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Recouvrer la disponibilité de ces deux armées [armées russes employées contre la Turquie] était d'une extrême importance, quelque plan de campagne qu'on adoptât
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Plus sur cette citation >> Citation de THIERS (n° 194393)
Ils [les Turcs] voulaient profiter de l'occasion pour sortir indemnes de cette guerre [avec la Russie], sans se mêler de la querelle qui allait s'engager entre des puissances qu'ils avaient alors l'imprévoyance de haïr au même degré
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Plus sur cette citation >> Citation de THIERS (n° 152552)
On ne croirait pas, ce qui pourtant était vrai, que Napoléon, rempli de l'idée de sa puissance jusqu'à provoquer sans nécessité un nouveau conflit avec l'Europe, était en même temps assiégé par la pensée vague, confuse, mais incessante, d'un grand danger
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Plus sur cette citation >> Citation de THIERS (n° 151700)
Il [Napoléon] voyait à une certaine contrainte des visages, à un certain silence, qu'on craignait la nouvelle guerre [de Russie] vers laquelle il semblait se précipiter, et il s'impatientait, pour ainsi dire, des objections qu'on ne lui faisait pas, mais qu'il devinait
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Plus sur cette citation >> Citation de THIERS (n° 150368)
Cette lettre, remise aux mains de la police, avait révélé toutes les menées au moyen desquelles M. de Czernicheff était parvenu à corrompre la fidélité des bureaux
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Plus sur cette citation >> Citation de THIERS (n° 129808)
L'impératrice d'Autriche, traitée par Napoléon avec des égards délicats, flattée de son accueil.... s'adoucit beaucoup, sauf à revenir à son dénigrement habituel, lorsqu'elle serait de retour à Vienne
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Plus sur cette citation >> Citation de THIERS (n° 107942)