Citations sur ath. ii 5

.... Mais sur la foi d'un songe, Dans le sang d'un enfant voulez-vous qu'on se plonge ? Vous ne savez encor de quel père il est né, Quel il est. - On le craint, tout est examiné

Un songe (me devrais-je inquiéter d'un songe ?) Entretient dans mon coeur un ennui qui le ronge ; Je l'évite partout, partout il me poursuit

Il [ce refus] pourrait me jeter en d'étranges soupçons

En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser

Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée, Comme au jour de sa mort pompeusement parée

Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange

Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange

Il me laisse en ces lieux souveraine maîtresse

Vos prêtres, je veux bien, Abner, vous l'avouer, Des bontés d'Athalie ont lieu de se louer

Mais un trouble importun vient depuis quelques jours De mes prospérités interrompre le cours

Je ne prends point pour juge un peuple téméraire ; Quoi que son insolence ait osé publier, Le ciel même a pris soin de me justifier

Que présage, Mathan, ce prodige incroyable ?

C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit : Ma mère Jésabel devant moi s'est montrée, Comme au jour de sa mort pompeusement parée

Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté

Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux

Grande reine, est-ce ici votre place ? Quel trouble vous agite, et quel effroi vous glace ? Parmi vos ennemis que venez-vous chercher ?

Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange

De quel crime un enfant peut-il être capable ?

J'ai cru que des présents calmeraient son courroux

Par moi Jérusalem goûte un calme profond

Bizarre assemblage