Citation votre


Sélection de 1013 citations sur le sujet votre

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Une description ne doit jamais paraître imaginée. Voilà le grand principe. Mettez-y votre cœur, vos élans, vos réflexions morales, vos aspirations imaginatives.
L'art d'écrire - Antoine Albalat




Vous ressemblez à une asperge. Vous êtes longue et mince, votre parfum n'en évoque aucun autre, et rien sur terre n'égale l'excellence de votre tête.
Barbe bleue - Amélie Nothomb




Le piano est un compagnon, un complice, toujours prêt à faire écho à vos sentiments, à votre humeur. Un ami peut vous contredire, vous mentir, vous trahir ; le piano jamais ne ment, ne contredit ni ne trahit le pianiste. C’est un confident, toujours prêt à l’écoute. Il ne répète ce qu’on lui confie que si le compositeur le lui impose.
L'Alsacienne - Maurice Denuzière




- C'est la première fois que je trompe mon mari. - Moi aussi, c'est la première fois que je trompe votre mari.
- Sacha Guitry




Femmes, talents, beautés, contemplez votre image ; - Toujours un ennemi s'abreuve de vos fleurs, - Soit qu'il dévore, abject, la tige et le feuillage, - Soit qu'il pille, imprudent, le parfum de vos coeurs !.
Nouvelles lettres d'un voyageur - George Sand




Chantez, chantez, poète de ce siècle ! Jamais vous ne fûtes si nécessaire à notre génération. Promenez votre caprice dans la tendre et moqueuse antithèse du rire antique et du rire moderne : O fraîcheur du rire ! ombre pure ! Mystérieux apaisement !.
Nouvelles lettres d'un voyageur - George Sand




Le privilège des écrivains, c'est que vous pouvez régler vos comptes avec vos semblables par l'intermédiaire de votre bouquin. La seule règle est de ne pas les citer nommément. Jamais de nom propre : c'est la porte ouverte aux procès et aux tourments. N'écrivez que des fictions. Le reste ne vous attirera que des ennuis.
La vérité sur l'affaire Harry Québert - Joël Dicker




Jetez des fleurs sur les dépouilles mortelles de votre jeune compagne, o vierges dont elle égalait naguère la beauté: on parsème de fleurs le berceau de l'enfance, couvrez-en aujourd'hui son cercueil; les joies de la mort doivent surpasser celles de la vie, le cercueil est le berceau du ciel.
Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul - Jean-Paul




Je ne crois pas que personne écoute jamais délibérément une montre ou une pendule. Ce n'est pas nécessaire. On peut en oublier le bruit pendant très longtemps et il ne faut qu'une seconde pour que le tic-tac reproduise intégralement dans votre esprit le long decrescendo de temps que vous n'avez pas entendu.
Le bruit et la fureur - William Faulkner




On aime un homme sans comprendre pourquoi on l'aime, disait-elle, on le prend avec tout son monde, c'est une chose sacrée et mystérieuse, il entre dans l'intimité de votre vie et plus tard, quel que fût le désastre, on se remémore ces premiers moments comme des moments ineffaçables.
Cheyenn - François Emmanuel




La peur est une force comme le mal de mer, on peut l’appeler un mal de vie, une nausée terrible provoquée par l’effroi, l’effroi rampant, qui paraît se retirer un peu dans les rêves pendant le sommeil, mais qui, quelques secondes à peine après le réveil, se précipite sur vous et se met de nouveau à ronger votre simple besoin de paix.
Du côté de Canaan - Sebastian Barry




Chercher à avoir raison, c'est vouloir avoir raison de l'autre, c'est l'arraisonner : qu'il soit immobilisé, pétrifié, qu'il reste sans voix devant la puissance de votre argumentation, qu'il soit empêché, comme un bateau arraisonné, de poursuivre sa propre traversée, incertaine. Je ne récuse pas les théories. Je préfère naviguer dans leurs marges.
En marge des jours - Jean-Bertrand Pontalis




Au fond, n'était-ce pas cela, le bonheur ? Une parenthèse pendant laquelle, sans penser au passé ou à l'avenir, on arrive à s'enfuir de soi-même ? Plus de réminiscences venant vous hanter, plus d'appréhensions qui ruinent votre sommeil ; juste la redécouverte que l'instant présent est merveilleux.
Quitter le monde - Douglas Kennedy




Quand les gens se montrent pleins de soupçon à votre égard, on se met à être soupçonneux envers eux.
Le Meilleur des mondes - Aldous Huxley




Vous m’étiez un trésor plus cher que la vie - Mais puisque votre amour ne se peut acquérir - Comme j’en perds l’espoir, j’en veux perdre l’envie.
Sonnet à À la vicomtesse d’Auchy ,1608 - François de Malherbe




Vos parents vieillissent jusqu'à un certain âge, où leur image se fige dans votre mémoire. Il suffit de fermer les yeux et de penser à eux pour les voir à jamais tels qu'ils étaient, comme si l'amour qu'on leur porte avait le pouvoir d'arrêter le temps.
Le voleur d'ombres - Marc Levy




Il y a des gens avec qui l'on passe une grande partie de sa vie et qui ne vous apportent rien. Qui ne vous éclairent pas, ne vous nourrissent pas, ne vous donnent pas d'élan. Encore heureux qu'ils ne vous détruisent pas à petit feu en s’accrochant à vos basques et en vous suçant le sang. Et puis. .. Il y a ceux que l'on croise, que l'on connaît à peine, qui vous disent un mot, une phrase, vous accordent une minute, une demi-heure et changent le cours de votre vie.
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi - Katherine Pancol




Le temps ne guérit pas tant les blessures qu'il se contente de les enfouir au plus profond de votre cerveau, où elles restent tapies en attendant de vous piéger lorsque vous vous y attendez le moins.
Le livre de Joe - Jonathan Tropper




Qu'est-ce que j'ai à faire dans le monde ? Les autres s’évertuent pour la richesse, la célébrité, le pouvoir ! Moi, je n'ai pas d'état, vous êtes mon occupation exclusive, toute ma fortune, le but, le centre de mon existence, de mes pensées. Je ne peux pas plus vivre sans vous que sans l'air du ciel ! Est-ce que vous ne sentez pas l'aspiration de mon âme monter vers la vôtre, et qu'elles doivent se confondre, et que j'en meurs ?.
L'Education sentimentale - Gustave Flaubert




Les jours et les années sont des traits que la mort nous lance. Elle vous a réservé ses plus pénétrants pour la vieillesse ; les premiers ont tué successivement vos croyances, vos passions, vos vertus, vos bonheurs. Maintenant, elle tire à mitraille ; elle a abattu vos cheveux et vos dents, elle a blessé et affaibli vos muscles, elle a touché votre mémoire, elle vise au cœur, elle vise à la vie. Alors tout vous est ennemi—dans la jeunesse, les belles nuits d'été vous apportaient des parfums, des souvenirs, de ravissantes rêveries ; elles n'ont plus pour vous que des rhumes et des pleurésies. Vous haïssez les gens qui sont plus jeunes que vous, parce qu'ils doivent hériter de votre argent ; ils héritent déjà de votre jeunesse, de vos croyances, de vos rêves, de tout ce qui est déjà mort en vous.
Voyage autour de mon jardin : Lettre III - Alphonse Karr



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