Citations sur sat. x

Pour ne s'en point servir aux plus rigoureux mois, Dans le fond d'un grenier on séquestra le bois

La Parque, ravissant ou son fils ou sa fille, A-, t-elle moissonné l'espoir de sa famille ?

Chez lui [un directeur de femmes], sirops exquis, ratafias vantés, Confitures surtout, volent de tous côtés

On ne peut pas toujours travailler, prier, lire : Il vaut mieux s'occuper à jouer qu'à médire

S'il pensait y trouver une étoile de graisse

Avec son nez étique et sa mourante mine

Parmi ces gens, un gros valet d'étable

[Ils] tranchent.... De l'esprit délicat, contrôlent un chacun

Le premier massepain pour eux, je crois, se fit, Et le premier citron à Rouen fut confit

Et tous ces lieux communs de morale lubrique Que Lully réchauffa du feu de sa musique

Et comme en une montre où les passe-volants... sont les plus insolents

Par force les chassant mi-morts de ses maisons

Il n'est point de repos ni de paix avec elle ; Son mariage n'est qu'une longue querelle

La revêche bizarre, Qui, sans cesse d'un ton par la colère aigri, Gronde, choque, dément, contredit un mari

Pour rendre par étude un lourdaud plus adroit

Un longtemps, sans parler, je regorgeais d'ennui

La famélique et honteuse lésine

Elle plaint le malheur de la nature humaine Qui veut qu'en un sommeil où tout s'ensevelit Tant d'heures sans jouer se consument au lit

Jeune autrefois par vous dans le monde conduit

Sa ceinture honorable, ainsi que ses jartières

Et déjà le notaire a, d'un style énergique, Griffonné de ton joug l'instrument authentique

Parlons sans hyperbole et sans plaisanterie

Aux temps les plus féconds en Phrynés, en Laïs, Plus d'une Pénélope honora son pays

Puis sur une autre table, avec un air plus sombre, S'en aller méditer une vole au jeu d'hombre

Je sais que c'est un texte où chacun fait sa glose