Citations sur anne de gonz.

L'illusion des amitiés de la terre qui s'en vont avec les années et les intérêts

Parlez, mes frères, parlez ; je ne suis ici que pour aider vos réflexions

C'est une chose horrible de tomber entre les mains du Dieu vivant ; entre ces mains où tout est action, où tout est vie ; rien ne s'affaiblit, ni ne se relâche, ni ne se ralentit jamais

Non, elle n'était heureuse ni pour avoir placé auprès d'elle la princesse Anne, sa chère fille, ni pour l'avoir placée dans une maison où tout est grand

L'asile [un couvent] qu'elle avait choisi pour défendre sa liberté, devint un piége innocent pour la captiver

Ce rire dédaigneux qu'excitent les personnes simples lorsqu'on leur voit croire des choses impossibles

Par le travail... on guérissait la langueur de la paresse et les pernicieuses rêveries de l'oisiveté

Ni les conseils de la Providence, ni l'état de la princesse ne permettaient qu'elle partageât tant soit peu son coeur

La liberté qu'on se donne de penser tout ce qu'on veut [en fait de religion], fait qu'on croit respirer un air nouveau

Il est impossible qu'une telle âme soit renouvelée par la pénitence

Tremblez, âmes réconciliées, qui renoncez si souvent à la grâce de la pénitence....

On sait qu'avec le secret de cette princesse [Anne d'Autriche], elle eut encore celui de tous les partis [dans la Fronde] ; tant elle était pénétrante

Où a-t-on pris que la peine et la récompense ne soient que pour les jugements humains, et qu'il n'y ait pas en Dieu une justice dont celle qui reluit en nous ne soit qu'une étincelle ?

Siècle vainement subtil, où l'on veut pécher avec raison, où la faiblesse veut s'autoriser par des maximes....

Il ne reste plus à l'homme [qui meurt] que le néant et le péché ; pour tout fonds, le néant, pour toute acquisition, le péché

Tout devint pauvre et dans sa maison et sur sa personne

Mandez-moi ce qu'il faut pour la nourriture et les ustensiles de ces pauvres femmes

Un Dieu qu'on fait à sa mode, aussi patient, aussi insensible que nos passions le demandent, n'incommode pas

La matinée se passait dans ce cruel exercice

Une princesse dont le mérite passe la naissance, encore que, sortie d'un père et de tant d'aïeux souverains, elle ait réuni en elle....

Enfin je suis parvenue au divin banquet

Son caractère particulier était de concilier les intérêts opposés

Elle déclarait aux chefs des partis jusqu'où elle pouvait s'engager ; et on la croyait incapable ni de tromper ni d'être trompée

Ni les conseils de la Providence, ni l'état de la princesse ne permettaient qu'elle partageât tant soit peu son coeur

Ses amis [de Mazarin] ou partagés, ou irrésolus, ou infidèles