Citations sur sat. vi

Est-ce donc pour veiller qu'on se couche à Paris ?

Bientôt quatre bandits lui serrant les côtés

Notre Atlas.... Te commet de l'État l'entier gouvernement

Tandis que dans les airs mille cloches émues D'un funèbre concert font retentir les nues

Pour être, S'il se peut faire, en mal plus grands clercs que leur maître

L'un miaule en grondant comme un tigre en furie

J'entends crier partout : au meurtre ! on m'assassine !

Un affreux serrurier, laborieux Vulcain.... De cent coups de marteau me va fendre la tête

Sitôt.... Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent

Malheur donc à celui qu'une affaire imprévue Engage un peu trop tard au détour d'une rue [dans Paris] !

.... Un sort malencontreux Conduit en cet endroit un grand troupeau de boeufs

Mais en ma chambre à peine ai-je éteint la lumière, Qu'il ne m'est plus permis de fermer la paupière

Là d'un enterrement la funèbre ordonnance D'un pas lugubre et lent vers l'église s'avance

Ils veulent qu'on les croie en droite ligne issus Des sept sages de Grèce

Il [le riche] peut dans son jardin, tout peuplé d'arbres verts, Recéler le printemps au milieu des hivers

On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau

À la table s'asseoir, manger humainement

Que la noblesse coure en poste à l'Hôtel-Dieu

La terre Qui fut, avant le temps que survinrent ces maux, Un hôpital commun à tous les animaux, Quand le mari de Rhée, au siècle d'innocence, Gouvernait doucement le monde en son enfance

Ha ! que ne suis-je roi pour cent ou six vingts ans ? Par un édit public qui fût irrévocable, Je bannirais l'honneur, ce monstre abominable, Qui nous trouble l'esprit et nous charme si bien Que sans lui les humains ici ne voient rien, Qui trahit la nature, et qui rend imparfaites Toutes choses qu'au goût les délices ont faites

L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé

Ils tiennent à grand heur de ce que tes ancêtres...

On doit selon sa force entreprendre la peine, Et se donner de ton autant qu'on a d'haleine

Tandis que dans un coin, en grondant je m'essuye, Souvent, pour m'achever, il survient une pluie

Dont les faits.... Dans les coeurs des Flamands sont encore gravés