Citation votre
Sélection de 1013 citations sur le sujet votre
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Citations votre - Page 42 sur un total de 51 pages.
Est-ce donc une monnaie que votre amour, pour qu’il puisse passer ainsi de mains en mains jusqu’à la mort ? Non, ce n’est pas même une monnaie ; car la plus mince pièce d’or vaut mieux que vous, et dans quelques mains qu’elle passe elle garde son effigie.
Musset - On ne badine pas avec l'amour -
Musset
Peuple !, écoutez le poète ! - Écoutez le rêveur sacré ! - Dans votre nuit sans lui complète - Lui seul a le front éclairé.
Les Rayons et les Ombres -
Hugo
Tenez, j'ai peur. Ce n'est pas que je doute de votre adresse : mais ce sont les bons nageurs qui se noient.
Les liaisons dangereuses : lettre n° 76 -
Laclos
Je n'ose plus me flatter d'une réponse ; l'amour l'eût écrite avec empressement, l'amitié avec plaisir, la pitié même avec complaisance : mais la pitié, l'amitié et l'amour sont également étrangers à votre cœur.
Les liaisons dangereuses,DANCENY-Lettre n° 28 -
Choderlos de Laclos
Il y a des mensonges aussi indispensables que les vêtements qu'on endosse. Ils vous protègent du chaud l'été, du froid l'hiver, dissimulent votre laideur. Mensonges des médecins, des politiques, des prêtres. Les livres sacrés sont remplis de mensonges indispensables, sans lesquels les religions s'effondreraient. Mensonges de la peinture, du cinéma, de la poésie. Mensonges de l'amour.
La fille aux orages, Presses de la Cité, p 275 -
Jean Anglade
Donc, ce sera par un clair jour d'été ; - Le grand soleil, complice de ma joie, - Fera, parmi le satin et la soie, - Plus belle encor votre chère beauté ;.
La bonne chanson de Paul Verlaine : Donc, ce sera par un clair jour d'été -
Verlaine
Une jeune comédienne, très prétentieuse, demande à un célèbre critique, dans quelle pièce pourrait-elle exprimer tout son talent ? Celui-ci s'empresse de lui répondre : votre chambre ou la mienne. ..
une boîte de petits \"moi\" -
Damien CAILLAUD
- Et là, - c'est comme un nid sans plumes, sans chaleur, - Où les petits ont froid, ne dorment pas, ont peur ; - Un nid que doit avoir glacé la bise amère. .. - Votre coeur l'a compris : - ces enfants sont sans mère.
Les étrennes des orphelins -
Arthur Rimbaud
Figurez-vous qu'au moment où vous vous appuyez sur l'être de votre choix, et que vous lui dites : Envolons-nous ensemble et cherchons le fond du ciel ! — une voix implacable et sérieuse penche à votre oreille pour vous dire que nos passions sont des menteuses, que c'est notre myopie qui fait les beaux visages et notre ignorance les belles âmes, et qu'il vient nécessairement un jour où l'idole, pour le regard plus clairvoyant, n'est plus qu'un objet, non pas de haine, mais de mépris et d'étonnement !.
La Fanfarlo -
Charles Baudelaire
« Quoique vous soyez dans le printemps de votre vie, quoique tous les plaisirs vous cherchent, quoique vous soyez belle, et que vos talents ajoutent à votre beauté, quoiqu’on vous loue du soir au matin, et que par toutes ces raisons vous soyez en droit de n’avoir pas le sens commun, cependant vous avez l’esprit très sage et le goût très fin. ».
Zadig ou La destinée, Epitre dédicatoire de Zadig à la sultane Sheraa -
Voltaire
Quand on aime tellement on oublie de prendre sa part, on n'en a que faire. On n'éprouve de joie qu'à croire en donner et l'admiration, la reconnaissance qui saluent votre effort vous récompensent, mais de toute façon la volupté a été tournée, jouée, frustrée, lésée, dépassée. Bien se tenir, ne pas devenir fou devant la douceur de nous couler l'un dans l'autre lentement et de n'être plus qu'un.
