Citations sur sat. xv

Éveiller son esprit troublé de rêverie

Le juge sans reproche est la postérité

Or si parfois j'écris suivant mon ascendant

Selon ou plus ou moins, Jean donne ses arrêts

... J'aurais en mon malheur Quelque contentement à flatter ma douleur

Cette prononciation, qui n'est plus qu'un provincialisme, était, au XVIIe siècle, reçue à côté de l'autre : Que le paysan recueille, emplissant à milliers Greniers, granges, chartis, et caves et celliers

Le pauvre tu détruis, la veuve et l'orphelin, Et ruines chacun avec ton patelin

Qu'un chacun doucement s'excuse à la pareille

C'est alors que la verve insolemment m'outrage

....Plus désolé Que si j'étais marane, ou ladre ou vérolé

Tire le bien du mal, lorsqu'il s'en peut tirer

Sont témérairement et juges et témoins

Revêche à mes raisons, il se rend plus mutin

Et là, malgré mes dents, rongeant et ravassant

Que Zéphire en ses rets surprend Flore la belle

Ce mal.... S'obstine aux récipés et ne se veut guérir

Polissant les nouveaux, les vieux rapetassant, Je fais des vers....

Je fais des vers qu'encor qu'Apollon les avoue, Dedans la cour peut-être on leur fera la moue

Des renards et des loups les ombreuses retraites

Et ne m'émeus non plus.... Que d'un conte d'Urgande et de ma mère l'oie

Et jusqu'au fond du sac épluchons notre vie

Ainsi conséquemment [il en est de même] de tout dont je t'offense

....Ce mal qui m'afflige au mourir

Que le plus et le moins y mette différence

Voyant.... Un médecin remplir les limbes d'avortons