Citation voila


Sélection de 613 citations sur le sujet voila

- Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe voila issus de livres, discours ou entretiens.

Page 17 sur un total de 31 pages.


Proverbes et citations sur voila




Nous recherchons tous quelque chose par ambition mais, ou bien nous ne réalisons pas cette ambition, et nous voilà pauvres, ou bien nous croyons la réaliser, et nous voilà tout à la fois riches et fous.
Le livre de l'intranquillité de Fernando Pessoa - Fernando Pessoa




Je t’aime parce que je t’aime et voilà tout et de t’aimer j’en arrive à ne pas t’aimer et de t’attendre alors je ne t’attends plus mon coeur peut en passer du froid à la brûlure.
Sonnet LXVI - Pablo Neruda




“Donner du style” à son caractère – voilà un art grand et rare !.
Le gai savoir de Friedrich Nietzsche - Nietzsche




Le désir est torve, il ne se conforme pas à nos idéaux, et voilà pourquoi nous avons tellement besoin d'eux.
Intimité - Hanif Kureishi




Le début, la fin de l'amour, voilà de bonnes histoires ; le milieu n'est censé intéresser personne. Je demande où est le mariage : ce mariage que même les gens vivent, presque tous, et où, presque tous, ils demeurent ; ce mariage lent, long, quotidien, dont le lit n'est pas le seul autel, mais aussi la table de cuisine, le bureau, la voiture, la machine à coudre, le bac à laver.
Le Matrimoine de Hervé Bazin - Hervé Bazin




Que lui reproche-t-on ? Ses idées politiques. En voilà une idée ! Alors qu'il est déjà si difficile de croire aux opinions politiques des hommes politiques !.
- Sacha Guitry




Un feu d'artifice qui implose et n'arrivait pas à atteindre le ciel. Voilà, quand je pense à la vie de beaucoup de gens, cette image-là me vient à l'esprit : des feux qui implosent au lieu de s'élancer vers le haut.
Va où ton cœur te porte - Susanna Tamaro




Le dernier dieu disparaîtra avec le dernier des hommes. Et avec lui la crainte, la peur, l'angoisse, ces machines à créer des divinités. La terreur devant le néant, l'incapacité à intégrer la mort comme un processus naturel inévitable, avec lequel il faut composer, devant quoi seule l'intelligence peut produire des effets, mais également le déni, l'absence de sens en dehors de celui qu'on donne, l'absurdité a priori, voilà les faisceaux généalogiques du divin. Dieu mort supposerait le néant apprivoisé. Nous sommes à des années-lumière d'un tel progrès ontologique. ..
Traité d'athéologie de Michel Onfray - Michel Onfray




Les gènes, c'est le programme de la vie, de son organisation. Il est inscrit sur une sorte de ruban télégraphique dans chaque cellule vivante. Si l'on mettait bout à bout le ruban contenu dans toutes les cellules d'un corps humain, on obtiendrait une ligne dont la longueur serait de mille fois la distance de la Terre au Soleil ! Voilà ce qu'est la vie. ..
Interview de René BARJAVEL dans France-Soir Magazine du 13 octobre 1984 (n°12.493) - Barjavel




Si Bernard n'est pas synonyme de réussite, ce n'est pas pour autant un prénom repoussant. Il pourrait presque être charmant. Je dis presque. Voilà, c'est moi. Mon prénom n'est ni extravagant ni flamboyant. Je flotte dans un entre-deux qui me va bien. Je suis du genre incapable de choisir son camp.
La Tête de l'emploi de David Foenkinos - David Foenkinos




La réduction de l'univers à un seul être, la dilatation d'un seul être jusqu'à Dieu, voilà l'amour. L'amour, c'est la salutation des anges aux astres. Comme l'âme est triste quand elle est triste par l'amour ! Quel vide que l'absence de l'être qui à lui seul remplit le monde ! Oh ! comme il est vrai que l'être aimé devient Dieu. On comprendrait que Dieu en fût jaloux si le Père de tout n'avait pas évidemment fait la création pour l'âme, et l'âme pour l'amour.
Les Misérables, de Victor Hugo - Victor Hugo




La réduction de l'univers à un seul être, la dilatation d'un seul être jusqu'à Dieu, voilà l'amour.
Les misérables - Victor Hugo




