Citations sur phedre v 6

Ils rougissent le mors d'une sanglante écume

À travers les rochers la peur les précipite [des chevaux]

Hippolyte lui seul,... saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre Il lui fait dans le flanc une large blessure

Ses superbes coursiers, qu'on voyait autrefois, Pleins d'une ardeur si noble, obéir à sa voix

Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes

Tout son corps n'est bientôt qu'une plaie

Ses longs mugissements [d'un monstre marin] font trembler le rivage

À travers les rochers la peur les précipite [des chevaux]

Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes

L'onde approche, se brise et vomit à nos yeux Parmi des flots d'écume un monstre furieux

L'intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé

.... Le ciel, dit-il, m'arrache une innocente vie

Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos

Ses longs mugissements font trembler le rivage

J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris

De son généreux sang la trace nous conduit

Sa croupe se recourbe en replis tortueux

Ses superbes coursiers.. L'oeil morne maintenant et la tête baissée, Semblaient se conformer à sa triste pensée

Ô soins tardifs et superflus !

La frayeur les emporte [les chevaux], et, sourds à cette fois, Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix

Un effroyable cri sorti du fond des flots

Inexorables dieux, qui m'avez trop servi

Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage

Ils rougissent le mors d'une sanglante écume

Sa main sur ses chevaux laissait flotter les rênes