Citation vous


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Citations vous - Page 152 sur un total de 230 pages.




Toute connaissance est vaine, s'il n'y a pas travail. Et tout travail est vide, s'il n'y a pas amour. Et lorsque vous travaillez avec amour, vous liez vous-même à vous-même, et aux uns et aux autres. Le travail est l'amour rendu visible.
Le Prophète de Khalil Gibran - Khalil Gibran




Le travail est l’amour rendu visible. Et si vous ne pouvez travailler avec amour mais seulement avec dégoût, il vaut mieux vous asseoir à la porte du temple et recevoir l’aumône de ceux qui œuvrent dans la joie. Car si vous faites le pain avec indifférence vous faites un pain amer qui n’apaise qu’à moitié la faim de l’homme. Et si vous pressez le raisin de mauvaise grâce votre regret distille un poison dans le vin. Et si même vous chantez comme les anges et n’aimez pas le chant, vous fermez les oreilles de l’homme aux voix du jour et de la nuit.
Le Prophète de Khalil Gibran - Khalil Gibran




Ne pensez pas que vous pourrez diriger le cours de l’amour car l’amour, s’il vous en trouve digne, dirigera votre cours.
Le Prophète de Khalil Gibran - Khalil Gibran




Les femmes sont des enfants : présentez-leur un morceau de sucre, vous leur faites danser très-bien toutes les contredanses que dansent les enfants gourmands ; mais il faut toujours avoir une dragée, la leur tenir haut, et… que le goût des dragées ne leur passe point.
Petites misères de la vie conjugale - Honoré de Balzac




Tout comme le noyau d'un fruit se brise pour exposer son coeur au soleil, il vous faut connaître la douleur. Et si votre coeur pouvait s'émerveiller en permanence devant les miracles quotidiens de votre vie, votre douleur ne lui paraîtrait pas moins étonnante que votre joie ; Et vous accepteriez les saisons de votre coeur de la même façon que vous avez toujours accepté la succession des saisons dans vos campagnes. Et vous veilleriez sereinement au long des hivers de votre souffrance.
Le Prophète de Khalil Gibran - Khalil Gibran




Ne pensez pas que vous pourrez diriger le cours de l’amour car l’amour, s’il vous en trouve dignes, dirigera votre cours.
Le Prophète de Khalil Gibran - Khalil Gibran




Je pense qu’on n’aime que les êtres qui peuvent vous détruire, à moins qu’il n’y ait que les êtres que l’on aime qui puissent vous détruire.
Les amnésiques n'ont rien vécu d'inoubliable de Hervé Le Tellier - Hervé Le Tellier




Je vous le dis : vous n'avez le droit d'éviter un effort qu'au nom d'un autre effort, car vous devez grandir.
Citadelle, (XXXI) - Antoine de Saint-Exupéry




La poésie, c'est le chant intérieur. Que penseriez-vous d'un homme qui chanterait du matin au soir ? Je n'ai fait des vers que comme vous chantez en marchant quand vous êtes seul débordant de force dans les roules solitaires de vos bois.
Préface des Recueillements poétiques - Alphonse de Lamartine




Vous étiez comme un moineau sautillant dans mon coeur. J'apprenais le langage des grands arbres. Le moindre écart et vous vous envoliez jusqu'à ce ciel en vous, inaccessible.
Une petite robe de fête - Christian Bobin




L’amour fait un cercle comme celui du cirque, tapissé de sciure, doux aux pieds nus, lumineux sous la toile rouge gonflée de vent. Le cercle est simple : plus vous êtes aimée et plus on vous aimera. Le truc c’est au départ, pour être aimée une première fois. Il faut surtout n’y pas penser, ne pas le rechercher, ne pas le vouloir. Être folle, se contenter d’être folle, de rire en pleurant, de pleurer en riant, les hommes finissent par arriver, attirés par la clairière de folie, séduits par celle qui n’a même pas souci de plaire. Après c’est joué, vous tournez et dansez dans le cercle d’amour, un mari à vos bras pour ne pas perdre l’équilibre, un mari qui roule des yeux partout en silence.
La Folle Allure de Christian Bobin - Christian Bobin




Plus vous êtes aimée et plus on vous aimera.
La Folle Allure - Christian Bobin




Nos pensées montent au ciel comme des fumées. Elles l'obscurcissent. Je n'ai rien fait aujourd'hui et je n'ai rien pensé. Le ciel est venu manger dans ma main. Maintenant c'est le soir mais je ne veux pas laisser filer ce jour sans vous en donner le plus beau. Vous voyez le monde. Vous le voyez comme moi. Ce n'est qu'un champ de bataille. Des cavaliers noirs partout. Un bruit d'épées au fond des âmes. Eh bien, ça n'a aucune importance. Je suis passé devant un étang. Il était couvert de lentilles d'eau - ça oui, c'était important.
L'homme-joie - Christian Bobin




Mortels ! vous êtes tous semblables A Ève, notre bonne aïeule : Ce que vous tenez vous ennuie. Toujours le serpent vous attire Vers les mystères de son arbre. Il vous faut du fruit défendu. Sans quoi l’Éden est insipide.
Eugène Onéguine - Alexandre Pouchkine




L'ivresse du monde est mortelle, Et nous sommes pris vous et moi, Chers amis, dans son tourbillon.
Eugène Onéguine - Alexandre Pouchkine




L'amour est le jeu de Satan. Trouver quelqu'un qu'on puisse aimer, Quelqu'un qui ne trahira pas ; Quelqu'un qui apprécie les choses Et les mots selon notre goût ; Qui ne dit aucun mal de nous ; Qui prend soin de notre confort ; Qui nous pardonne nos défauts Et qui jamais ne nous ennuie. Vous cherchez en vain ce fantôme ; Cessez de perdre vos efforts.
Eugène Onéguine - Alexandre Pouchkine




Lorsqu’on est intelligent et que les idées vous viennent promptement aux lèvres, la différence entre écrire et converser est vraiment minime ; elle est moindre encore entre parler et dicter, car la forme laisse Stendhal à ce point indifférent qu’il griffonne ses livres au crayon ou qu’il les dicte au cours de sa pensée : il regarde donc la littérature tout au plus comme un agréable passe-temps d’original.
Trois poètes de leur vie - Stefan Zweig




Savez- vous quel est l'avantage des coeurs brisés ? C'est qu'ils ne peuvent véritablement se briser qu'une fois. Les suivantes ne sont que des égratignures.
Le jeu de l'Ange - Carlos Ruiz Zafón




L'Amour, gaiement, pousse au rivage, Il aborde tout près du Temps ; Il lui propose le voyage, L'embarque, et s'abandonne au vent. Agitant ses rames légères, Il dit et redit, dans ses chants : Vous voyez bien, jeunes bergères, Que l'Amour fait passer le Temps. Mais tout à coup l'Amour se lasse, Ce fut toujours là son défaut ; Le Temps prend les rames à sa place, Et lui dit : Quoi, céder sitôt ! Pauvre enfant, quelle est ta faiblesse ! Tu dors, et je chante à mon tour Ce vieux refrain de la sagesse : Ah ! Le Temps fait passer l'Amour.
Le voyage - Comédies, Proverbes et Chansons, par Joseph-Alexandre Ségur - Joseph-Alexandre Ségur




Donner des ordres, ça vous pose un homme. Mais évidemment, comme tu ne sais pas obéir, je ne vois pas comment tu pourrais commander.
Un peu plus loin sur la droite - Fred Vargas



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