L'avenir appartient encore bien plus aux cœurs qu'aux esprits. Aimer, voilà la seule chose qui puisse occuper et remplir l'éternité. A l'infini, il faut l'inépuisable.
Les misérables - Victor Hugo




Assumer la vie telle qu'elle est, c'est devant ce premier de tous les devoirs que le romantique se dérobe. Au fond, sa folie, il la choisit parce qu'il la préfère. Il préfère ce qui n'est pas à ce qui est : voilà le péché mortel du Romantisme.
Mémoires intérieurs de François Mauriac - François Mauriac




Je dis dans ces narrations qu’il n’y a rien comme la patrie et la liberté pour élever l’âme. Je ne sais pas ce que c’est que la liberté, moi, ni ce que c’est que la patrie. J’ai été toujours fouetté, giflé, — voilà pour la liberté ; — pour la patrie, je ne connais que notre appartement où je m’embête, et les champs où je me plais, mais où je ne vais pas.
Jules Vallès - L'Enfant - Jules Vallès




Ils te diront, grogna un homme à genoux, penché, les deux mains dans la terre, en secouant les épaules comme un dogue : ‘‘Mon ami, t’as été un héros admirable !’’ J’veux pas qu’on m’dise ça ! Des héros, des espèces de gens extraordinaires, des idoles ? Allons donc ! On a été des bourreaux. On a fait honnêtement le métier de bourreaux. On le r’fera encore, à tour de bras, parce qu’il est grand et important de faire ce métier-là pour punir la guerre et l’étouffer. Le geste de tuerie est toujours ignoble – quelquefois nécessaire, mais toujours ignoble. Oui, de durs et infatigables bourreaux, voilà ce qu’on a été. Mais qu’on ne me parle pas de la vertu militaire parce que j’ai tué des Allemands.
"Le feu" de Henri Barbusse - Henri Barbusse




L’égoïsme, voilà le genre d'amour qui est justement décrié, parce qu'il n'est pas l'amour de soi, mais une passion désordonnée de soi, passion funeste qui entraîne l'avare vers son argent, et tous les hommes vers l'objet de leurs désirs.
La politique d'Aristote - Aristote




On est mille fois plus heureux dans la société d'un vantard que dans celle d'un pleurnichard. J'ai horreur de ceux qui se plaignent toujours sans rime ni raison. Quel plaisir au contraire de passer une heure avec un Gascon ! Voilà enfin quelqu'un qui doit faire un effort pour être déçu.
Cahiers - Cioran




Les yeux modernes ? Il n'y a plus d'âme en eux ; ils ne regardent plus le ciel. Même les plus purs n'ont que des préoccupations immédiates : basses convoitises, intérêts mesquins, cupidité, vanité, préjugés, lâches appétits et sourde envie : voilà l'abominable grouillement qu'on trouve aujourd'hui dans les yeux ; âmes de notaires et de cuisinières. Il n'y a sous nos paupières que des reflets de sou pour franc et de minutes ; nous n'avons même plus la lueur jaune du fameux tableau du peseur d'or.
Monsieur de Phocas - Jean Lorrain




Les yeux des hommes écoutent ; il y en a même qui parlent, tous surtout sollicitent, tous guettent et épient, mais aucun ne regarde. L'homme moderne ne croit plus, et voilà pourquoi il n'a plus de regard.
Monsieur de Phocas - Jean Lorrain



Page 17 sur un total de 31 pages.










.$char.
 -  Vacance  -  Vache  -  Vacuite  -  Vaincre  -  Valeur  -  Vanité  -  Vanter  -  Vendre  -  Vengeance  -  Verbe  -  Verge  -  Verite  -  Vertu  -  Vetement  -  Vice  -  Victoire  -  Vie  -  Vieillard  -  Vieillesse  -  Vieillir  -  Vierge  -  Vieux  -  Ville  -  Vin  -  Violence  -  Visage  -  Visite  -  Vitesse  -  Vivre  -  Voeux  -  Voisinage  -  Voiture  -  Voleur  -  Volonté  -  Vouloir  -  Volupté  -  Vote  -  Voyage  -  Voyager

Etendez votre recherche :
Citation voila   Phrases sur voila    Poèmes voila    Proverbes voila