Citations sur andr. ii 2

Et quelque autre puissance [motif] Lui fait du fils d'Hector embrasser la défense

J'ai mendié la mort chez des peuples cruels

Et les feux mal couverts n'en éclatent que mieux

Tel est de mon amour l'aveuglement funeste

Le destin d'Oreste Est de venir sans cesse adorer vos attraits

Faisons de notre haine une commune attaque

Voilà depuis un an le seul soin qui m'anime

L'amour n'est pas un feu qu'on renferme en son âme ; Tout nous trahit

Ô Dieux ! tant de respects, une amitié si tendre, Que de raisons pour moi si vous pouviez m'entendre !

Son âme ailleurs éprise

Quelle est cette rigueur tant de fois alléguée ?

Il vous hait ; son âme ailleurs éprise....

... J'ai couru partout où ma perte certaine Dégageait mes serments et finissait ma peine

Mais qui sait si depuis Je n'ai pas en secret partagé vos ennuis ?

Oh dieux ! tant de respects, une amitié si tendre, Que de raisons pour moi, si vous pouviez m'entendre !

Le croirai-je, seigneur, qu'un reste de tendresse Vous fasse ici chercher une triste princesse ?

Seigneur, je le vois bien, votre âme prévenue.... Toujours dans mes raisons cherche quelque détour

Venez dans tous les coeurs faire parler vos yeux

Et, l'amour seul alors se faisant obéir, Vous m'aimeriez, madame, en me voulant haïr

Pensez-vous avoir seul éprouvé des alarmes ?

Qui n'apaisaient les dieux que du sang des mortels

Faisons de notre haine une commune attaque

Et les feux mal couverts n'en éclatent que mieux

J'ai mendié la mort chez des peuples cruels, Qui n'apaisent leurs dieux que du sang des mortels

Quittez, seigneur, quittez ce funeste langage