Citations sur iv 5

Ainsi de tant d'or et de soie, Ton âge dévide son cours, Que tu reçoives tous les jours Nouvelles matières de joie !

Les medecins m'ont ordonné de me presser et cengler d'une serviette le bas du ventre, pour remedier à cet accident [le malaise causé par le mouvement d'un bateau]

Mais aussi ne sont-elles pas [les Muses] De ces beautés dont les appas Ne sont que rigueur et que glace, Et de qui le cerveau léger, Quelque service qu'on leur fasse, Ne se peut jamais obliger

Après cela, la segregation faicte par eux mesmes de leurs deputez d'avec les autres qui n'estoient que de la suite, ils entrerent

Sa gloire à danser et chanter ....à nulle autre n'était seconde

Bien peser ces raisons, et s'y arrester sans mespris ni rejection

Soit que le Rhône outre ses bords Lui vît faire éclater sa gloire

Une navire marchande faisant voile à horche vint vers nous

Pour venir les ayder [les Anglais, au cas qu'ils eussent fait une expédition en France] à dresser et loger et conduyre aux champs

Tu ne t'es jamais diverti De suivre le juste parti

Et qu'à bien dispenser les choses, Il faut mêler, pour un guerrier, à peu de myrte et peu de roses, Force palme et force lauriers

Achille était haut de corsage

Qui n'a vu dessous leurs combats Le Pô mettre les cornes bas ?

Ledit roy d'Angleterre et tous les seigneurs de son royaulme se malcontenterent merveilleusement de quoy le duc de Bourgongne le faisoit si long

Consideré leur grant despence et que la saison se passoit

Il y estoit contrainct [Édouard] tant par le duc de Bourgongne que par le commun d'Angleterre

Donne-m'en d'un clin de tes yeux Un témoignage gracieux

La plus grande [armée] qui ayt esté depuis memoire d'homme ne de long temps paravant

Il faut mêler pour un guerrier à peu de myrte force palme

Je te donnerois, respondit le marchand, un coup d'espée sur cette aureille lunetiere [portant l'attache des lunettes]

Soit que tu donnes ton loisir à prendre quelque autre plaisir

Le mépris du sort Que sait imprimer aux courages Le soin de vivre après la mort

De ces beautés dont les appas Ne sont que rigueur et que glace

Il faut mêler pour un guerrier à peu de myrte et peu de roses Force palme et force laurier

Le roy leut la lettre seul, et puis se retira en une garderobbe tout fin seul