Citations sur corneille

Des devoirs et des soumissions Qui passent le commun des satisfactions

.... Si vous me fâchiez, j'ajouterais peut-être....

Permettez, ô grand roi, que de ce bras vainqueur Je m'immole à ma gloire, et non pas à ma soeur

Une majesté douce épand sur son visage De quoi s'assujettir le plus noble courage

Au milieu de leur camp tu reçus la naissance

Repasse mes bontés et tes ingratitudes

Mais chercher ton asile en la maison du mort !

Et de Servilius l'astre prédominant Dissipa tout d'un coup ce bonheur étonnant

Mais cette amour si ferme et si bien méritée Que tu m'avais promise et que je t'ai portée

J'ai voulu sur ce point pressentir sa pensée

De moi ni de ma cour il n'aura la présence

Vous me rendez le sceptre.... je vous conjure.... De n'ensanglanter pas ce que vous me rendez ; Faites grâce, seigneur, ou souffrez que j'en fasse [aux assassins de Pompée]

Ma fille, il est toujours assez tôt de mourir

Les rois impunément dédisent leurs sujets

Dieu ! Mon Dieu ! Grand Dieu ! Juste Dieu ! Bon Dieu ! Pour Dieu ! Bon Dieu ! je tremble

Adieu donc, puisqu'en vain je tâche à vous résoudre

C'est ainsi qu'on déguise un violent dépit.... Et qu'on croit amuser de fausses patiences Ceux dont en l'âme on craint de justes défiances

Qui pardonne aisément invite à l'offenser

Reprends, reprends, Jason, tes premières rudesses ; Leur coup m'est bien plus doux que tes fausses tendresses

Le roi que le Romain poussera vivement

Le ciel sur nos souhaits ne règle pas les choses

Cet État de nouveau rangé sous ma puissance

Ce qui passe à vos yeux pour une perfidie, Cache une intention fort noble et fort hardie

Il fuit et le reproche et les yeux du sénat, Dont plus de la moitié piteusement étale Une indigne curée aux vautours de Pharsale

Et j'ai le coeur transi De crainte que quelqu'un ne te découvre ici