça, les mères ! beurrer, confiturer maison les tartines du petit déjeuner et du goutter, sentir la lavande, vous débusquer l'angoisse au ventre, panser les blessures de l’âme. Panseuses, instrumentistes, médecins, chirurgiens au besoins, elles sont tout cela à la fois.

Ce n’est pas le ventre qui est insatiable, comme le dit la foule, mais l’opinion fausse au sujet de la réplétion illimitée du ventre.

Telle est ma vision. J'aspire à un temps où l'homme aura une perspective plus haute et plus vaste que son ventre.

La grandeur et la beauté de la France, c'est qu'elle prend moins de ventre que les autres peuples ; elle se noue aisément la corde aux reins. Elle est la première éveillée, la dernière endormie. Elle va en avant. Elle est chercheuse. Cela tient à ce qu'elle est artiste.

Il n'y a plus d'idéaux, il n'y a que des idiots qui se baguenaudent dans des slogans aussi creux que le ventre des affamés.

Il y a des gens qui vous font bonne mine par-devant et qui vous flanquent des coups de pied dans le ventre par-derrière.

Dans les ventres de mères on a tendance à être un peu coupé des réalités ; il faut sortir au plus vite : on aurait la tentation de rester.

Amour, fléau du monde, exécrable folie, Toi qu'un lien si frêle à la volupté lie, Quand par tant d'autres noeuds tu tiens à la douleur, Si jamais, par les yeux d'une femme sans coeur, Tu peux m'entrer au ventre et m'empoisonner l'âme, Ainsi que d'une plaie on arrache une lame, Plutôt que comme un lâche on me voie en souffrir, Je t'en arracherai, quand j'en devrais mourir.

Les loups ne se mangent pas entre eux, dit un proverbe ; mais le proverbe ne dit vrai que quand les loups sont sur leurs pattes, tandis que, même la faim au ventre, les lions ne touchent pas, de leurs nobles ongles, à un autre lion abattu.

Sans la haine y aurait-il l’amour qui engendre la vie dans le ventre des humains ?.

Mon corps existe, depuis toi. C’est difficile à expliquer, encore que cela ne me gêne pas à dire ; et je m’étonne ; car tout de même, avant que je ne te rencontre, des hommes vivaient autour de moi ; mais je ne les désirais pas ; à peine si depuis l’été dernier je savais le goût ? de fruit vert, parfaitement ! ? de cette flammèche furtive allumée au noir du ventre. Et maintenant… Maintenant ! Ah si les gens savaient pourquoi je ris parfois dans la rue ! Je ris du bonheur de te sentir t’établir dans mon corps ; je ris d’une grande faim qui me vient….

Ton nom l’autre jour a jailli de moi, nécessairement, désespérément, ton nom comme un effort plus vaste pour t’appréhender ? et voilà qu’à présent je peux t’appeler ainsi, et le soir, dans mon lit, je dis tout doucement ce nom… Quelle étrange chose… Je t’ai d’abord aimé tel que tu es, tel que tu m’es apparu ? mais ce n’était plus assez, et j’ai voulu te posséder depuis toujours, depuis ton origine, j’ai voulu t’arracher au monde, et que tu croisses en moi seule, sans autre mère que moi, sans autre femme que moi, et n’ayant connu que mon ventre. Alors ton nom est sorti de moi ? et ce fut comme si je t’avais enlevé. Ton nom fut comme un rapt ; et je suffoquai de ta présence vive entre mes bras.

Je t’ai d’abord aimé tel que tu es, tel que tu m’es apparu ? mais ce n’était plus assez, et j’ai voulu te posséder depuis toujours, depuis ton origine, j’ai voulu t’arracher au monde, et que tu croisses en moi seule, sans autre mère que moi, sans autre femme que moi, et n’ayant connu que mon ventre.

Dés l'instant qu'ils sortent de votre ventre, vos enfants s'éloignent de vous, d'abord, en rampant, puis en marchant, ensuite en courant.

La gestation pour autrui (GPA) n’est pas quelque chose d’anodin. Cela revient pour une femme à louer son ventre pour porter un enfant. La grossesse n’est pas un service et l’enfant n’est pas un produit qu’on commande. Une telle pratique revient à déshumaniser la femme et conduit à la marchandisation des corps. Ce n’est pas acceptable.

Maintenant je sais une bonne fois pour toutes qu'on ne chasse pas les images, et encore moins les brèches invisibles qui se creusent au fond des ventres, on ne chasse pas les résonances ni les souvenirs qui se réveillent quand la nuit tombe ou au petit matin, on ne chasse pas l'écho des cris et encore moins celui du silence.

On peut pas être élevé dans le confort et avoir la rage au ventre. [. .. ] Je ne crois pas aux fils à papa qui réussissent. Il faut en avoir bavé. Il faut comprendre les gens.

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