Citations sur pays. parv. 3e part.

Sur ce propos nous arrivâmes dans cette rue qui m'avait été si fatale

Je ne suis pas peureuse de mon naturel : qui vit bien ne craint rien

De beaux bras sous du linge uni ; on les en remarque mieux là-dessous, cela les rend plus sensibles

Je pense qu'à cet âge-là on peut passer pour vieille ; pour moi, je vous avoue que je me regarde comme telle ; tout le monde ne se soutient pas comme vous, madame

Je pris un milieu que je m'imaginai en être un, et ce fut de me contenter de sourire sans rien répondre

Allons, venez manger ma soupe, vous me donnerez à souper ce soir

Je ne suis pas digne d'avoir le temps de me reconnaître et de me repentir de ma rage

Avez-vous de l'amour pour elle, là, ce que l'on appelle de l'amour ; ce n'est pas de l'amitié que j'entends

Est-il vrai qu'il n'y a que quatre ou cinq mois que vous arrivez de campagne ? on ne le croirait point à vous voir, vous n'êtes point hâlé, vous, vous n'avez point l'air campagnard

Apparemment que mon histoire avait éclaté dans la maison ; car j'y trouvai tous les domestiques assemblés qui me reçurent en haie sur l'escalier

Je n'aurais pas pris garde à elle, si elle n'avait pas pris garde à moi

Approchez son fauteuil, monsieur de la Vallée, et tenez-vous gaillard ; soupons : mettez-vous là, petite fille

Hélas ! dis-je à la fin, c'est une furieuse histoire que la mienne

Peut-être d'un an vous ne vendrez cette friperie-là si à propos

Parce qu'elle feignait d'être bonne, elle croyait l'être en effet