Citation vous
Sélection de 4596 citations sur le sujet vous
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Citations vous - Page 137 sur un total de 230 pages.
Pendez-vous, vous le regretterez ; ne vous pendez pas, vous le regretterez aussi ; pendez-vous ou ne vous pendez pas, vous le regretterez également ; si vous vous pendez ou si vous ne vous pendez pas, vous regretterez l’un et l’autre. Ceci, Messieurs, est la somme de toute la sagesse de la vie.
Søren Kierkegaard, « Diapsalmata », Ou bien... Ou bien..., Gallimard, p. 33 -
Søren Kierkegaard
Fiez-vous à une jeune fille, vous le regretterez ; ne vous fiez pas à elle, vous le regretterez encore ; fiez-vous à une jeune fille ou ne vous fiez pas à elle, vous le regretterez également ; si vous vous fiez à une jeune fille ou si vous ne vous fiez pas à elle, vous regretterez l’un et l’autre. Ceci, Messieurs, est la somme de toute la sagesse de la vie.
Søren Kierkegaard, « Diapsalmata », Ou bien... Ou bien..., Gallimard, p. 33 -
Søren Kierkegaard
Riez des folies de ce monde, vous le regretterez ; pleurez sur elles, vous le regretterez aussi ; riez des folies de ce monde ou pleurez sur elles, vous le regretterez également ; si vous riez des folies de ce monde ou si vous pleurez sur elles, vous regretterez l’un et l’autre. Ceci, Messieurs, est la somme de toute la sagesse de la vie.
Søren Kierkegaard, « Diapsalmata », Ou bien... Ou bien..., Gallimard, p. 33 -
Søren Kierkegaard
Mariez-vous, vous le regretterez ; ne vous mariez pas, vous le regretterez aussi ; mariez-vous ou ne vous mariez pas, vous le regretterez également ; si vous vous mariez ou si vous ne vous mariez pas, vous regretterez l’un et l’autre. Ceci, Messieurs, est la somme de toute la sagesse de la vie.
Søren Kierkegaard, « Diapsalmata », Ou bien... Ou bien..., Gallimard, p. 33 -
Søren Kierkegaard
Quand on a bien l’expérience de la chose, on reconnaîtrait un accusé entre mille personnes. À quoi ? me demanderez-vous ; ma réponse ne vous satisfera pas ; c’est à ce que les accusés sont précisément les plus beaux. Ce ne peut être la faute qui les embellit, puisque tous ne sont pas coupables — c’est du moins ce que je dois dire en qualité d’avocat —, ce ne peut être non plus la condamnation qui les auréole d’avance, puisque tous ne sont pas destinés à être condamnés ; cela ne peut donc tenir qu’à la procédure qu’on a engagée contre eux et dont ils portent en quelque sorte le reflet.
Franz Kafka, « Le procès », Œuvres complètes, tome 1, Gallimard, p. 427. -
Franz Kafka
Je crois que la poésie est quelque chose qu'on sent, et si vous ne sentez pas la poésie, la beauté d'un texte, si un récit ne vous donne pas l'envie de savoir ce qui s'est passé ensuite, c'est que l'auteur n'a pas écrit pour vous.
Conférences de Jorge Luis Borges -
Jorge Luis Borges
Quand quelqu’un vous raconte qui il aime et comment l’amour l’a harponné, ce qu’il a perçu reste invisible aux autres, à tout jamais !.
L’enfantement, l’éros et la vieillesse Propos recueillis par Patrice van Eersel -
Christiane Singer
L'amour n'est pas aveugle, il est visionnaire ! Il perce les carcasses et les couvertures. C'est un laser d'une force incommensurable qui, le temps d'un éclair, vous montre la vraie nature de l'aimé et vous met en folie.
Donner du sens à sa vie par Marc de Smedt -
Christiane Singer
Le Portugais dit fort élégamment : {De boâs intençôes esta o inferno cheio} : L'enfer est pavé de bonnes intentions. Vous dites en français qu'il est pavé de langues de femmes, et cela revient au même ; car les femmes, à mon sens, veulent toujours le bien.
Prosper Mérimée, Arsène Guillot -
Mérimée
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.
Alphonse de Lamartine, L'Isolement -
Alphonse de Lamartine
Avec la solde de vos quatre-vingts bourreaux, vous paierez six cents maîtres d'école.
Victor Hugo, Claude Gueux -
Victor Hugo
Vivants ! vous êtes des fantômes ; C'est nous qui sommes les vivants !.
Victor Hugo, Quia pulvis es, Livre troisième – Les luttes et les rêves - Les contemplations -
Victor Hugo
Vous voulez de l'aventure parce que vous vous ennuyez à mourir dans votre conformisme quotidien.
Birmane de Christophe Ono-Dit-Biot -
Christophe Ono-dit-Biot
Il est remarquable que l'amour de la liberté suppose une haute idée de l'homme, et, en effet, l'argument le plus fort du despote est que les hommes font les fous dès qu'ils se sentent libres. C'est donc une chance rare pour vous, leur dit-on, d'être bien bâtonnés. Ce que j'admire, c'est qu'ils semblent quelquefois le croire.
Emile Chartier, dit Alain - Propos - 12 octobre 1935 -
Alain
Quand on s'oublie soi-même, il y a jamais personne pour vous retrouver.
Les affreux de Chloé Schmitt -
Chloé Schmitt²
Quand le coeur vous envoie des caillots, on apprend à se méfier des passions.
Les affreux de Chloé Schmitt -
Chloé Schmitt
C'est fait pour ça, les mères ! beurrer, confiturer maison les tartines du petit déjeuner et du goutter, sentir la lavande, vous débusquer l'angoisse au ventre, panser les blessures de l’âme. Panseuses, instrumentistes, médecins, chirurgiens au besoins, elles sont tout cela à la fois.
Une femme en blanc de Janine Boissard -
Janine Boissard
Il y a un plaisir délicieux à serrer dans ses bras une femme qui vous a fait beaucoup de mal, qui a été votre cruelle ennemie pendant longtemps et qui est prête à l’être encore.
De l'amour -
Stendhal
Demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront : Il est l'heure de s'enivrer ! Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.
Enivrez-Vous, Charles Baudelaire -
Baudelaire
Toute relation humaine secrète -l'amitié, l'amour et les liens singuliers qui se nouent entre des contraires qui se rencontrent et s'attachent, à la vie et à la mort !-commence par un effleurement magique ; par cette perception onirique qui ressemble au sentiment de réalité qu'on éprouve pendant un rêve : dans une foule, parmi des inconnus, un regard, une voix, vous touche, et c'est comme un vertige, comme si vous aviez déjà vécu cet instant, comme si vous saviez à l'avance tout ce qui va se produire, les paroles, les mouvements ; c'est la réalité, impérieuse, fatale ; en même temps, c'est un songe. ..
La soeur de Sándor Márai -
Sándor Márai
Page 137 sur un total de 230 pages.
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