Chronique d'une passion -
Marcel Jouhandeau
Certains mots s’inscrivent dans votre mémoire, au fer rouge. Des années plus tard, ils sont toujours là. Des mots en apparence anodins.
Encore une danse -
Katherine Pancol
Je vous souhaite à tous, à chacun d'entre vous, d'avoir votre motif d'indignation. C'est précieux. Quand quelque chose vous indigne comme j'ai été indigné par le nazisme, alors on devient militant, fort et engagé. On rejoint ce courant de l'histoire et le grand courant de l'histoire doit se poursuivre grâce à chacun. Et ce courant va vers plus de justice, plus de liberté mais pas cette liberté incontrôlée du renard dans le poulailler.
Indignez-vous ! -
Stéphane Hessel
Je vous souhaite à tous, à chacun d’entre vous, d’avoir votre motif d’indignation. C’est précieux.
Indignez-vous ! -
Stéphane Hessel
Un amour doit pouvoir se renouveler et ressurgir sous des formes inattendues. Admettez qu'il soit dans votre existence une aventure perpétuelle ; qu'il s'expose à des risques, à des changements, à l'imprévisible. Et qu'il échappe ainsi à la routine.
Lettre à D : Histoire d'un amour -
André Gorz
Je puis vous épargner un crime. Vous êtes tous d'accord : moi, seul de mon côté, Seul. .. avec la justice, avec l'humanité, J'ose vous conjurer, mes compagnons, mes frères, Vous au nom de vos fils, vous au nom de vos pères, Et tous au nom du ciel que vous croyez venger, De différer encor le moment de juger, De ne point prononcer, de peser, de suspendre L'irrévocable arrêt que vous prétendez rendre. Si l'on exécutait cet arrêt odieux, Si bientôt l'innocence éclatait à vos yeux, Quel attentat ! Pour vous quel avenir horrible ! Verra-t-on, dites-moi, dans ce moment terrible, L'innocent expiré sous le fer d'un bourreau Sortir à votre voix de la nuit du tombeau ? Anéantirez-vous son trépas, son supplice ? Chacun de vous alors, pour n'être pas complice, Pour n'avoir pas trempé dans l'arrêt inhumain, Voudrait donner son sang, et le voudrait en vain. Oh ! ne soyez point sourds à ma voix qui vous prie ; Songez bien qu'il y va d'un homme et de sa vie, Que vous vous préparez les tourmens du remord, Qu'il ne sera plus temps de retarder sa mort, Plus temps de réparer un crime irréparable, Mais qu'il est toujours temps de punir un coupable.
Jean Calas -
Marie-Joseph Chénier
ROMÉO : Restez donc immobile, tandis que je recueillerai l'effet de ma prière. (il l'embrasse sur la bouche. ) Vos lèvres ont effacé le péché des miennes. JULIETTE : Mes lèvres ont gardé pour elles le péché qu'elles ont pris des vôtres. ROMÉO : Vous avez pris le péché de mes lèvres ? Ô reproche charmant ! Alors rendez-moi mon péché. (il l'embrasse encore. ).
Roméo et Juliette -
William Shakespeare
J'ai dit votre nom à voix basse Et pensé simplement : Tu es belle, tes yeux, ta bouche et ton visage sont beaux comme ton corps ; Heureux celui qui t'aime et qui, la nuit, partage Le lit où tu t'endors !.
Le miroir des heures -
Henri de Régnier
Le corps n'est pas seulement le poison de l'âme, il en est le tombeau. Franchement, comment pouvez-Vous regarder Votre création sans désespérer ? Quelle démangeaison Vous a pris de façonner un monde aussi imparfait ?.
Le divin enfant -
Pascal Bruckner
Soyez insatiables. Soyez fous. C’est le vœu que j’ai toujours formé pour moi. Et aujourd’hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d’une nouvelle vie, c’est ce que je vous souhaite.
Stanford University - 2005 -
Jobs
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